17058 - Bourcefranc-le-Chapus

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Bourcefranc-le-Chapus
Blason Bourcefranc-le-Chapus-17058.png
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 17 - Blason - Charente-Maritime.png    Charente-Maritime
Métropole
Canton Blason Marennes-17219.png   17-10   Marennes

Blason Marennes-17219.png   17-14   Marennes (Ancien canton)

Code INSEE 17058
Code postal 17560
Population 3 461 habitants (2018)
Nom des habitants Bourcefrançais, Bourcefrançaises

Chapusais, Chapusaises

Superficie 1 240 hectares
Densité 279.11 hab./km²
Altitude Mini : 0 m
Point culminant 18 m
Coordonnées
géographiques
45.847222° / -1.1475° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Bourcefranc-le-Chapus est une commune du sud-ouest de la France située en Charente-Maritime. C'est une commune littorale implantée sur une petite presqu'île, au bord de l'Atlantique et du pertuis d'Antioche formée par les îles charentaises. Elle se trouve à l'embouchure de l'estuaire de la Seudre et au cœur du bassin ostréicole de Marennes-Oléron. De plus, elle est la dernière commune du continent avant d'entrer sur l'île d'Oléron. Cette position fait d'elle une commune ostréicole et touristique. D'abord unie à Marennes, la commune de Bourcefranc, formée de plusieurs villages, est créée en 1908. C'est en 1970 qu'elle prend le nom de Bourcefranc-le-Chapus.

Histoire.png Histoire de la commune

La pointe du Chapus, qui formait l'extrémité ouest de la presqu’île de Marennes, était l'aboutissement d'une antique voie romaine. Cette voie reliait Marennes à Saintes (Mediolanum Santonum), alors capitale de la Gaule Aquitaine, et se prolongeait à l’actuelle pointe, où existait une liaison vers l'île d'Oléron. C'est à cette époque que le village du Chapus apparut au font d'une petite baie, c'était alors un village de pécheurs et de sauniers. Les romains installèrent de plus les premières exploitations d'huîtres, mais cette activité disparue au Moyen-Age et ne réapparue qu'au XIXe siècle.

La paroisse de Marennes est donnée aux religieuses de l'abbaye aux Dames de Saintes en 1047. Au XIe siècle, les alentours de Marennes étaient alors recouverts d'une forêt, faisant partie de l'antique forêt de Baconais. Dans la perspective des grands défrichements de l'époque, un bourg doté de privilèges fut créé pour attirer des habitants et défricher les environs : Boursefranc. Après les défrichement, plusieurs villages surgirent autour de Boursefranc et du Chapus comme les villages de Chatain, de la Sinceaudière et de la Pimpelière. Le Chapus devient alors un important port de pêche et port de sel.

Lieu stratégique au bord du pertuis d'Antioche, le rocher du Chapus (au large de la pointe du même nom) est choisi à la fin du XVIIe siècle pour la construction d'un fort fermant l'accès par le pertuis de Maumusson au nouvel arsenal de Rochefort (construit en 1666). La construction de ce fort est terminée en 1694. Pour abriter les ouvriers qui construisent le fort et une garnison de soldats, plusieurs bâtiments et une chapelle sont construits au bout de la pointe face au fort. À la même époque, dans les années 1680-1690, Madame de Maintenon « serait » passée à Bourcefranc, et n'ayant pas trouvé de lieux de culte (la chapelle du Chapus n'étant pas encore construite) demanda la construction d'une église. Ce qui serait à l'origine de la construction de l'église Saint-Louis dans l'ancien bourg de Bourcefranc, ouverte en 1694.

Lors de l'apparition des communes, Bourcefranc et les villages alentours sont rattachés à Marennes.

Durant la seconde moitié du XIXe siècle, Marennes et les villages de la pointe connaissent de grands changements : l'apparition de l'ostréiculture et l'apparition du chemin de fer. En effet, sous le Second Empire l'ostréiculture moderne va considérablement s'implanter dans le bassin de Marennes-Oléron. L'ostréiculture existait déjà mais ne reposait que sur la cueillette d'huîtres sur des bancs naturels. L'élevage d'huîtres se développa alors dans les marais salants qui furent convertis en claires, lieux d'affinages. Enfin, avec la révolution des transports une ligne de chemin de fer Cabariot - Le Chapus est ouverte en 1888 et deux gares sont construites, l'une au sud du village de Bourcefranc et une autre au bout de la pointe du Chapus, la construction de cette dernière nécessitera la destruction de l'ancienne chapelle.

Bourcefranc devient une commune à part entière le 23 mars 1908, par distraction de celle de Marennes. Voir l'article de loi ci-dessous[1] :

   Le Sénat et la Chambre des députés ont adopté, Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :
 Art. 1. — La section de Bourcefranc est distraite de la commune de Marennes (canton de Marennes, arrondissement de Marennes, département de la Charente-Inférieure) et formera, à l'avenir, une commune distincte dont le chef-lieu est fixé à Bourcefranc et en portera le nom. La ligne séparative des deux nouvelles communes est figurée par un pointillé noir compris entre deux teintes jaune et rouge au plan annexé à la présente loi.
 Art. 2. — Les dispositions qui précèdent recevront leur exécution sans préjudice des droits d'usage et autres qui peuvent être respectivement acquis.
 Art. 3. — La commune de Marennes demeurera exclusivement chargée des emprunts contractés en vertu des arrêtés préfectoraux des 1er juillet 1887, 12 mai 1888, des décrets des 13 octobre 1892, 24 avril 1896, 27 mars 1897 et 17 février 1902. La commune de Bourcefranc remboursera les emprunts contractés en vertu des décrets des 15 octobre 1890 et 3 novembre 1892 et de l'arrêté préfectoral du 16 août 1890.
 Art. 4. — Les biens des pauvres seront partagés proportionnellement à la population municipale des nouvelles communes, sous réserve des droits primitifs qui résulteraient d'actes de fondation. Les droits aux lits dans l'hôpital-hospice de Marennes et les charges correspondantes seront répartis entre les deux communes suivant la même proportion.
 La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et parla Chambre des députés, sera exécutée comme loi de l'Etat.
               Fait à Paris, le 23 mars 1908. A. FALLIÈRES. Président de la République
               Le président du conseil, ministre de l'intérieur; G. CLEMENCEAU

Le premier maire de la commune en est Léon ORIOU, c'est lui qui fait ériger l'hôtel de ville. La construction de cet hôtel de ville est envisagée dès 1925, des appels d'offres sont lancés en 1927 et un plan d'un cabinet d'architectes Rochefortais est approuvé le 19 mars 1928. Il est inauguré en 1930. Après la Seconde Guerre mondiale, un embarcadère est construit en 1947 pour la liaison avec l'île d'Oléron. Avant cela on embarquait et on débarquait au pied du fort Louvois ou dans le port de la pointe. La Commune est jumelée depuis 1965 à la ville allemande de Rheinbrölh.

En 1966 le pont de l'île d'Oléron est inauguré, le vieil embarcadère devient alors inutile. C'est a partir de cette époque, puis des années 1970 et 1980 que la commune va s'urbaniser et les anciens villages vont peu à peu former une petite ville. Aujourd'hui Bourcefranc est le plus grand port ostréicole du bassin de Marennes-Oléron, la ville abrite notamment un lycée aquacole.

Toponymie

Le nom de la commune vient du nom d'un des anciens villages qui occupait l'aboutissement de la presqu'île de Marennes : Bourcefranc. Ce nom vient de l'expression médiévale bourg franc, qui désignait une agglomération exonérée de certaines redevances par un seigneur. Quant au nom de l'ancien village du Chapus, il viendrait du latin Caput qui désigne la tête, une extrémité ou une pointe.

La commune prend le nom de Bourcefranc-le-Chapus en 1970.

Héraldique

  • « D'argent au fort Louvois d'or, terrassé de sinople ; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis[2]. »

Histoire administrative

  • Département - 1908-1941 : Charente-Inférieure, 1941-2024 : Charente-Maritime
  • Arrondissement - 1908-1926 : Marennes, 1926-2024 : Rochefort
  • Canton - 1908-2024 : Marennes
  • Commune - 1908-1970 : Bourcefranc, 1970-2024 : Bourcefranc-le-Chapus

Résumé chronologique :

  • 1908-.... :

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Fort Louvois

Fort Louvois à marée basse

Le 16 décembre 1690, le marquis de Louvois, Ministre de guerre de Louis XIV, ordonne à l'intendant Bégon de construire un fort sur le rocher Le Chapus entre la pointe du Chapus et le Rocher d'Ors sur l'île d'Oléron. Le fort Louvois fait alors parti d'une ligne continue de défense, établie le long des côtes d'Aunis et de Saintonge, qui protégeait l'Arsenal de Rochefort (construit en 1666) de toute intrusion. Situé face à la citadelle du Château-d'Oléron, le fort fermait l'accès sud du pertuis d'Antioche par le pertuis de Maumusson.

C'est d'abord l'architecte François Ferry qui conçoit le projet : il dessine un fort de forme ovale, à deux étages de canons, relié à la pointe du Chapus par une chaussée de 400 mètres submersible à marée haute. Mais à la mort de Louvois en 1691, VAUBAN modifie le projet : il ne conserve que la moitié de l'ovale, une forme en "fer à cheval" à un seul étage, mais muni d'un donjon central de 24 mètres de haut et entouré d'une douve. La construction du fort débute en 1691, les ouvriers travaillent alors nuits et jours à marée basse. La construction s'achève en 1694, il est le dernier ouvrage fortifié commandé par Louis XIV. Le fort Louvois est armé jusqu'en 1909, puis remis au Domaines en 1920. Il est endommagé le 10 septembre 1944 lorsque lors de la libération de Marennes, les Allemands, alors retranchés sur l'île d'Oléron, tirent des obus sur le fort depuis la citadelle (du Château d'Oléron). La commune de Bourcefranc le rachète en 1960 et le fait restaurer, il ouvre ses portes en 1972.

Assez petit, le fort se compose d'un corps de garde pour surveiller l'entrée du bâtiment, d'une place d'armes au centre où les troupes se rassemblaient, d'une caserne sur deux niveaux lieu de vie de la garnison, d'une poudrière qui pouvait accueillir 3,6 tonnes de poudres et d'un donjon. Le donjon, entouré d'une douve, est haut de 24 mètres. Il possède deux étages avec au sommet une terrasse crénelée avec encorbellement et mâchicoulis. Le rez-de-chaussée abritait un magasin à munition et une poudrière et les deux étages était réservés aux officiers et au commandant. Le donjon est ornée, sur sa façade est, d'un blason royal, symbole du pouvoir militaire et religieux. Autour de cet ensemble de bâtiments, une batterie d'artillerie en forme de fer à cheval permet de contrôler le pertuis sur 180 degrés. A l'origine équipée de 16 embrasures à canons, la batterie est réduite à 10 canons en 1720 grâce aux progrès de l'artillerie.

Aujourd'hui le fort Louvois est accessible au public. Il est accessible à pied seulement à marée basse mais aussi par bateau l'été. On trouve dans l'ancienne caserne et dans le donjon plusieurs salles consacrées à l'histoire du fort et aux autres forts du pertuis charentais. Le fort est classé monument historique depuis le 14 juin 1929[3].

Église Saint-Louis

L'église avant la construction du clocher actuel.

Au XVIIe siècle, les villages de Bourcefranc, du Chapus, du Chatain, de la Sainceaudière et de la Pimpelière ne possèdent pas encore d'églises.

L'église Saint-Louis fut construite sous l'impulsion de Madame de Maintenon, qui de passage, ne trouva aucune église pour y faire ses dévotions. A son retour à Paris, elle fit un don et le roi décida de cette construction en 1687. L'église ouvre aux fidèles en 1694 et est alors desservie par des moines récollets de Marennes. L'édifice, très simple, se compose d'une nef et de deux chapelles latérales. Pendant longtemps, un petit campanile servait de clocher, c'est en 1957 que l'abbé Paul BOURGEON décide d'ériger le clocher actuel. La cloche du campanile provenait de l'ancien temple protestant de Saint-Just, détruit après la révocation de l'édit de Nantes,

L'intérieur au début du XXe siècle.

et fut fondue au début du XVIIe. Sur cette cloche était inscrit « Au nom de Dieu, Jehan Favre ma faicte, je suis este faicte pour servir à l’église réformée de Saint Just », elle fut classée au titre des objets historiques en 1911[4]. En 1969, ce nouveau clocher accueil deux nouvelles cloches baptisées Madeleine et Jeanne-Andrée.

À l'intérieur de l'église se trouve un maître-autel de pierre de taille orné d’un vaisseau et de nombreux vitraux, l'un d'eux possède des représentations du fort Louvois. Les anciens ex-voto de l'église ont aujourd'hui disparus. Dans le chœur, deux tableau représentent Saint-Louis en prière et la descente de la croix. L'église Saint-Louis se trouve dans l'ancien village de Bourcefranc, à l'angle des rues Jean Jaurès et Abbé Paul Bourgeon.

Les moulins

Il y avait autrefois plusieurs moulins à Bourcefranc. De ces moulins, seul les deux moulins de Chatain subsistent de nos jours. Ces deux anciens moulins se trouvent entre les anciens villages de Bourcefranc et du Chatain. L'un se trouve au bord de la rue Léon Oriou et est aujourd'hui intégré à une habitation et le second, appelé le moulin de la Plataine se trouve au bord de la rue Emile Zola. L'association Les amis du moulin de la Plataine l'a entièrement restauré à partir de 2010, il fut inauguré le 3 août 2012.

Il y avait aussi deux autres moulins qui ont aujourd'hui disparus :

  • Un moulin à vent, au sud de l'ancien village de Chatain, au bord de l'actuelle rue du moulin
  • Le moulin Rabaud, moulin à vent, il était situé au bord de l'actuelle rue Bel air

Gare du Chapus

Gare du Chapus

La construction d'une gare à la pointe du Chapus est étroitement liée à la production ostréicole et à l'activité touristique. Autrefois, les bourriches d'huitres de 22 à 25 kilos étaient transportées en voiture à cheval le plus rapidement possible pour garder les huitres vivantes. Pour améliorer l'efficacité de la "distribution", la Compagnie des Charentes construit en 1877 une ligne de chemin de fer jusqu'à la pointe du Chapus. Et le 19 janvier 1889, la ligne qui relie Paris Austerlitz au Le Chapus (terminus) est inaugurée, favorisant ainsi le trafic vers l'île d'Oléron. La gare du Chapus était grande, avec de nombreux hangars pour stocker les bourriches. C'était le lieu d'une intense activité. Un de ces immenses hangars à marchandises est détruit lors d'un tempête le 23 septembre 1914. Mais le développement du trafic routier et la construction du pont va rendre la gare inutile et la ligne entre Cabariot et Le Chapus est fermée définitivement le 1er octobre 1987. Aujourd'hui, la gare existe toujours et fut restaurée dans les années 2000.

Une autre gare existait, le long de cette même ligne, au sud du bourg de Bourcefranc. Mais elle disparue avec la fermeture de la ligne.

Pont de l'île d'Oléron

L'île d'Oléron est séparée du continent depuis le Ve siècle avant notre ère. Au cours des siècles plusieurs projets furent proposés comme un tunnel sous-marin emprunté par un tramway à vapeur en 1875 par l'ingénieur Fleury, un tunnel selon les plans de l'ingénieur Robert en 1882, un pont-transbordeur métallique en 1911 par Wickersheim ou un simple pont en pierre en 1931. Un bac reliait alors l'île à la pointe du Chapus. Mais dans les années 1950, le conseil général de la Charente-Maritime relance le projet. Finalement les travaux débutent en 1964 et sont confiés à l'entreprise Campenon-Bernard. L'ouvrage est achevé le 91 mars 1966 et est inauguré le 21 juin. Il relie alors la pointe du Chapus au village d'Ors sur la commune du Château-d'Oléron. Long de 2 862 mètres, il est alors le plus long pont de France et le restera jusqu'en 1974, lors de la construction du pont de Saint-Nazaire. Puis en 1988, avec la construction du pont de l'île de Ré, il devient le troisième plus long pont de France. Le pont possède un péage jusqu'en 1991, depuis le pont est gratuit.

Repère géographique.png Repères géographiques


Démographie.png Démographie

Année 1911 1921 1926 1921 1936 1836 1954 1962 1968 1975
Population 2 152 2 184 2 401 2 522 2 763 2 842 2 878 3 073 3 095 2 984
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 - - - -
Population 2 794 2 851 2 951 3 275 3 356 - - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Léon ORIOU 1908 - 1935  
Jules COURDAVAULT 1935 - 1941  
Léonce CHAMART 1941 - 1943  
Maurice CARRÉ 1943 - 1944  
Maxime DAVY 1944 - 1947  
Gustave ORIOT 1947 - 1949  
René NORMANDIN 1949 - 1959  
Camille GOUPIL 1959 - 1968  
Raymond GUICHARD 1968 - 1995  
Jean Luc ROUSSEAU 1995 - 2014  
Guy PROTEAU 2014 - (2026)  
- - -  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
Laurent NEAU 1584-1629  
CLÉMENCEAU 1634-1662  
GARESCHÉ 1661-1708  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Paul BOURGEON  ? - ? Prêtre-ouvrier et ostréiculteur. Il fait remplacer le campanile par le clocher actuel en 1957. Décédé en 1986, il est enterré au cimetière de la commune. La rue à l'est de l'église porte son nom.  
- -  

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Il y a deux monuments aux morts sur la commune : le premier se trouve dans le cimetière, rue des Platanes et le second au centre de la place du 8 Mai 1945, rue Kennedy, à côté du marché. Le premier se situe dans la partie ouest du vieux cimetière de Bourcefranc. Il s'agit d'un obélisque comportant les noms des soldats de la commune morts lors de la Première Guerre mondiale. Au pied de cet obélisque se trouve une allégorie de la République à genoux. Ce monument est l'oeuvre du tailleur de pierre et sculpteur Sylas Alcide Ybbard qui vivait à Marennes[5]. Le second monument, rue Kennedy, est une grande stèle avec deux bas-reliefs représentant un soldat et un marin. Deux plaques comportent les noms des victimes des deux guerres mondiales.

Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945

Pictos recherche.png Article détaillé : Consulter la liste ...

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 9 h - 12 h 15 9 - 12h15 9 - 12h15 9 - 12h15 9 - 12h15 10 - 12 -
Après-midi 14 h 30 - 17 h 14h30 - 17 14h30 - 17 14h30 - 17 14h30 - 16 - -
Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 9 h - 12 h 15 9 h - 12 h 15 9 h - 12 h 15 9 h - 12 h 15 9 h - 12 h 15 10 h - 12 h -
Après-midi 14 h 30 - 17 h 14 h 30 - 17 h 14 h 30 - 17 h 14 h 30 - 17 h 14 h 30 - 16 h - -
Commune.png

Mairie
Adresse : Place Henri Barbusse - 17560 BOURCEFRANC-LE-CHAPUS

Tél : 05 46 85 02 02 - Fax : 05 46 85 48 58

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : ()

Associations d'histoire locale

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Voir aussi.png Voir aussi (sur Geneawiki)

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Référence.png Notes et références

  1. L'article de loi pour la création de la commune de Bourcefranc sur le site bibibourcefranc
  2. L'armorial des villes et des villages de France
  3. Le fort Louvois, ou fort du Chapus, est classé au titre des Monuments Historiques
  4. Base Palissy - Cloches de Saint-Louis
  5. Note sur le monument aux morts du cimetière, Inventaire du patrimoine de la région Poitou-Charentes