01427 - Trévoux
Trévoux | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 01427 |
Code postal | 01600 |
Population | 6 882 habitants (2018) |
Nom des habitants | Les Trévoltiens |
Superficie | 571 hectares |
Densité | 1205.25 hab./km² |
Altitude | Mini: 167 m |
Point culminant | 256 m |
Coordonnées géographiques |
45.941112° / 4.775° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Extrait du 'Dictionnaire topographique de l'Ain'
Trévoux, cf.l. d'arrondissement.
- - [Tre]voos, 1010 (petit cartu. d'Ainay, n°178),
- - In villa Trevoss, 1010 (idib., note 4)
- - Trevos et Trevos, 1243 (bibli. Dumb.,t I page 144)
- - Trevox et Trevous, 1264 (idib., t I p. 161)
- - Trevouz, 1279 (idib., t II p 210)
- - Trevors et Trevoz, 1279 (idib., comp. p. 74)
- - Adup Trevours, 1324 (Arch. du Rhône ,fonds de Malte , titres des feuillés)
- - De Trevochio, 1344 (Arch. de la cote d'Or, B552 f52°r 52°)
- - Mensura de Trevox, 1393 (Arch. du Rhône, terr. de Reyrieu , f°1)
- - Trevoux, 1431 (bibli. Dumb.,t I page 347)
- - Adup Trevocium, 1482 (Arch. du Rhône, terr. de Reyrieu, f°14)
- - Trevolx, 1487 (bibli. Dumb.,t I page 382)
- - Trevoulx, 1502 (Masure de l'Isle-Barbe, t1 p. 494)
- - Trevolcium, 1491 (Terr. de Messimy f°17 v°)
- - Trevolum en Dombes, 1552 (bibli. Dumb.,t I page 463)
- - Trevoux, 1671 (Beneficia Dioc. lugd. p.252) ; 1790 (Denombr. de Bourgogne); an X (Ann. de l'Ain)
A l'époque rodolphienne, Trévoux faisait partie de l'ager de Genay (ager Janiacensis.) — In pago Lugdunensi, in agro Janiacensis, in villa Invilvoos, corr. in vil[la Tre]voss, 1010 (petit cartu. d'Ainay, n°178 note n°4).
Source : Bibliothèque_nationale_de_France
Héraldique
D'argent à la tour couverte de gueules, ouverte, ajourée et maçonnée de sable; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or chacune adextrée en pointe d'un bâton péri en barre de gueules[1].
Étymologie de Trévoux
Trois hypothèses sur le nom de Trévoux :
- Nom d’origine Celtic (comme le Trévoux armoricain)
- Trois « Voltes » (Abbé JOLIVOIS) pour 3 courbes, cette hypothèse est peu probable car dans ce passage de la Saône, il n’y a qu’une courbe au niveau de Saint-Bernard.
- Enfin la commune serait implantée au lieu ou la voie Agrippa se sépare en « trois voies » partageant le territoire (trivium ou trivortium).
Les premiers habitants de Trévoux
- Un habitat de type néolithique a été mis en évidence au « Combart » à trévoux en 1987.
- Des objets de bronze ont été récupérés lors de dragages des bords de Saône datant de l’age de bronze.
- Des tumuls ont été mis en évidence lors de fouilles à Saint Bernard en 1862.
La civilisation romaine et Trévoux
- Le principal vestige de l’époque romaine trouvé dans la région se situe à Saint-Didier-sur-Formans (Villa de la « panissière »).
- En divers points de Trévoux des restes de la civilisation romaine ont été mis en évidence et en particulier dans le quartier de « la Sidoine » et sur le site de « Corcelle » . Parmi les vestiges mis en évidence il faut noter un reste de voie pavée, de la monnaie, des poteries et bracelets.
- Il ne semble pas que la période romaine ait marquée fortement la ville.
Bref historique de Trévoux
Première mention de Trévoux en 1010.
En 1032 Trévoux et la Dombes appartiennent déjà aux Sires de Villars.
En 1200 Étienne II sire de Villars qui n'a qu'une fille donna Trévoux à Étienne Ier seigneur de Thoire.
Au XIIe siècle la rivière sert de frontière entre le royaume de France et le Saint Empire germanique. Trévoux est situé coté Saint Empire et est mentionné comme péage fluvial. Un château fort domine la ville.
1300 la ville reçoit une charte de franchises.
Vers 1402 le dernier des Thoire et Villard (Les sires de Villard) ; Humbert VII cède Trévoux à Louis de Bourbon, seigneur de Beaujeu, dès lors le pays allait se trouver sous la menace des Ducs de Savoie car cette vente donnait de la jalousie à Amédée duc de Savoie. En 1431, à l'initiative du duc de Savoie François de la Palud de Varambon, chef de l'armée du duc tenta de prendre Trévoux et fit des prisonniers qu'il rançonna.
1523 François Ier confisque la ville qui est la capitale de la Dombes car Le connétable de Bourbon avait rejoint Charles Quint. La ville fut dotée à cette date d’un parlement (lieu d’enregistrement des actes et des jugements et office de juridiction d’appel).
27 novembre 1560 François II restitue la principauté de Dombes aux Bourbons-Montpensier qui deviennent ainsi les princes de cet état.
1696 : jusqu'au 12 décembre le parlement de Trévoux siège à Lyon par "territoire emprunté" et les arrêts sont proclamés à Trévoux (les conseillers sont obligés de venir à Trévoux au moins 2 fois par an). Le Duc du Maine Louis Auguste de Bourbon (fils naturel de Louis XIV) poussé par les notables locaux ordonne le transfert du siège du parlement à Trévoux. Cette même année il y fit établir une imprimerie.
1703 : le bâtiment du «Parlement» est inauguré.
28 Mars 1762 : la principauté de Dombes et Trévoux furent rattachées à la couronne de France (échange du comté d’EU et de la Dombes).
1771 : suppression du Parlement.
Le 4 mars 1790 la ville devient chef lieu de district avec 4 cantons : Montmerle, Thoissey, Trévoux et Saint-Trivier-en-Dombes. Le Premier Empire (17 février 1800) lui donna le rang de sous-préfecture avec autorité sur sept cantons et 111 communes. La sous-préfecture de Trévoux sera supprimée le 10 septembre 1926.
Le 3 septembre 1944 : libération de la ville par les fusiliers marins français.
Mémoires pour l’Histoire des Sciences et des Beaux-Arts
Les "Mémoires pour l'histoire des Sciences et des Beaux-arts", plus généralement appelées Journal de Trévoux ou Mémoires de Trévoux paraissent en janvier 1701 sous la forme d'une revue mensuelle (publiée tous les 2 mois durant l'année 1701). Revue fondée par les jésuite et administrée par eux et en particulier le Père Tournemine, de 1701 à 1709 et le père Berthier de 1745 à 1762. La plupart des rédacteurs du journal appartenait à la Société de Jésus. La revue était destinée à lutter contre le Protestantisme et plus encore le Jansénisme. Elle devait participer au développement des connaissances.
Jusqu'en 1730 l'impression se fait à Trévoux, par suite d'un refus de renouvellement de privilèges, l'impression se fait à Lyon de 1731 à 1734 et enfin à Paris chez Étienne Ganeau jusqu'au dernier numéro : mai 1762.
Le journal sera repris de 1763 à 1764 par Jean-Louis Jolivet, adversaire des jésuites. En 1768 il devient Journal des Sciences et des Beaux-arts, en 1776 Journal des Beaux-arts et des Sciences, en 1779 Journal de Littérature des Sciences et des Arts avec la mention : parait tous les 10 jours ; en 1782 cessation définitive du journal.
De janvier 1701 jusqu'en décembre 1767 on dénombre 878 numéro des "Mémoires de Trévoux ".
Liens sur le "Journal de Trévoux"
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Ain
- Arrondissement - 1801-1926 : Trévoux --> 1986-2023 : Bourg-en-Bresse
- Canton - 1801-2023 : Trévoux
- Commune - 1801-2023 : Trévoux
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Le pont suspendu
La première pierre du pont fut posée en 1850 par le général de Castellane. L'inauguration eut lieu le 18 mai 1851. Le tablier en bois a depuis été remplacé par un tablier métallique.
En tête de pont à l'entrée de Trévoux, s'élèvent, place du Pont, deux petits pavillons carrés symétriques qui abritent les bureaux de péage. En 1889, racheté par les départements de l' Ain et du Rhône, le pont est affranchi. Les pavillons d'entrée sont supprimés. Un nouveau pont, établi à l' aval, est ouvert en 1976. Actuellement ce pont est réservé aux piétons.
Le pont est inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1997[2].
L'église Saint-Symphorien
De style néo-roman avec un clocher inachevé.
La 1ère pierre fut posée le 8 avril 1900. Le 30 octobre 1904 a lieu l'inauguration, bien qu'une partie du décor intérieur ne soit pas terminé (chapiteaux, boiseries...) et le clocher prévu en façade, non réalisé. Une construction provisoire à proximité de l'édifice abrite les cloches.
Article détaillé : Église Saint-Symphorien de Trévoux
Le Parlement
Le 12 décembre 1896, Louis Auguste de Bourbon, Duc du Maine, fils légitimé de Louis XIV, transfère le siège à Trévoux, où il impose aux magistrats de résider. De 1697 à 1703 le parlement siège dans l'ancien auditoire du baillage, tandis qu'on édifie un nouveau bâtiment hors de l'enceinte médiévale. L'architecte des bâtiments est inconnu. C'est le gouverneur et Premier magistrat, Claude Cachet de MONTÉZAN, qui est chargé de diriger la construction du nouveau parlement. Le bâtiment du «Parlement» est officiellement inauguré en 1703.
En 1698, Pierre Paul SEVIN de TOURNON en Vivarais (1650-1710) réalise les fresques décoratives ornant les murs, ainsi que les poutres et solives du plafond à la française. La décoration de la salle est complétée par des peintures murales constituées de grands compartiments rectangulaires. Ornées de moulures au centre desquelles sont frappées les armoiries de la France surmontées de la couronne royale, ces peintures sont séparées les unes des autres par des pilastres.
Le programme iconographique de la salle (la justice, la guerre et la paix) a été respecté par les différents régimes politiques qui se sont succédé depuis le XVIIe siècle, les peintures elles-mêmes ont été l'objet de plusieurs remaniements. Les fleurs de lys, symbole de la monarchie française, masquées lors de la Révolution en 1793, ont été repeintes en 1837, sous le règne du roi Louis-Philippe. La réfection des pilastres et des trophées sur les murs, la pose du dallage, des lambris et des lustres datent de 1956 et 1957. Les décors de Pierre Paul SEVIN ont été restaurés en 2009.
L'ancien parlement abrite aujourd'hui le tribunal d'instance, le greffe et le service des impôts.
Inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1997[3].
L'hôtel de Ville
Construite entre 1890 et 1891 sur l'emplacement d'une ancienne maison d'habitation et de l'ancienne prison par l'architecte lyonnais Marie André BELLEMAIN. La construction fait suite à une délibération du C.M du 23 février 1889. L'inauguration a eu lieu le 9 août 1891. Á noter le beffroi en dôme couverts d'ardoises.
Inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1997[4].
La porte de Villars et le château fort
La tour ronde C. PIEMINOT
La tour en fer à cheval C. PIEMINOT depuis l'intérieur du château
La tour en fer à cheval C. PIEMINOT depuis l'extérieur du château
Le château fort daterait pour sa partie la plus ancienne du du XIIIe siècle et aurait été agrandi au 14ème. Le site est classé aux M.H depuis 1913 [5].
Il est construit en pierres de taille blanche de Lucenay et pierre dorée de Couzon.
Il a été conçu pour surveiller le port et assurer le prélèvement des péages au profit du seigneur.
La porte de Villars est située dans les vestiges de l'enceinte médiévale élevée en briques rouges.
Autrefois haut de 28 mètres (aujourd'hui 16 mètres), le donjon, octogonal et polychrome, est la pièce maîtresse du château fort. Élevé au début du XIVe siècle par les seigneurs de Thoires et Villars, il est miné par les protestants lors des guerres de religion et arasé en 1793. La tour en fer à cheval et la tour ronde sont construites dans la seconde moitié du XIVe siècle.
Maison dite des sires de Villars
Façade de la fin du XVe siècle (Oriel ou Porte basse) et du XVIIIe siècle pour la baie et avant corps situés au dessus.
Inscrite aux M.H en 1991[6].
Tour de l'horloge ou de l'arsenal
Ce beffroi en pierre calcaire s'élève sur le seule place de l'ancien quartier. Il s'appui sur le bâtiment qui servait d'arsenal. Au XVIIIe siècle un horloger habitait dans une petite chambre au bas de la tour et contre 20 livres par an était chargé du fonctionnement de l'horloge.
La tour conserve des éléments du XVe siècle telles que les archères cruciformes sur la partie basse de l'édifice.
Tour inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel en 1997[7].
L'hôpital Montpensier
L'hôpital est fondé en 1686 par Anne Louis d’Orléans duchesse de Montpensier dite "La grande Mademoiselle". L’hôpital prend appuis sur la tour ronde du rempart Médiéval. Il abrite l'apothicairerie de Trévoux. l'apothicairerie était le lieu de fabrication et de vente des "médicaments" de l’hôpital. Les apothicaireries se sont développées à partir du XVe siècle en particulier dans "Les Hôtels-Dieu". Les substances servant à la fabrication des remèdes sont stockées dans des pots en faïence.
L'ensemble du mobilier date du début du XVIIIe siècle et a servi à abriter une première série de pots bleu en provenance d'une fabrique Lyonnaise. La série a été complétée à la fin du XVIIIe siècle ainsi qu'au XIXe. La collection comporte 119 pots classée aux M.H depuis 1920[8].
Les sœurs de la "Charité" ont dirigé l'apothicairerie jusqu'à la fin du XIXe siècle.
Le mobilier et les pots de l'apothicairerie ont été transféré dans une salle du "carré patrimoine".
L'hôpital est inscrit au patrimoine culturel[9]
Chapelle du couvent de la Sidoine (Ursulines)
En 1851, installation, dans le château de la Sidoine , d'une communauté d'ursulines, destinées à l'éducation des jeunes filles. Démolition progressive du château, sauf un corps de dépendances, pour élever au même emplacement un couvent et pensionnat, dont le projet de l'architecte diocésain Louis DUPASQUIER n'est pas réalisé. Plusieurs étapes de reconstruction : bâtiments cadastrés en 1853 et 1866 (aile nord) . Les campagnes principales sont dues à l'architecte diocésain Louis JOURNOUD, élève de DUPASQUIER : la chapelle en 1860-1861, de 1871 à 1875 le grand bâtiment central du couvent, aumônerie, cuisine, parloir, puis en 1891, l'aile antérieure gauche qui abrite l'entrée principale. En 1897, l'architecte François GENÉTY ajoute à la chapelle un corps avec sacristie. Au début du XXe siècle, surélévation de la galerie qui relie le couvent à la chapelle, et de l'orangerie.
Actuellement Collège Saint Joseph.
Source[10]
Repères géographiques
La ville est construite sur les pentes raides d'un talus qui descend jusqu'à la rive gauche de la Saône. Elle est située à environ 25 km au nord de Lyon, à 10 km de Villefranche sur Saône.
Carte sur ViaMichelin de : Trévoux
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 2 656 | 2 530 | 2 717 | 3 016 | 2 556 | 2 559 | 2 684 | 2 532 | 3 071 | 2 749 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 2 794 | 2 863 | 2 655 | 2 889 | 2 698 | 2 661 | 2 687 | 2 662 | 2 821 | 2 624 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 072 | 2 941 | 3 122 | 3 093 | 3 004 | 2 961 | 3 229 | 3 594 | 4 231 | 4 583 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 4 982 | 6 092 | 6 392 | 6 812 | 6 687 | 6 849 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
En photos
Notables
- Jean-François JOLIBOIS né à Voiteur le 30 mai 1794 et mort en 1852, homme d'église ayant exercé son ministère à Trévoux . Historien français .
- Louis ANDRIEUX (23 juillet 1840 à Trévoux - 27 août 1931 à Paris) : homme politique français. Avocat puis député à Lyon ; Préfet de Police de Paris, après le triomphe des républicains en 1879. Père naturel de l'écrivain et poète Louis ARAGON .
- WOLFF Betje et DECKEN Aagje, célèbres romancières hollandaises qui vécurent à Trévoux de 1788 à 1797 .
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Nicolas François GEMEAU | 7/02/1790 - 1790 | Lieutenant général de la Sénéchaussée de Dombes |
Simon Joseph GOUVION | 14/11/1790 - 1792 | Médecin |
Saturnin EUSTACHE | 02/12/1792 - | |
Benoît CHARLES | 5 Ventôse An II- | |
François MEUNIER | 20 brumaire An IV- | |
Jean Claude CHUINAGUE | 4 prairial An VIII - | |
Joseph Michel BACHER | 20/12/1807 - 1830 | |
Frédéric PERRIER | 17/08/1830 - 1832 | Avocat |
DUMAREST | 30/03/1832 - 1835 | |
Marie BECCAT | 31/03/1835 - 1837 | |
Pierre Claude DUPOND | 14/08/1837 - 1838 | |
Charles LAFOREST | 13/10/1838 - 1846 | |
Charles René MARION | 1/12/1846 - 1848 | |
GAY | 04/1848 - 1852 | |
BURETTIER | 08/1852 - 1854 | |
Gilbert-Hipolyte RAFFIN | 05/1854 - 1870 | |
Pierre Claude DUPONT | 26/08/1870 - 1870 | |
Joseph Stéphane BARON | 11/10/1870 - 1871 | |
Joannès Erhard VALENTIN-SMITH | 13/05/1871 - 1874 | |
Louis VALENTIN-SMITH | 19/12/1874 - 1876 | Avocat |
Claude Marie DIOT | 26/05/1876 - 1881 | |
François GUILLOT | 9/03/1881 - 1884 | |
Charles Marie DIOT | 18/05/1884 - 1887 | |
Donat Auguste Alexandre BOLLET | 9/09/1887 - 1901 | |
Michel BARATIER | 15/12/1901 - 1904 | Avoué |
Donat Auguste Alexandre BOLLET | 15/05/1904 - 1912 | (1851 - 1923) - Médecin - Conseiller général - Sénateur[11] |
Jules Louis Ernest PASSAQUAY | 18/05/1912 - 1925 | Notaire - Conseiller général |
Léon Marie PEY | 17/05/1925 - 1930 | Huissier |
Antoine Marius GALLET | 07/10/1930- 1933 | (1877 - 1958) - Commerçant - Conseiller général - Député[12] |
André Georges Alexandre FRIBOURG | 29/04/1933 - 1936 | Né le 20 novembre 1887 à Bourmont (52) - Agrégé de l’Université - Homme Politique et de Lettres - Député du département de l’Ain de 1919 à 1928 et de 1932 à 1936 [13] - Ensuite Maire de Lavours (01) de 1945 à 1948 - Commandeur de la Légion d'honneur [14] - Décédé le 27/09/1948 à Paris (75 - 7e arrondissement) |
Pierre MOLLIARD | 25/05/1936 - 1937 | Percepteur honoraire |
Gustave CLAVEZ | 11/12/1937 - 1941 | (1900 - 1949) - Médecin - Conseiller général |
Émile DUBUIS | 20/01/1941 - 1944 | Avocat |
Gustave CLAVEZ | 18/11/1944 - 1947 | Médecin - Conseiller général |
Émile DUBUIS | 3/11/1947 - 1971 | Avocat - Conseiller général - Député[15] |
Michel VITTORI | 1971 - 1989 | Conseiller général |
Michel RAYMOND | 1995 - 2014 | Réélu en 2001 ; 2008. |
Marc PÉCHOUX | 2014 - (2026) | |
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Cf. : Mairesgenweb & Source: Mairie
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
Pierre GRANGER (-) | 1749-an X | |
Jean Baptiste GREPPO (-) | 1764-an V | |
- | - | |
Benoît BECCAT (1793-1866) | 1821-1861 | |
- | - | |
Jean CHABERT (1833-1875) | 1861-1875 | |
François MONCORGE (1844-1908) | 1875-1899 | |
Claude Marie MULATIER (1853-) | 1883-1891 | |
Philippe Marie GAYOT (1854-) | 1885-1919 | |
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Les curés
Voir la page consacrée à l'église :
Article détaillé : Église Saint-Symphorien de Trévoux ...
Liste des titulaires de la Légion d'Honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
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Louis ANDRIEUX | 23 Juillet 1840 | - | Dossier - Député des Basses-Alpes - Ambassadeur de France - Chevalier de la Légion d'Honneur - Epoux de Mle Koechlin | |
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Monument aux morts

Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le Monument aux Morts ...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Recensements (1911-1911)
Documents numérisés
- Table des successions et absences de Trévoux, 1908 - 1915 (1908-1915)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1969 - 1969 (1969-1969)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1869 - 1874 (1869-1874)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1881 - 1891 (1881-1891)
- Liste électorale de Trévoux, 1910 (1910-1910)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1858 - 1864 (1858-1864)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1854 - 1858 (1854-1858)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1874 - 1881 (1874-1881)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1944 - 1950 (1944-1950)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1902 - 1908 (1902-1908)
- Liste électorale de Trévoux, 1905 (1905-1905)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1964 - 1967 (1964-1967)
- Liste électorale de Trévoux, 1920 (1920-1920)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1951 - 1959 (1951-1959)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1967 - 1968 (1967-1968)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1891 - 1901 (1891-1901)
- Liste électorale de Trévoux, 1895 (1895-1895)
- Liste électorale de Trévoux, 1919 (1919-1919)
- Table des successions et absences de Trévoux, 1864 - 1869 (1864-1869)
- Liste électorale de Trévoux, 1914 (1914-1914)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 9h00 à 12h00 | de 9h00 à 12h00 | de 9h00 à 12h00 | de 9h00 à 12h00 | de 9h00 à 12h00 | de 9h00 à 12h00 | - |
Après-midi | de 15h30 à 18h00 | de 15h30 à 18h00 | de 15h30 à 18h00 | de 15h30 à 18h00 | de 15h30 à 18h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : Place de la terrasse - 01600 TRÉVOUX
Tél : 04 74 08 73 73 - Fax : 04 74 08 73 76 Courriel : Contact Site internet : GPS : 45.941112° / 4.775° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : La mairie est ouverte du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 15h30 à 18h Source : http://www.mairie-trevoux.fr/fre/vie_municipale/index.htm (01/2010) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Sur Geneanet
Trévoux
Canton de Trévoux en Dombes
Le Parlement de Dombes à Trévoux
En Librairie
- Richesses touristiques et archéologiques du canton de Trévoux - Auteur : Département de l'Ain ISBN2 - 907656 - 24 - 4
- Statistique générale de la France... : département de l'Ain - contributeur : Bossi, Giuseppe Aureliano Carlo (1758-1823) - Publication : Hachette (Paris)
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Découvrez la Dombes et la ville de Trévoux
- Site officiel de la commune
- Trévoux sur le site Patrimoine de France
Notes et références
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ Fiche Mérimée - Le pont
- ↑ Fiche Mérimée - Parlement
- ↑ Fiche Mérimée - Hôtel de Ville
- ↑ Fiche Mérimée - Château fort
- ↑ Fiche Mérimée - Maison des sires de Villars
- ↑ Fiche Mérimée - Tour de l'horloge
- ↑ Base Palissy - Collection de pots
- ↑ Fiche Mérimée - Hôpital
- ↑ Patrimoine Auvergne Rhône-Alpes
- ↑ Député & Sénateur BOLLET
- ↑ Député GALLET
- ↑ Georges, André, Alexandre André-Fribourg sur le site de l'« Assemblée nationale »
- ↑ 52 - Bourmont - Légion d'honneur
- ↑ Député DUBUIS
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