13001 - Aix-en-Provence

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Aix-en-Provence
Blason Aix-en-Provence-13001.png
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 13 - Blason - Bouches-du-Rhône.png    Bouches-du-Rhône
Métropole Métropole d’Aix-Marseille-Provence
Canton Blason Aix-en-Provence-13001.png   13-01   Aix-en-Provence-1
Blason Aix-en-Provence-13001.png   13-01   Aix-en-Provence-2

Anciens cantons :
Blason Aix-en-Provence-13001.png   13-47   Aix-en-Provence-Centre
Blason Aix-en-Provence-13001.png   13-01   Aix-en-Provence-Nord-Est
Blason Aix-en-Provence-13001.png   13-02   Aix-en-Provence-Sud-Ouest

Code INSEE 13001
Code postal 13100
Population 147 122 habitants (2020)
Nom des habitants Aixois, Aixoises

Acquae-Sextiens, Acquae-Sextiennes

Superficie 18 608 hectares
Densité 790.64 hab./km²
Altitude Mini : 73 m
Point culminant 501 m
Coordonnées
géographiques
43.527777° / 5.445555° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
13001 - Aix-en-Provence carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

  • La ville fut fondée en 122 avant J.-C. à son emplacement actuel par le consul Sextius Calvinius, sous le nom d'« Aquae Sextiae »; il avait précédemment détruit la place-forte d'Entremont (3 km nord), oppidum majeur des Saliens qui occupaient la Provence[1].

Héraldique

  • D'or aux quatre pals de gueules ; au chef tiercé en pal : au premier d'argent à la croix potencée d'or cantonnée de quatre croisettes du même, au deuxième d'azur semé de fleurs de lys d'or brisé en chef d'un lambel de cinq pendants de gueules, au troisième d'azur semé de fleurs de lys d'or à la bordure de gueules[2].

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Bouches-du-Rhône
  • Arrondissement - 1801-1932 : Aix, 1932-2024 : Aix-en-Provence
  • Cantons :
1801-1803 à 1806 : Aix
1803 à 1806-1932 : Aix-Nord et Aix-Sud
1932-1982 : Aix-en-Provence-Nord et Aix-en-Provence-Sud
1982-2015 : Aix-en-Provence-Centre, Aix-en-Provence-Nord-Est et Aix-en-Provence-Sud-Ouest
2015-2024 : Aix-en-Provence-1 et Aix-en-Provence-2
  • Commune - 1801-1932 : Aix, 1932-2024 : Aix-en-Provence

Résumé chronologique :

  • 1801-.... : Cton de , Arrt. de , Dép. de

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Église Saint-Jean-de-Malte

Église Saint-Jean-de-Malte


Cathédrale Saint-Sauveur

Cathédrale Saint-Sauveur
Photo J-P GALICHON


Édifice, construit sur l'emplacement du forum antique et, selon la légende, sur les fondations d'un ancien temple dédié au dieu Apollon, rassemble une multitude de styles architecturaux, du fait des nombreux remaniements qu'elle a subis au fil des siècles.
Ses dimensions sont de 70 mètres de longueur sur 46 mètres de largeur. Son élévation est de 20 mètres sous la clé de voûte.

La cathédrale est classée aux monuments historiques depuis 1840 [3]


Chapelle des Pénitents Blancs

Chapelle des Pénitents Blancs
Photo J-P GALICHON


Ancienne chapelle des Pénitents blancs, située place Jean-Boyer. Elle date du XVIIe siècle. Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1951[4].

Désaffectée du culte, elle abrite aujourd'hui l'annexe du Musée Granet, le musée municipal des beaux-arts, qui y expose des œuvres de la collection Jean Planque. Ces œuvres ont été déposées en 2011 par la Fondation Jean et Suzanne Planque [5] .

Église de la Madeleine

Église de la Madeleine
Photo J-P GALICHON


Un premier ensemble est construit au XIIIe siècle par les frères Prêcheurs à l'extérieur des remparts de la ville .
L'église sera reconstruite peu avant le milieu du XIVe siècle et fera l'objet de nombreux remaniements.
Du XVe au XVIIe les frères prêcheurs adosseront aux flancs sud et est des chapelles latérales.
À la fin du XVIIe siècle, l'église fait l'objet de remaniements inspirés par la Contre-Réforme. Sous la maitrise de Laurent VALLON, les murs de la nef sont surélevés au dessus des adossés et surmontés d'une croisée d'ogive. Un dessin en trompe-l'œil attribué à Jean-Claude CORDIER est peint dans le chœur entre 1691 et 1703.
Devenu temple décadaire sous la Révolution, elle sera réaffectée au culte en 1802.
La dernière modification notable sera faite entre 1855 et 1860 avec la mise en place de la façade néo-classique par l'architecte diocésain Henri REVOIL.
En 2006, l'église est fermée pour des raisons de sécurité et de 2008 à fin 2020, des travaux de renforcement et de restauration sont effectués.
Source[6]

Chapelle Notre-Dame-de-Consolation

Chapelle Notre-Dame-de-Consolation
Photo J-P GALICHON


Chapelle située le long de l'avenue Philippe Solari à Aix-en-Provence, totalement enclavée dans les bâtiments de l'hôpital Saint-Jacques.
La chapelle actuelle est située sur l'emplacement d'une ancienne église romane du XIe siècle.
À l'origine dédiée à Saint-André, elle prend, au XIVe siècle, le vocable de Notre-Dame-de-Consolation, et au début du XVIe siècle, elle est intégrée à l'ensemble hospitalier édifié par Jacques de La ROQUE. Vers 1585, elle devient l'église conventuelle des Capucins et le cœur qui était avant au niveau du parvis actuel est déplacé. Des fouilles récentes ont d'ailleurs permis d'émettre l'hypothèse qu'à partir du XVIe siècle, le parvis avait servi de cimetière.
Depuis septembre 2018, elle est confiée aux maronites d'Aix-en-Provence qui pourront y célébrer le culte catholique en langue arabe selon les rites propres à la liturgie des chrétiens d'Orient.
Nommée aussi chapelle Saint-Jacques ou chapelle de l'Hôpital, elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis novembre 1987[7]


Chapelle de l'ancien couvent des Augustins

Chapelle de l'ancien couvent des Augustins
Photo J-P GALICHON


De l'ancien couvent des Augustins (du XVe siècle), il reste principalement le clocher emblématique et sa chapelle, ainsi que des murs englobés dans les immeubles de construction ou rénovation plus récentes.

L'entrée de l'église et son narthex, conservés sur la rue Espariat, sont a présent occupés par un magasin.

Le clocher fut construit en 1472, constitué d'une tour carrée et d'un étage octogonal porté par un encorbellement circulaire. En 1667, il fut surmonté d'un campanile en fer forgé.
Le couvent et son église furent saisis et vendus comme bien national à la Révolution.

Inscrit partiellement aux monuments historiques [8]

Chapelle de l'ancien monastère de la Visitation

Chapelle de l'ancien monastère de la Visitation
Photo J-P GALICHON


On la connaît comme chapelle de la Visitation, chapelle des Ursulines, voire chapelle Sainte-Catherine de Sienne.
Cette chapelle se situe dans la partie Nord de l'ensemble du monastère construit entre 1647 et 1652 sur les plans de Pierre PAVILLON.

L'escalier de 13 marches qui mène à la façade principale de style baroque, était fort délabré à cause d'écoulements souterrains déviés dans les années 1970. La municipalité a racheté cet édifice et fait procéder à des travaux de soubassement en béton sur micro-pieux puis à un ravalement de la façade noircie par la pollution en 2015-2016. Les travaux, dirigés par l'architecte GIRARD, lui ont rendu son lustre d'antan.
La façade avait déjà subi des modifications. Notamment un bas-relief de la Visitation qui occupait dans le médaillon central la place de la Vierge actuelle. Et les statues de 2 évêques ont été remplacées par celles de Saint-Augustin et de Sainte-Ursule.

Classé Monument Historique en 1924[9]

Chapelle des Missionnaires Oblats de Marie-Immaculée

Chapelle des Missionnaires Oblats de Marie-Immaculée
Photo J-P GALICHON


Une première chapelle est construite en 1625 pour desservir le couvent des carmélites d'Aix-en-Provence[10]. La chapelle actuelle est bâtie selon les plans de Thomas VEYRIER (1658-1736) de 1695 à 1701[10]. La façade est réalisée par Laurent VALLON (1652-1724) en 1697[10].

Les carmélites sont expulsées de leur couvent à la Révolution française et la chapelle est transformée en temple de la Raison. En 1816, saint Eugène de MAZENOD (1782-1861), fondateur des oblats de Marie-Immaculée, acquiert l'ancien couvent et sa chapelle pour en faire une maison de formation pour les jeunes prêtres destinés à réévangéliser les populations paysannes de Provence déchristianisées depuis la révolution. C'est donc la première fondation de la congrégation [6].

La chapelle est classée au titre des monuments historiques en 1911[11]

Église Saint-Jean-Baptiste du Faubourg

Église Saint-Jean-Baptiste du Faubourg
Photo J-P GALICHON


Église où Paul CEZANNE épousa Hortense FIQUET le 28 avril 1886.
En 1697, Jean et Laurent VALLON reçoivent commande d'un couvent et d'une église dont les travaux se terminèrent en 1702. Son plan inhabituel en forme de croix grecque possède une indéniable parenté avec les deux précédentes réalisations des Vallon, les églises des Jésuites et des Prêcheurs. Des cinq coupoles initialement prévues, seuls, la nef centrale et le bas-côté sud ont été réalisés. Un bas-côté nord sera rajouté au XIXe siècle. Édifice classé au titre des monuments historiques en 1983[12].

Église du Saint-Esprit

Église du Saint-Esprit
Photo J-P GALICHON


L'église du Saint-Esprit est un édifice catholique. Elle a été construite au XVIIIe siècle à l'emplacement d'un hôpital pour enfants, dénommé l'hôpital du Saint-Esprit géré au XIVe siècle par les frères hospitaliers de l'Ordre du Saint-Esprit. Ordre fondé à Montpellier vers 1197.
Œuvre des architectes aixois Laurent et Georges Vallon, père et fils, de 1706 à 1728.
C'est dans cette église que MIRABEAU fut marié à Emilie de COVET MARIGNANE en 1772.
Sur le fronton de la façade on peut y remarquer un oratoire avec la statue de saint Roch.

L'édifice de style baroque est protégé par un classement au titre des monuments historiques par arrêté du 31 décembre 1985[13].

Source[6]

Chapelle des Jésuites du lycée du Sacré-Cœur

Chapelle des Jésuites du lycée du Sacré-Cœur
Photo J-P GALICHON


L'architecte Laurent VALLON réalise avec cette chapelle sa première église. Suivront celle du Saint-Esprit, des Prêcheurs et Saint-Jean-Baptiste-du-Faubourg. Il la positionne dans la perspective de la rue Félicien David.
La haute façade appelée à recevoir une décoration baroque, reste inachevée.
Cette chapelle possède toutefois un élément décoratif inattendu : une anamorphose murale, la seule conservée en France. Elle est située au-dessus de la nef mais n'est pas accessible au public. Sur plus de 8 mètres de long se déploie un paysage littoral, une ville portuaire fortifiée.
En 1982, le site est classé monument historique, et il fut rebaptisé Couvent des Jésuites[14] .
Source [15]

Église orthodoxe des Saints-Archanges

Église orthodoxe des Saints-Archanges
Photo J-P GALICHON


Anciennement chapelle de la Pureté.
La congrégation des Filles de la Pureté est fondée en 1680 par de pieux aixois pour venir en aide aux jeunes filles en danger moral et installée avant rue Longue Saint-Jean.

Georges Vallon construit au même moment l'église Saint-Jérôme (Saint-Esprit) dont le chevet touche la chapelle. « Il est donc tout à fait normal de supposer qu'il ait été chargé de donner les plans de la nouvelle chapelle » (J Boyer).
Cet édifice de dimensions modestes est composé d'une simple nef voûtée d'arêtes se terminant par une abside demi-circulaire.
Sous la Révolution, la congrégation est dissoute et la chapelle vendue. Les Pénitents Gris l'achetèrent en 1816 et l'occupèrent jusqu'en 1859 date de leur installation actuelle rue Lieutaud. Annexe de Saint-Esprit, elle est désaffectée en 1905. Elle servit d'entrepôt puis abrita ces dernières années une usine électrique.

Source [16]

Temple de l'Église protestante unie de France

Temple protestant
Photo J-P GALICHON


La paroisse protestante d'Aix-en-Provence est installée dans une ancienne synagogue (dans laquelle s'est marié le compositeur Darius MILHAUD). Un édifice racheté à la communauté juive par l'Église réformée aixoise, en quête de lieu de culte, en 1952. Témoins de ce passé hébraïque, deux chandeliers à sept branches et une plaque commémorative, en hébreu et en français, relatant l'histoire du lieu et mentionnant les Justes des nations de la ville, dont le pasteur Henri MANEN, aumônier du Camp des Milles (" Justes parmi les Nations ").


Pavillon de Vendôme

Pavillon de Vendôme
Photo J-P GALICHON


Le pavillon et son jardin ont été construits en 1652 pour Lucrèce de FORNIN-SOLLIÈS à la demande de Louis de MERCOEUR, duc de Vendôme et gouverneur de Provence. À son décès, le pavillon appartint successivement à : Gautier de la MOLLE en 1682, avocat général, en 1730 à J.B. VAN LOO, peintre et au XIXe siècle à H. DOBLER qui le légat à la ville pour en faire un musée.
Source[6]


Les thermes

Thermes
Photo J-P GALICHON


Aix-en-Provence doit sa fondation par les romains à la présence de sources thermales. Ses eaux contribuèrent au Moyen Âge à alimenter des bains publics et les artisanats dont des tanneries. En 1627, la municipalité achetait les bains publics de la rue des Étuves, et confiait la gestion à un médecin.
L'actuel établissement fut construit après la découverte dans ce quartier de l'Observance d'une nouvelle source.
L'architecte VALLON dessina le bâtiment qui fut plusieurs fois agrandi et modernisé.
Source[6]


La Tourreluque

La Tourreluque
Photo J-P GALICHON


La Tourreluque ou « tour de guet » est une tour d'angle, vestige du rempart construit au Moyen Âge autour d'Aix-en-Provence. Elle a servi de poudrière. Elle est contiguë à l'établissement des thermes d'Aix-en-Provence dont elle est la limite nord.

La construction de cette tour au XIVe siècle s'inscrit dans une période où l'insécurité régnant dans la ville, Aix s'entoure d'un rempart pour protéger ses habitants[17]. Jusqu'en 1848 la ville était entourée d'une enceinte flanquée de tours, dont la Tourreluque est le seul vestige.

Atelier de Paul CÉZANNE

Atelier de Paul Cézanne
Photo J-P GALICHON


Situé sur la sur la colline des Lauves.
De 1902 à sa mort en 1906, Paul CÉZANNE travaille tous les matins dans cet atelier de lumière et de silence, berceau de dizaines d'œuvres aujourd'hui conservées dans les grands musées du monde, dont les dernières Grandes Baigneuses.

Palais de l'archevêché

Palais de l'archevêché
Photo J-P GALICHON

L'archevêché fut établi dans ce lieu vers 1340. le palais fut sans cesse agrandi jusqu'au XVIIIe siècle pour être digne de la puissance des princes de l'église.
Un vaste réaménagement fut mené de 1650 à 1730 auquel l'architecte Laurent VALLON participa.

La façade ouest avec son portail colossal fut créé en 1715. Il est fermée par une belle porte dont le décor d'un goût très parisien attribué à Bernard TORO. En 1770, Monseigneur Raymond de Boisgelin devient archevêque d'Aix. Son action sur le plan culturel comme politique a permis un temps de paix et de développement méconnu par les aixois.
Les armes qui la surmontent sont celles de Mgr de BAUSSET-ROQUEFORT (1817). Au nord-est l'originalité de ce grand escalier à double révolution (1670) vient de sa composition inédite en diagonale.
Sécularisé en 1905, il devint un musée en 1910 pour conserver les tapisseries des évêques. Les collections ont été enrichies au cours du XXe siècle.

Le palais épiscopal est classé aux monuments historiques en 1942 [18], la porte de la façade est classée aux monuments historiques en 1926[19].

Source[6]

Hôtel de Roquesaule

Hôtel de Roquesaule
Photo J-P GALICHON


Hôtel particulier situé à Aix-en-Provence édifié au XVIIe siècle.
Le monument fait l'objet d'une inscription partielle au titre des monuments historiques depuis 1929[20].

Fondation Vasarely

Fondation Vasarely
Photo J. GALICHON

La Fondation Vasarely est un centre architectonique (création d'une structure mêlant art et architecture au service d'un sens qui lui est propre) situé à Aix-en-Provence, érigé entre 1971 et 1976 par l'artiste contemporain franco-hongrois Victor Vasarely. Il abrite dans une architecture faite d'alvéoles des œuvres de Vasarely intégrées aux façades et à des murs internes du bâtiment, qui de son vivant pouvaient servir d'inspiration pour les commandes qu'on lui passait. Il est classé aux Monuments historiques depuis 2013.


Hôtel Maurel de Pontèves

Hôtel Maurel de Pontèves
Photo J-P GALICHON


Construit de 1647 à 1651 par Jean LOMBARD, puis par Pierre PAVILLON, pour Pierre MAUREL, riche marchand de draps. Il devint maître des courriers des postes en la généralité de Provence, puis acheta une charge anoblissante de conseiller à la Cour des comptes, puis devint intendant des finances du roi.
Le bâtiment marque une transition entre le maniérisme et l'ère baroque. Sa façade est remarquable par les deux atlantes du sculpteur Jacques FOSSÉ soutenant le balcon de l'étage noble.

Le monument fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis février 1990[21] .


Fontaines

Fontaine de la Rotonde : fontaine édifiée en 1860 sur les plans des ingénieurs TOURNADRE et SYLVESTRE. Haute de 12 mètres, la fontaine est construite en pierre et composée de deux bassins. Les lions, dauphins, cygnes et enfants sont l'œuvres de TRUPHÈME. Les trois statues qui la surmontent, représentent la Justice (vers le Cours), l'Agriculture (vers Marseille) et les Beaux-Arts (vers Avignon), formant une étoile routière. les sculpteurs RAMUS, CHABAUD et FERRAT en sont les auteurs. [16]

Fontaine de la place d'Albertas : la place a été construite en six ans, de 1735 à 1741, par Jean-Baptiste d'ALBERTAS face à l'hôtel où il demeurait. Son ornementation métallique ne date que de 1912 et a été fondue et coulée par les élèves des Arts-et-Métiers. La place constitue un décor architectural qui met en valeur la fontaine circulaire. [16]

Fontaine moussue : construite en 1666 par l'architecte Jacques FOSSÉ, la fontaine dite "moussue" est l'une des trois fontaines du cours Mirabeau. Elle devait être ornée d'un triton, remplacé trois ans plus tard par quatre enfants soutenant une vasque d'où sortait l'eau de la ville. On ne voit plus rien de tout cela aujourd'hui. [16]

Fontaine Villeverte : la fontaine Villeverte est située sur la place Paul FERREOL. Alimentée par la source sous la traverse de la Molle, elle date de 1683 et fut sculptée par ESCURSAU. À ce jour, elle possède deux vasques : une large, à margelle basse, qui servait aux bétail lors de la transhumance ; et l'autre, en forme de conque, qui permettait à la population d'y puiser l'eau. Le bassin et la conque sont alimentés chacun par un mascaron en bronze représentant une tête d'homme d'allure sévère, bouche ouverte. À son sommet, se trouve une urne en fonte placée là en 1848. [16]

Fontaine des deux canons : Située rue Boulegon elle date de 1532 et participe au charme de la rue. Elle était à l'origine décorée d'une frise et de têtes sculptées qui furent ensuite remplacées par deux canons. C'est la plus ancienne fontaine de la ville encore debout à ce jour. [16]

Fontaine des quatre Dauphins : sculptée en 1667 par Jean-Claude RAMBOT sur l'ancienne place Mazarine. Protégée au titre des Monuments Historiques en 1905, elle se compose d'un bassin circulaire réalisé en pierre froide de la Sainte Baume, dont le centre est occupé par un obélisque décalé et supporté par quatre dauphins. Leurs nageoires caudales sont quant à elles sculptées dans de la pierre de Calissanne. [16] [22]

Fontaine Pascal : la fontaine Pascal est inscrite Monument historique en 1929. Elle se situe en haut du Cours Sextius[23]. Une précédente fontaine fut édifiée à cet emplacement en 1713 mais la source à partir de laquelle elle tirait l'eau n'en apportait pas assez. En temps de sécheresse, la population du quartier souffrait de ce manque, et des épidémies se propageaient. En 1833, afin de mettre un terme à ces pénuries répétées, on fora plus profondément dans le puits. Pour célébrer ce nouveau flux d'eau, une fontaine fut construite après la démolition de l'ancienne, qui rappelait des temps difficiles.
La situation resta inchangée jusqu'en 1922 quand Sylvain PASCAL, un riche commerçant de la rue des Cordeliers, décida d'honorer les habitants de son quartier en offrant une fontaine symbolisant la beauté et le charme de la Provence. Le monument, dessiné par l'architecte LIEUTAUD et exécuté par le sculpteur BAILLE, montre, sur une urne située au sommet, une farandole de quatre jeunes Provençales, accompagnées sur le piédestal par un tambourinaire. De chaque côté du massif au centre, sont représentées deux têtes d'un Bacchus juvénile, dont les canons crachent l'eau dans deux vastes coquilles.

Repère géographique.png Repères géographiques

Aix-en-Provence se trouve au sud de la France, dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, à 30 km de Marseille. On l'appelle aussi "Aix".

Anciens cantons d'Aix-en-Provence

Les anciens cantons d'Aix-en-Provence (avant 2015) :


Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 27 000 21 009 21 960 22 412 22 575 24 660 26 698 27 280 27 255 26 136
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 27 659 28 152 29 020 28 693 29 257 29 057 28 357 28 913 29 418 29 829
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 29 836 29 983 35 106 38 332 42 615 46 053 54 217 67 943 89 566 110 659
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 121 327 123 842 133 018 142 534 140 684 143 006 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Photos

Cartes anciennes

Dans la peinture

Pictos recherche.png Article détaillé : Villes et villages à travers la peinture


Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Jean ESPARIAT 10 février 1790 - 11 novembre 1790  
Toussaint-Bernard ÉMERIC-DAVID 11 novembre 1790 - 1er septembre 1791  
Jean ESPARIAT 1 septembre 1791 - 20 septembre 1792  
Laurent Elzéar PERRIN 1792 - 24 juillet 1793  
MÉRIAUD 24 juillet 1793 - 28 septembre 1793  
J. L. ÉMERIC 28 septembre 1793 - 17 février 1796  
- -  
- -  
REVERDIT 16 décembre 1797 - 20 avril 1798  
ÉMERIC 20 avril 1798 - 25 mai 1798  
BRIGNON 25 mai 1798 - 27 mai 1799  
ORCEL 27 mai 1799 - 20 juillet 1799  
BRIGNON 20 juillet 1799 - mai 1802 Président puis maire  
François SALLIER mai 1802 - juin 1806  
Antoine ALEXIS 26 juin 1806 - 15 août 1806  
Jean-Baptiste-Boniface de FORTIS août 1806 - août 1808  
Alexandre de FAURIS de SAINT-VINCENS août 1808 - novembre 1809  
Jean-Baptiste-Boniface de FORTIS novembre 1809 - août 1811  
Jean-Baptiste Paul GRAS 11 août 1811 - mai 1815  
Joseph DUBREUIL 4 mai 1815 - 28 juin 1815  
Jean-Baptiste Paul GRAS 28 juin 1815 - 30 juin 1815  
Gaston d'OLIVARY juin 1815 - septembre 1916 Provisoire  
Louis d'Estienne du BOURGUET septembre 1816 - aôut 1830 Voir l'histoire de sa famille  
Joseph CHAMBAUD 8 août 1830 - 20 août 1830 Maire provisoire  
Ambroise François Jean-Baptiste MOTTET août 1830 - juin 1831 Né en 1792. Avocat, notaire, recteur d'académie, procureur, membre du Conseil d'État. Député de 1835 à 1842 et de 1844 à 1848. Conseiller général du Canton de Cadenet de 1847 à 1848. Commandeur de la Légion d'honneur en 1860. Décède en 1862.  
Joseph CHAMBAUD juin 1831 - août 1835  
Antoine AUDE août 1835 - mars 1848  
Jassuda BÉDARRIDE mars 1848 - mai 1849  
Michel TOUSSAINT mai 1849 - jun 1849  
Félicien AGARD juin 1849 - août 1849  
Émile RIGAUD août 1849 - janvier 1863  
Pascal Paul ROUX janvier 1863 - septembre 1870  
Jean-Philippe ALEXIS septembre 1870 - avril 1871  
Jules VIEIL avril 1871 - mai 1871  
Gustave HEIRIEIS mai 1871 - mai 1873  
Martial BOUTEILLE mai 1873 - décembre 1874  
Eugène de MOUGINS de ROQUEFORT décembre 1874 - mai 1876  
Salomon BEDARRIDES mai 1876 - octobre 1877  
Eugène de MOUGINS de ROQUEFORT octobre 1877 - décembre 1877  
Salomon BEDARRIDES décembre 1877 - mai 1884  
Henri TASSY mai 1884 - juin 1884  
Alfred GAUTIER juin 1884 - 1886  
François MANDIN 1886 - mai 1888  
Benjamin ABRAM mai 1888 - mai 1896  
Gabriel BARON mai 1896 - octobre 1897  
Maurice BERTRAND octobre 1897 - mars 1902  
Joseph CABASSOL mars 1902 - novembre 1908  
Maurice BERTRAND novembre 1908 - novembre 1919  
Joseph JOURDAN novembre 1919 - mai 1925  
Eugène DEBAZAC novembre 1925 - mai 1929  
Joseph JOURDAN mai 1929 - novembre 1934  
Louis COIRARD novembre 1934 - mai 1935  
Jean PEYREAL mai 1935 - mai 1940  
Célestin COQ décembre 1940 - août 1944  
Jules SCHULLER août 1944 - mai 1945 Président  
Henri MOURET mai 1945 - janvier 1967 Conseiller général d'Aix-en-Provence-Nord (1958-1964).  
Félix CICCOLINI 27 janvier 1967 - 29 juin 1978 Né le 02/10/1916 à Cozzano (Corse-du-Sud), décédé le 01/05/2010 à Ajaccio (Corse-du-Sud). Avocat, conseiller général du canton d'Aix-en-Provence-Nord (1964-1979), sénateur (1971-1989)[25].  
Alain JOISSAINS 29 juin 1978 - 18 mars 1983  
Jean-Pierre de PERETTI 18 mars 1983 - 24 mars 1989 Né le 26/06/1930 à Lausanne (Suisse), décédé le 08/10/2001 à Tours (Indre-et-Loire). Député (1988-1993)[26].  
Jean-François PICHERAL 24 mars 1989 - 18 mars 2001 Né le 26/02/1934 à Montpellier (Hérault). Sénateur (1998-2008)[27].  
Maryse JOISSAINS-MASINI (née CHARTON) 18 mars 2001 - 2021 Née le 15/08/1942 à Toulon (Var). Avocat, députée (2002-2012)[28].  
Sophie JOISSAINS septembre 2021 - (2026) Née le 25/10/1969 à Aix-en-Provence. Sénatrice (2008-2020)[29]. Source[30]  
- -  

Cf. : MairesGenWeb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
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Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
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Étienne KERN 2018 -... Curé de l'ensemble paroissial de Notre-Dame de l'Arc, Saint-Jérôme et Saint-André  

Les curés de Saint-Esprit Saint-Jérôme

Prénom(s) NOM Période Observations
Jean COLLAVIER 1670-  
Antoine BRUN 1673-  
Pierre DECUGIS 1700-  
Philippe de CABANE 1720-  
Jean DIDIER 1743-  
François Gaspard ROCHE 1766-  
Antoine COMBE 1785-  
Claude GAL 1820-  
Antoine COLOMBY 1827-  
Jean Baptiste CHAMBAREL 1834-  
Antoine EMERY 1846-  
André MICHEL 1883-  
Henri EISSERIS 1887-  
Jean Baptiste BOURDET 1889-  
Théodore VAN GAVER 1908-  
Casimir MAGNAN 1930-  
Edouard BRUN 1944-  
Charles ANDRÉ 1952-  
Roger GOUNANT 1960-  
Gaston VOOG 1972-  
Marius DESTHIEUX 1977-  
Jacques BALESTA 1980-  
André HECKENROTH 1988-  

Autres personnalités

  • Famille Le BLANC de MONDESPIN, famille noble

Les titulaires de la Légion d'honneur

Pictos recherche.png Article détaillé : Aix-en-Provence - La Légion d'honneur

Ville de naissance de.jpg Ville de naissance ou de décès de

Naissances :

  • Antoine Raymond Joseph de BRUNI, chevalier d'ENTRECASTEAUX, navigateur qui découvrira l'arbre à pain et les Îles Kermadec, né le 8 novembre 1737, décédé le 21 juillet 1793
  • André CAMPRA, compositeur né le 3 décembre 1660, décédé à Versailles (Yvelines) le 29 juin 1744
  • Jean Joseph Auguste Paul Raymond CASTELLAN (1795-1871), président de la Cour d'Appel.
  • Paul CÉZANNE, peintre, né et décédé à Aix-en-Provence les 19 janvier 1839 et 22 octobre 1906
  • Claude-Adrien de CLAPIERS, marquis de VAUVENARGUES, écrivain né le 5 août 1715, décédé à Paris le 28 mai 1747
  • Arnaud Marcel Maurice CLÉMENT, tennisman né le 17 décembre 1977
  • Raoul CURET, acteur né à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) le 8 septembre 1920
  • Dounia COESENS, actrice née le 20 septembre 1988
  • Thierry DESROSES, acteur né le 12 août 1960
  • Saint EUGÈNE de MAZENOD, fondateur de congrégations, né le 1er août 1782, décédé à Marseille le 21 mai 1861
  • Andréa FERRÉOL, actrice née le 6 janvier 1947
  • Franck GAMMAS, navigateur né le 22 décembre 1972
  • Hélène GRIMAUD, pianiste née le 7 novembre 1969
  • Henri GUISOL, acteur, de son vrai nom Henry Paul Julien BONHOMME, né le 12 octobre 1904, décédé à Saint-Raphaël (Var) le 11 mai 1994
  • Jean MARKOVITCH, acteur connu sous le nom de Marco PERRIN, né le 16 mai 1927
  • Henri MICHEL, footballeur puis entraîneur né le 29 octobre 1947
  • Darius MILHAUD, compositeur né le 4 septembre 1892, décédé à Genève (Suisse) le 22 juin 1974
  • Olivier TÉMIME, jazzman né le 30 janvier 1973
  • Emmanuel UNGARO, couturier né le 13 février 1933
  • Paul VEYNE, historien né le 13 juin 1930
  • Mylène ZAMPANOI', actrice née le 12 juillet 1980


Décès :

  • Georges Michel Claude DUBY, historien né à Paris le 7 octobre 1919, décédé le 3 décembre 1996
  • Yvette GUILBERT, chanteuse née à Paris le 20 janvier 1865, décédée le 3 février 1944
  • Jean MURAT, acteur né à Périgueux (Dordogne) le 13 juillet 1888, décédé le 4 janvier 1968
  • Pierre SCHAEFFER, ingénieur, compositeur né à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 14 août 1910, décédé le 19 août 1995

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945

  • Monument aux morts, situé place des Combattants.
  • Monument aux morts 1914-1918, 1939-1945 et Algérie, situé au cimetière Saint-Pierre.
  • Monument aux morts 1914-1918, aux Arméniens massacrés par les Turcs en 1915, situé place de la Rotonde.
  • Monument aux morts 1939-1945, aux Juifs déportés, situé route Chemin des Déportés.
  • Plaque commémorative à la mémoire des professeurs de droit d'Aix morts pour la France en 1914-1918, situé avenue Robert Schuman, Université de Droit.
  • Monument aux morts 1914-1918 aux soldats africains morts en servant la France, situé dans le cimetière communal.


Émigration

Émigration en Algérie

Quelques personnes, natives d'Aix-en-Provence, ont émigré en Algérie :

  • Jean François Chrysostome BELLON-PARAT, né le 05/09/1805, décédé le 28/06/1879 à Oran. Brigadier au 18e régiment d'artillerie à Bourges (Cher) en 1839, puis entrepreneur en maçonnerie et propriétaire à Mangin (Algérie). Filiation inconnue.
    Il épouse avant 1839 Marie Françoise CHERY, décédée le 06/07/1862 à Mostaganem (Oran), filiation inconnue, dont :
- Joséphine Louise PARAT, née le 14/10/1839 à Bourges, décédée le 09/07/1861 à Relizane (Oran), qui épouse à Aïn-Témouchent (Oran), le 27/09/1856, Joseph Aimé BERTRAND, né le 28/04/1831 à Chantilly (Oise), décédé le 12/08/1863 à Relizane, marchand boucher, d'où postérité.
  • Thérèse Marie LONG, née le 14/04/1828, décédée après 05/1878 en Algérie. Tailleuse à Alger (1857). Fille de Joseph Antoine (° ca.1787), ancien ouvrier charcutier, domicilié à Aix, Grande-rue (1828), puis employé à l'Ecole des Arts et Métiers, et de Rose Marie GINOUX.
    Elle épouse à Alger, le 20/06/1857, Pierre André BARCHI, né le 02/11/1817 à Gravesano (Suisse), décédé après 05/1878, docteur en médecine à Bugeaud (Constantine), fils de André et de Marie Gertrude VANINI, dont :
- Rose BARCHI, née le 30/07/1848 à Aix, qui épouse à Souk-Ahras (Algérie), le 16/04/1868, Ernest Marie Augustin du ROY de CHAUMARAY, né le 16/12/1838 au château de Lachenaud, commune de Bussière-Hoffy, arrondissement de Bellac (Haute-Vienne), greffier de la justice de paix du canton de Souk-Ahras (1868), fils de Charles et de Euphémie Françoise du GARREAU.
- Caroline Antoinette Louise BARCHI, née le 10/04/1858 à Bugeaud (Constantine), qui épouse à Bugeaud, le 11/05/1878, Paul Eugène Auguste ROUSSET, né le 20/11/1832 probablement à Nyons (Drôme), capitaine commandant le pénitencier militaire de Bône, fils de Joseph Auguste (+ 01/02/1854 Nyons), et de Jeanne Elisabeth BONNET (+ ap. 05/1878), rentière, domiciliée en 1878 à Nyons.
  • Julien LIFRAN, né le 06/01/1848, décédé en Algérie, cultivateur (1879) à l'Oued-Rehan, commune d'Affreville, Blida (Alger). Fils de père et mère inconnus.
    Il épouse à Affreville, le 30/04/1879, Marianne Victorine Eugénie MOUGIN, née le 21/01/1844 à Eguenigue, Haut-Rhin (aujourd'hui Territoire de Belfort), fille de François Xavier (+ 24/05/1866 Eguenigue) et de Marie GIROL.
    L'épouse était veuve de Frédéric MONNIER (° 17/07/1837 Mas, Ardèche, + av. 04/1879), cultivateur à l'Oued-Rehan, fils de Henri et de Catherine FAMITTE.
    Pas de postérité établie à ce jour.
  • Alexandre Marius TESQUET, né le 25/01/1861, décédé après 1885 en Algérie, maçon, domicilié (1885) à Isserbourg, annexe de Blad-Guitoun, canton de Ménerville (Alger), fils de Jacques (+ ap. 01/1885) et de Baptistine Thérèse CABASSU (+ ap. 01/1885).
    Il épouse à Blad-Guitoun, le 24/01/1885, Marie Joséphine GERMSER, née le 19/01/1864 à Alger, fille de Joseph (° 18/03/1823 Schleithal, Bas-Rhin, + 16/12/1888 Courbet, Alger), facteur des postes, domicilié rue du Hamma n°13 à Alger, et de Caroline GOEPP (° 12/10/1842 Renchen, duché de Bade, Allemagne, + ap. 03/1903 sans doute à Courbet), couturière. Pas de postérité établie à ce jour.

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

>> Voir la liste complète sur Geneanet

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin de 8 h … de 8 h … de 8 h … de 8 h … de 8 h … - -
Après-midi … à 18 h … à 16 h 30 … à 18 h … à 16 h 30 … à 16 h 30 - -
13001 - Aix-en-Provence Hôtel de Ville.JPG

Mairie
Adresse : Place de l'Hôtel de Ville - 13616 AIX-EN-PROVENCE

Tél : 04 42 91 90 00 - Fax : 04 42 91 90 64

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire : * Accueil téléphonique du lundi au vendredi de 8 h à 18 h en continu.

Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Mai 2023)

Associations d'histoire locale

Archives & dépouillements des registres

La municipalité d'Aix-en-Provence a numérisé ses archives anciennes :

Aix-en-Provence fut divisée en paroisse :

  • Paroisses intra-muros :
  • Paroisses extra-muros :

L'intégralité des dépouillement est réalisée par l'Association Généalogique des Bouches-du-Rhône des mariages aixois (1598 à 1812), ainsi que quelques baptêmes et sépultures sur :

  • Bigenet
  • Généabank
  • en vente sur Cd-Rom auprès de l'association
  • aux archives municipales et départementales

Une partie des dépouillements sont publiés par GeneProvence sur le site de Sébastien Avy

Archives notariales

Les Archives départementales des Bouches-du-Rhône - Dépôt d'Aix, disposent d'un très important fonds de registres notariaux dont les plus anciens datent du XIIIe siècle. Grace à l'immense travail de quelques généalogistes bénévoles de l'A.G.13, dont MM. Léon MARTIN et Guy BARDET, les chercheurs disposent d'un relevé exhaustif des Contrats de mariage rédigés à Aix pour la période 1464-1638, soit plus de 30 000 actes.

Patronymes

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  Armorial des archevêques d'Aix
  Aix-en-Provence d'antan

  • Collectif, Histoire d'Aix-en-Provence, Edisud, Aix-en-Provence, 1977, ISBN 978-2-85744-024-6.
  • Valérie DULONDEL, Bruno ELY, Photos Henry Ely - Aix, La Seconde et le siècle, Aix-en-Provence, éd. Musée des Tapisseries Pavillon de Vendôme, 1995.
  • François Ambroise Thomas ROUX-ALPHÉRAN, Les rues d'Aix - 2 tomes, Aubin, Aix-en-Provence, 1866, ISBN 978-2859980207.
  • André BOUYALA D'ARNAUD, Évocation du vieil Aix-en-Provence, Éditions de Minuit, Paris, 1964, ISBN 978-2707302717.
  • D. J. E. CHOL, Huguette LASALLE, Secrets et décors des hôtels particuliers aixois, éd. Chol, Aix-en-Provence, 2002, ISBN 978-2951286214.

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^ Sommaire

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