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L’an 1644 et le 2ème jour du mois de janvier dans la maison de Jacques SEGURET, Me taneur en présence de tous ceux de la maison et plusieurs cavaliers alemands et autres, avons fiancé Jean ESTILLERE de Clos, cavalier du régiment de Gasson soubs M.le Baron d’Alles des dites compagnies logées en ville et le dit ESTILLERE d’Allemagne avec BERCLE Anne de la ville de Roctambourg d’Allemagne. Contrat prins et receu par Pierre PEYRE, notaire de la présente ville.
L’an 1644 et le 2ème jour du mois de janvier dans la maison de Jacques SEGURET, Me taneur en présence de tous ceux de la maison et plusieurs cavaliers alemands et autres, avons fiancé Jean ESTILLERE de Clos, cavalier du régiment de Gasson soubs M.le Baron d’Alles des dites compagnies logées en ville et le dit ESTILLERE d’Allemagne avec BERCLE Anne de la ville de Roctambourg d’Allemagne. Contrat prins et receu par Pierre PEYRE, notaire de la présente ville.
16-05-1648 AD12 2E 216 GG2
Je, François DAVIGNON, pbre ay chanté ma 1ère messe ce jourd’huy 16ème may de l’année 1648. Parrain M. GALTIER, sacristain de l’esglise collegiale de St-Affrique, marraine Delle Catherine de GALTIER, fille de M. Louys de GALTIER +, juge de la présente ville et coadjuteur dans l’esglise parroissiale de la ville.
Ce mesme jour à l’issue de ma messe, les religieuses de ND se sont cloistrées dans la maison de M.BOURGES, ...de tout le chappitre...la musique de Mgr l’Evesque.
- 19/06/1647, ay prins possession de mon canoniacat a moy assigné par M. Affrique BARASCUT, chanoine, mon oncle.
- 24/02/1647, M. Affrique DAVIGNON, mon frère a chanté sa 1ère messe dans mon église paroissiale. Le parrain a esté M. LARESI, diacre de Vabre, vicaire général et la marraine Delle Margot de GALTIER, filhe de M. le Juge de St-Affrique.
- 29/07/1653, mon frère a prins possession du canoniacat de St-Affrique que Mgr de Vabre luy a donné, vacquant par la mort de M. Jean (illisible), chanoine.
Premier livre appartenant à M. François DAVIGNON, chanoine de St-Affrique dans lequel sont consignés tous les mariatges, décés, baptissers : enregistré à partir de l’année 1639. En foy de ce DAVIGNON (suit un index folioté par paroisse).
Permission de chapelle.
Le 6ème novembre 1645 a esté establie une chapelle dans le chasteau du Mas Rogié par MM. les vicaires générals, l’archidiacre et pessaire. Le siège vaquant et ce acepté à la prière du Sr du Mas Rogié lesquels vicaires se sont transportés sur le lieu le jour susdit pour vérifier si le lieu estait convenable. Et pour la bénédiction d’icelle chapelle M. ESPINASSE a esté commis comme chanoine et secondaire de St-Affrique qui a esté par luy faicte le 26ème du dit mois de novembre.
                DAVIGNON
Moi soubsigné ay dict la 1ère messe à la dicte chapelle le jour susdict, le Sr ESPINASSE présent.
                DAVIGNON
La faction de 2 cloches. AD12 2E 216 GG2
“Avons monté au clocher la grande cloche qui a esté fondue le 28 aoust dernier, pesant 17 quintals 88 livres laquelle feut aussi fondue en l’année 1643 et l’an 1654 et a esté si souvant rompue à cause qu’elle sonnait par le passé l’horloge, le Conseil et le carrilhon laquelle cloche apartient en entier aux catholiques selon les contracts passés entre les dits catholiques et ceux de la RPR retenus par POMAREDE notaire ; et le 25 septembre du dit an a esté fondue une autre cloche à l’hospital comme la susdite du poix de 9 quintals 30 livres faicte aux despens de l’oeuvre du consentement de Mgr l’evesque et tous les catholiques selon qu’on peut voir sur l’inscription qui est d’honeur de St-Sernin. Consuls Me POMAREDE docteur et advocat, Jean PEIRE et Guilhaume BARASCUT, M.Affrique DAVIGNON chanoine et scyndic et Guilhaume PAMIES, Marius MONTEL.”(fin de page coupée à la photocopie)


== Bibliographie ==
== Bibliographie ==


== Liens utiles ==
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Version du 23 novembre 2005 à 11:00

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Saint-Affrique
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département Aveyron
Métropole {{{Métropole}}}
Canton Saint-Affrique
Code INSEE 12208
Code postal 12400
Population 7507 habitants (1999)
Nom des habitants Saint-Affricains
Superficie 11096 hectares hectares
Densité
Altitude 279 m / 720 m
Point culminant 720m
Coordonnées
géographiques
2°53'11" E / 43°57'30" N
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
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Histoire de la commune

absorbe en 1840, Bedos-Peyralle / Bournac / Saint-Étienne-de-Naucoules / Vendeloves

RELEVES du CERCLE GENEALOGIQUE du SUD-AVEYRON

Archives de Tiergues, (commune de St-Affrique,12)

AD12 2E 216 GG 10

Dieu soit loué. La postérité demeurera informée qu’en l’année 1709, le sixième jour du mois de Janvier, environ les 7 heures du matin, le temps, qui était le jour précédent fort doux, devint à un si haut degré de froideur que le reste du même mois, et le mois de Février suivant fit un si grand froit, que me trouvant dans l’abbaye de Quinsy en champagne diocèse de Langres, on y voyoit des arbres d’une grosseur démesurée, qui se fendoit si extraordinairement, qu’on pouvoit passer le bras entièrement dans les fentes, qui persoit de jour en jour à travers les arbres. Le neuf du mois de janvier, je partis de Tonnerre pour aller à Langres, distant l’une de l’autre de 26 lieues, je fus obligé de me servir presque de deux nuits, allant pour l’insinuation des provisions de la Cure de Chazeray, et la dernière j’entrai dans la forest d’Arc en Barrois qui a trois lieues de trajet sans trouver aucun hameaux, je ta traverssoi de nuit, mais l’eclat que les arbres de cette forest faisoient en se fendant par la rigeur du froit auraient épouvantés les plus hardis, il me sembloit être dans un camp de bataille tant le bruit des arbres étoit extraordinaire, en faisant ce voyage, ou à mon retour je trouvai dans les villes et villages partout des gens que ce grand froit avoir mis les uns à mort, les autres qui se trouvoient secourus, encore languissants, et à demy morts.Il arriva à cause de ce grand froit que cette année, dans la Champagne, Bourgogne, Picardie, Isle de France, et partie de la Normandie, il n’y eut aucuns blé, je veux dire d’hiver, froment, seigle, orge, fèves et autres denrées, ny même pas une goute de vin dans la Champagne et Bourgogne, qui sont deux provinces abondantes en vin ce qui causa une si grande famine dans tout ce païs là, qu’on voyait dans le printemps les pauvres gens qui sembloient des spectres fouilloient par les champs les herbes et racines, comme font ordinairement les cochons.Le pain y fut pendant un an à 6s 7s 8s la livre.Il est vrai que les palmoules qu’on fit cette année produisirent beaucoup.Il arriva que l’intendant de Champagne fit de grandes depanses dans la généralité, sous d’amandes extraordinaire, de labourer au mois de mars les champs ensemencés pour y faire des palmoules disant que les blés d’hiver pousseraient, cependant les endroits qui obéirent à ses ordonnances se trouvèrent fort malheureux, n’ayant ny les blés d’hivers ni palmoules.Et par tout le royaume les fruitiers périrent et surtout les noyers quand je fut de retour dans le Rouergue, je fus fors surpris de voir la perte totale de noyers, et surtout quand j’arrivai à Tiergues d’où j’étais absent depuis onze ans, j’y arrivai au commencement du mois de may 1711 et je vis le triste débris des noyers sans espérance d’y pouvoir y faire une goute d’huile, dans le temps que j’avais vu qu’on y en aurait pu faire jusques cent quintaux d’huile, mais ordinairement cette petite paroisse recueilloit l’une année portant l’autre quarante cinq quintaux d’huile.On ne pourra pas croire l’avenir qu’à Tiergues il y eut de si forts noyers qu’il y avait j’ay pourtant veu refuser un quintal d’huile d’un seul pied de noyer, on peut juger de la combien de fruits portoient ces grands noyers. Cette année là mourut quantité de gens il me souvient qu’en 1709 au mois d’octobre je passoi à Nevers, où jevis les rues pavées des mandiants, qui par leurs plaintes et leurs gémissements faisoient fendre le coeur et au cabaret où je couchai le maitre du cabaret me dit que depuis six mois à Nevers on comptoit jusqu’à 4500 personnes qui étoient mortes, sans y compendre les passans dont on ne connaissoit le nom et à Tonnere dans l’hôpital le registre mortuaire était chargé de 1500 personnes, sans y comprendre quantité d’étrangers dont on ne connaissoit ny le nom ny le païs.Enfin à Chaply petite ville de Champagne j’y payé cinq sols de la livre du pain d’avoine, voilà ce que je puis dire pour l’avoir veu moy même; quand on alloit pour vendre du blé ou achepté du pain,on n’étoit pas en sureté sur les chemins. Ecrit à Tiergues le 01-12-1714 par INQUIMBERT, curé de Tiergues


Archives de St-Affrique AD12 2E 216 GG2, du 21-03-1660

“Jour des Rameaux a esté fait feu de joy en ceste ville pour le mariage du Roy avec l’Infante d’Espaigne et pour la paix aussi avec l’Espagne pour laquelle si devant a esté chanté le Te Deum par ordre de Mgr l’Evesque conformément à la letre du Roy lue en notre prosne ce jourd’huy, le corps du chappitre sommes allés en procession au dit feu de joye à liaire del poustel. Chaqun des chanoines avec un pluvial accompagnés de M.le Juge, des Consuls, Procureur du Roy, lieutenant de Juge et de tous catholiques en grand nombre chantant le Te Deum lequel parachevé, feut publiée la paix à son de trompe devant le bûcher et lue par Peiré greffier ; le feu feut mis au dit bûcher par M. notre Prévost, vicaire général et official accompagné des sieurs Nove et Bonvouloir avec leurs pluviaux, le Sr Juge à la main gauche du dit official et après les Consuls, lieutenant et procureur du Roy, chascung avec son flambeau qui mirent aussi le feu au dit bûcher ; après quoi 200 fusiliers ou mousquetaires deschargèrent sur le dit bûcher parmi lesquels il y avait quelques piquiers par ordre et commandement de M.de Bazergues qui commandait lesdites fusiliers avec M.Anthoine son lieutenant où estaient 4 tambours et 2 drapeaux. Et aussi la procession se retira en chantant au retour de l’église le bénédicté. Immédiatement après, le Sr de Bazergues fit aller faire une descharge devant la porte du Sr Juge pour le saluer, après au Sr Magrenet premier consul, Galtier second, Flotard 3e et Galsin dernier, à M.de Vendaloves lieutenant et au Procureur du Roy. Et ainsi c’est passé tout ce dessus escrit avec paix et tranquillité nonobstant la division de la ville.”

Archives de St-Affrique AD12 2E 216 GG2 du 11-12-1661

“Le 11 décembre 1661 a esté faict en ceste ville le feu de joyes pour la naissance de Mgr le dauphain ou estoint tous les MM. chanoines revestus de chappes avec pluviaus magnifiques accompagnés de M.le Juge, M.le lieutenant, M.le Procureur du Roy, MM.les Consuls avec leurs robbes rouges qui mirent avec M.notre Prévost le feu au bucher et ce fut dans liaire del poustre à l’issue de vespres du dit jour. Au devant estaient dans hautbois et un violon, 40 fusiliers sur le clocher...qui deschargèrent à l’instant qu’on eut mis le feu, après marchèrent par la ville 200 homes armés jusques à ce qu’il feut nuict et alors les Consuls avec leurs robbes montèrent tous à cheval et firent la ronde par toute la ville accompagnés de plus de 200 catholiques chaqun avec sa chandelle a la main lesquels s’estant retirés vindrent aussi environ autres 200 travalieurs avec leurs sabots et chaqun sa chandelle, criant vive le Roy, vive le Dauphain, toute la nuit a chasque fenestre des maisons il y eut des chandelles ou lempes allumées avec un feu devant la porte d’un chaqun. Joubliais a dire que lorsqu’on mit le feu au dit bucher vindrent 3 cabaliers habillés magnifiquement qui repésentaient la France, lespagne et l’’Angleterre avec un écriteau chaqun en gros caractères et un autre cavalier arriva à l’instant représentant l’hérésie soubs le nom de la discorde qui voulait chasser et diviser les 3 premiers unis mais il fut chassé par eus. La nuit les huguenots touchés de ressantiment s’assemblèrent environ 50 des plus mutins, montés sur des aridelles ou asnes bebarit a chasque carrefour criant bibat bibat voila la substence de l’histoire.”

Repères géographiques

RELEVES DU CERCLE GENEALOGIQUE DU SUD-AVEYRON

BEDOS

Les registres de Bedos contiennent depuis 1681 jusque à l’an 7 et manque 1691 - 1743 - 1746 - 1783 - 1786 - le registre de 1779 la 1ère page est partie la 2 ème est en blanc.

Catalogue des paroissiens de Notre Dame de Bedos qui ont reçu la confirmation à St Affrique le 15 Octobre 1775. - GUIBAL Antoine - SINGLA Antoine - FABRE Antoine Louis - MARC Barthélémy - REVERBEL Barthélémi - PEPOUJOL Etienne, communié - FABRE Francois, Berget de Roure - FABRES Francois, Vallet de serres C - GAYRAUD Francois C - LAVIT Francois C - TOUREL Francois C - LAVIT Gabriel - FABRE Guillaume C, Berger d’Enjalbert- LAVIT Jacques C - GUIBAL Jean Antoine C - CARRIERE Jean Baptiste - BOUTOUNET Jean C - PEPOUJOL Jean C - RICARD Jean, Valet de la métairie C - RICARD Jean, Valet à Vignol C - ROUSTAN Jean C - DOUMAIROU Jean C - VEIRAC JEAN C - BEC JOSEPH - ROUSTAN Joseph C - GANTOU Laurent. - (?) GANTOU, Berger de la metairie - BOUTOUNET (?) - ROUVE Louis C - FOUREL Louis C - VIGUIER Louis C - SINGLA Pierre C - JALADE Pierre Jean C - ROUSTAN Pierre Jean - GUIBAL Angelique C - ROUVE Angélique - TOUREL Anne C - BOUTOUNET Catherine C - LAVIT Anne - FABRE Catherine - LAVIT Catherine C - ROUVE Catherine C - GUIBAL Claire - CARRIERE Louise - FABRE Louise de Bouissi - PEPOUJOL Louise Anne C - (MOULS) ? Francoise C - CARRIERE Marie C - BIROT Marie C - FABRE Marie - ENJALBERT Marie-Anne C - MARC Marie Anne - VIGUIER Marie Anne - CAUMES Marie Jeanne, Bergère - LAVIT Rose C - ROUVE Rose C -

Illustrations, photos anciennes

Familles notables

A savoir pour vos recherches généalogiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Dépouillements des registres paroissiaux

Archives notariales

Remarques

Sous-Préfecture jusqu'en 1926

RELEVES DU CERCLE GENEALOGIQUE DU SUD-AVEYRON

AD12 2E 216 GG2

L’an 1644 et le 2ème jour du mois de janvier dans la maison de Jacques SEGURET, Me taneur en présence de tous ceux de la maison et plusieurs cavaliers alemands et autres, avons fiancé Jean ESTILLERE de Clos, cavalier du régiment de Gasson soubs M.le Baron d’Alles des dites compagnies logées en ville et le dit ESTILLERE d’Allemagne avec BERCLE Anne de la ville de Roctambourg d’Allemagne. Contrat prins et receu par Pierre PEYRE, notaire de la présente ville.

16-05-1648 AD12 2E 216 GG2

Je, François DAVIGNON, pbre ay chanté ma 1ère messe ce jourd’huy 16ème may de l’année 1648. Parrain M. GALTIER, sacristain de l’esglise collegiale de St-Affrique, marraine Delle Catherine de GALTIER, fille de M. Louys de GALTIER +, juge de la présente ville et coadjuteur dans l’esglise parroissiale de la ville. Ce mesme jour à l’issue de ma messe, les religieuses de ND se sont cloistrées dans la maison de M.BOURGES, ...de tout le chappitre...la musique de Mgr l’Evesque. - 19/06/1647, ay prins possession de mon canoniacat a moy assigné par M. Affrique BARASCUT, chanoine, mon oncle. - 24/02/1647, M. Affrique DAVIGNON, mon frère a chanté sa 1ère messe dans mon église paroissiale. Le parrain a esté M. LARESI, diacre de Vabre, vicaire général et la marraine Delle Margot de GALTIER, filhe de M. le Juge de St-Affrique. - 29/07/1653, mon frère a prins possession du canoniacat de St-Affrique que Mgr de Vabre luy a donné, vacquant par la mort de M. Jean (illisible), chanoine. Premier livre appartenant à M. François DAVIGNON, chanoine de St-Affrique dans lequel sont consignés tous les mariatges, décés, baptissers : enregistré à partir de l’année 1639. En foy de ce DAVIGNON (suit un index folioté par paroisse).

Permission de chapelle.

Le 6ème novembre 1645 a esté establie une chapelle dans le chasteau du Mas Rogié par MM. les vicaires générals, l’archidiacre et pessaire. Le siège vaquant et ce acepté à la prière du Sr du Mas Rogié lesquels vicaires se sont transportés sur le lieu le jour susdit pour vérifier si le lieu estait convenable. Et pour la bénédiction d’icelle chapelle M. ESPINASSE a esté commis comme chanoine et secondaire de St-Affrique qui a esté par luy faicte le 26ème du dit mois de novembre.

               DAVIGNON

Moi soubsigné ay dict la 1ère messe à la dicte chapelle le jour susdict, le Sr ESPINASSE présent.

               DAVIGNON


La faction de 2 cloches. AD12 2E 216 GG2

“Avons monté au clocher la grande cloche qui a esté fondue le 28 aoust dernier, pesant 17 quintals 88 livres laquelle feut aussi fondue en l’année 1643 et l’an 1654 et a esté si souvant rompue à cause qu’elle sonnait par le passé l’horloge, le Conseil et le carrilhon laquelle cloche apartient en entier aux catholiques selon les contracts passés entre les dits catholiques et ceux de la RPR retenus par POMAREDE notaire ; et le 25 septembre du dit an a esté fondue une autre cloche à l’hospital comme la susdite du poix de 9 quintals 30 livres faicte aux despens de l’oeuvre du consentement de Mgr l’evesque et tous les catholiques selon qu’on peut voir sur l’inscription qui est d’honeur de St-Sernin. Consuls Me POMAREDE docteur et advocat, Jean PEIRE et Guilhaume BARASCUT, M.Affrique DAVIGNON chanoine et scyndic et Guilhaume PAMIES, Marius MONTEL.”(fin de page coupée à la photocopie)

Bibliographie

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