Édifices religieux de Nice

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La ville de Nice possède un riche patrimoine religieux : églises, synagogues, temples important. Cette liste inventorie les principaux édifices religieux.
Note : cette liste n'est pas exhaustive.


Inventaire culte Catholique

Cathédrale Sainte-Réparate


Voir la page consacrée à la ville de Nice

Basilique Notre-Dame

Ombrellino - Photo J-P GALICHON


Basilique située sur l'avenue Jean-Médecin.
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, l'évêque de Nice, Jean Pierre SOLA, doit adapter le service religieux à l'urbanisation des quartiers situés sur la rive droite du "Paillon". Cette population fortunée est en particulier "étrangère" et hivernante à Nice.
En 1862, lorsque la demande d'édification de l'église a été faite, seule une église orthodoxe et Anglicane étaient présentes sur le quartier.
Le maire de Nice, François MALAUSSENA, refuse de financer le projet préférant donner priorité aux infrastructures de transport ferroviaires.
L'évêque nomme, en 1862, le père Alexandre LAVIGNE comme vicaire général et à ce titre il devra trouver les moyens financiers pour réaliser l'église.
Elle fut bâtie entre 1864 et 1868 selon les plans de l'architecte français Louis LENORMAND.
De style néogothique, elle s'inspire de la cathédrale d'Angers ou de celle de Paris pour la façade avec trois porches, une rosace et deux tours carrés de vingt-cinq mètres de hauteur.
Église inaugurée et bénite le 3 mai 1868 bien qu'inachevée.
Les ressources financières manquent du fait de la guerre de 1870 et le décès en 1874 du vicaire général, Alexandre LAVIGNE, engendre des retards.
En 1876, la ville devient propriétaire de l'ensemble des terrains et bâtiments. Le tremblement de terre de mars 1887 endomage la voûte mais l'édifice reste debout.
L’église est consacrée le 12 mars 1925 par Monseigneur Louis-Marie RICARD. .
Elle est élevée au rang de Basilique mineure, le 16 avril 1978.
Trois Maîtres-Verriers se sont succédés pour réaliser les vitraux de l'église : Louis Marie CHAMPIGNEULE, Laurent-Charles MARÉCHAL et les frères BENOIT en 1956 (Henri et Pierre). Ils ont repris l'affaire de leur père Joseph BENOIT).
En 1870, l'église fut équipée d'un orgue fourni par la maison MERKLIN de Lyon. Hors d’usage depuis 1977, il a été remplacé en 1987 par un orgue fournit par La Manufacture d'Orgues KERN de Strasbourg.

Quelques curés de Notre-Dame

Prénom(s) NOM Période Observations
Alexandre LAVIGNE 1864-1868 En charge de la construction  
François GERMOND 1876-1897  
Benoît CHAUDE 1897-1901  
Félix CREPAUX 1901-1927  
Jean BRUNEAU 1927-1943  
Jacques ISAIA 1943-1964  
Léon BOREZEE 1964-1975  
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Église Notre-Dame-Auxiliatrice ou église de Don-Bosco


Église située au 36 place Don-Bosco, dans le quartier de Cimiez.
C’est la première église bâtie en France par les Salésiens, congrégation religieuse à vocation pédagogique fondée à Turin en 1859 par Saint Jean Bosco.
Don Bosco a fondé l'oeuvre de Nice en 1875 (École Professionnelle).
Monseigneur CHAPON créa en 1913 la paroisse Notre-Dame-Auxiliatrice et la confia aux pères Salésiens, avec pour mission, de construire une église paroissiale qui serait aussi un sanctuaire de pélerinage.
Le premier coup de pioche fut symboliquement donné le 24 mai 1924. Le 31 janvier 1926, la première pierre fut posée et bénite. Le 28 mai 1933, l'église fut solennellement inaugurée par Monseigneur Rémond évêque de Nice. L'essentiel des travaux se déroulant de 1925 à 1933.
Les architectes Jules LEFEBVRE et Marius DÉPORTA sont choisis pour la construction de cette église de style "Art déco", entièrement réalisée en béton armée. La conception semble influencée par les plans des basiliques romaines.
L'église est vaste de Nice avec une surface de 1550 m2. L'ensemble des vitraux dont les douze vitraux historiés représentant la vie de Don Bosco sont du maître verrier Grenoblois Antoine BESSAC.
La décoration intérieure est principalement l'œuvre du peintre Niçois Eugène DOUCET qui, de 1934 et 1946, réalisa les fresques. Au plafond, une croix de Lorraine à la couleur bleu de cobalt et or couvre sur une surface de 242 m2.
La vierge du fronton de l'église est de Charles, dit Carlo SARRABEZOLLES (Sculpteur d'origine Toulousaine).
Entre 1943 et 1944, les orphelinats niçois de l’institution salésienne, le réseau Marcel et les pères Michel BLAIN et Vincent SIMEONI, cachent et sauvent de nombreux enfants juifs de la milice et de la barbarie nazie.
Édifice est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 26 avril 2001[1].


Église Notre-Dame-de-Bon-Voyage



Église située place Abbé Égide Martelli dans le quartier de Roquebillière.
Église édifiée par la volonté du curé Égide MARTELLI . Édifice consacré en 1967.


Quelques curés de Notre-Dame-de-Bon-Voyage

Prénom(s) NOM Période Observations
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Égide MARTELLI - 1978 (1920 - 1978  
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Église Notre-Dame-du-Bon-Conseil



Église située 19 rue Louis Garneray dans le quartier de Saint-Roch.


Église Notre-Dame-de-France



Église située chemin du Fort-du-Mont-Alban à la limite de Nice et de Villefranche-sur-Mer .


Église Notre-Dame-de-l'Immaculée-Conception



Église située place Île-de-Beauté dans le quartier du port.

Connu sous le nom d'église Notre-Dame-du-Port.


Église Notre-Dame-des-Grâces



Église située Jardin Cardinal FERRERO, sur le quai Saint-Jean-Baptiste.

La construction de l'église a été décidée en 1832, en remerciement à la Vierge pour avoir préservé la ville d'une importante épidémie de choléra et ainsi honorer le vœu qu'avaient formulé les élus niçois le 25 avril 1832.
La construction dans le style néoclassique a été réalisée de 1841 à 1852 par l'architecte Charles MOSCA. L'église a été bénite par l'évêque de Nice Mgr Dominique GALVANO le 15 août 1852; sa consécration a eu lieu le 21 juin 1949 par Mgr REMOND évêque de Nice.
A l'origine du projet, cette église devait être construite au fond de la place Masséna. Devant les inondations fréquentes du "Paillon", elle fut déplacée sur le site actuel.

Autel de la Madone des Grâces
Le groupe processionnel a été érigée par souscription publique en 1865 en reconnaissance des deux miracles qui les avaient sauvé du choléra (1832 et 1862). C'est le sculpteur MAÏSSA qui a réalisé cette ensemble.
Chœur
Au dessus du maître-autel figure un tableau du peintre suisse Édouard HAUSER représentant "Le voeu de Nice" .
Façade
Sur le fronton les armes de Nice sont représentées rappelant que l'église a été fiancée par la municipalité. Le groupe sculpté au sommet de la façade représente "La religion".


Église Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours



Église située 35 boulevard du Mont-Boron.
Église en béton armé du XXe siècle réalisée dans le style byzantin en 1927 par l'architecte Niçois Jules FEBVRE (1859 - 1934).

Quelques curés de Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours

Prénom(s) NOM Période Observations
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Roland GAROFALO - Curé en 1988  
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Église du Sacré-Cœur



Église sanctuaire située 22 Rue de France.
En 1872, les pères des Missions Africaines de Lyon commencent la construction d'un "Sanctuaire en l’honneur du Sacré-Cœur". En 1880, les décrets de Jules FERRY entraîne la fermeture de la partie déjà construite (Le Chœur, le transept et la première travée).
En 1894, la "chapelle" est confiée aux Missionnaires Oblats de Marie Immaculée, qui desservait a cette époque La basilique e Paris.
En 1903 les Religieux sont expulsés de France et le service est confié à l'Abbé MILLET.
En 1914, les Missionnaires Oblats reprennent la charge du sanctuaire alors que l'église Saint-Pierre d'Arène est en cours de réalisation.
En 1958 les Oblats entreprennent les travaux d'agrandissement et en 1961 ceux ci seront achevés.
En 1961, le sanctuaire est érigé en "Paroisse" par l'évêque de Nice Mgr RÉMOND.

Chapelle Eugène MAZENOD
La chapelle honore le fondateur des Missionnaires des Oblats, congrégation fondée en 1816. Eugène MAZENOD (1782-1861) fut évêque d'Aix-en-Provence de 1837 jusqu’à sa mort le 21 mai 1861. Il a été proclamé Saint le 3 décembre 1995.
La table de l'autel est en olivier. Elle a été réalisée par M. BOIGONTIER ébéniste à Saint-Paul de Vence.
La mosaïque est de M. LUTENBACHER peintre à Saint-Paul de Vence. Elle représentent "Notre Dame de la Garde" au milieu d'un champ de lavande (au centre) ; une tente indienne à droite et la coupole de Lanka à Ceylan.
A gauche sur le mur de la chapelle on voit le blason des Oblats et à droite le blason épiscopal d'Eugène MAZENOD.
Le blason épiscopal d'Eugène MAZENOD est dit "en partie". A gauche il reprend le blason des Oblats et à droite les armes de sa famille.

Quelques curés du Sacré-Cœur

Prénom(s) NOM Période Observations
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Église Saint-François-de-Paule


Église située 9 Rue Saint-François de Paule.


Église Sainte-Hélène


Église située 142 Avenue de la Californie.
Édifice inscrit aux M.H en 1951.


Église Saint Barthélémy


Église située 11 Montée Claire Virenque.


Église Saint-Jacques le Majeur


Église située rue Droite.

Nommée aussi église du Gesù.

Cette église bâti entre 1640 et 1690 fut la chapelle du couvent des Jésuites installés à Nice en 1606. L'ordre étant dissous, les jésuites furent expulsés de Nice en 1774. En 1802 cette chapelle devient l'église Saint-Jacques le Majeur. La façade est reconstruite entre 1825 et 1830 dans le style Baroque. Le clocher en forme de chapeau de gendarme est réalisé en briques apparentes et tuiles colorées.

Chapelle Saints Crépin et Crépinien
Chapelle corporative des cordonniers et des BARLI-FABRI.
Saint Crépin et Crépinien sont les saints patrons des métiers du cuir. Le tableau central daté du XVIIe siècle représente les saints en plein travail avec leurs outils (Alène, forme, tranchoir). Ce tableau est typique des chapelle "corporative".
La décoration fut refaite en 1710 par Jean-François BARLI-FABRI.

Pictos recherche.pngPour en savoir plus....



Église Sainte-Jeanne-d'Arc


Église située 86 Avenue Saint-Lambert.
Dès 1913 la construction d'une église à cet emplacement fut décidée. La première pierre fut posée le 25 janvier 1914 et l'on bâtit les fondations et une crypte sous la conduite de l'architecte niçois CASTEL. La mort de ce dernier (1922) et la Première Guerre mondiale entraînèrent l'abandon du chantier. En 1924, le projet de construction reprit, les plans furent confiés à l'architecte parisien Jacques DROZ (1882-1955). La première pierre de ce nouvel édifice fut posée en 1926. L'édifice sera achevé en 1933 et bénie le 24 décembre.
L'église est composée de trois coupoles ovoïdes en béton armé.
Les peintures murales sont réalisées par l'artiste Franco-Russe Eugène KLEMTIEFF (1901-1985) en 1934/1935. Le campanile indépendant de l'église culmine à 60 mètres de hauteur.
L'église a été restauré en 1975 et 2014.

Église classée aux M.H en 1992[2] .


Église Saint-Joseph


Église située 21, rue Smolett .

Église Saint Marc


Église située 180 Boulevard Napoléon III.

Église Saint Martin-Saint Augustin


Église située place Saint-Augustin dans le vieux Nice.
L'ensemble est composé d'une église et d'un couvent. Le couvent est situé à droite de l'église, il est actuellement transformé en caserne (caserne Filley).

L'ancienne église romane fut démolie et entièrement reconstruite vers 1670 , c'est l'ancienne chapelle des "Ermites de Saint Augustin". L'ensemble a été de nombreuses fois modifié et en particulier, vers 1751, 1837 et en 1854 ou fut ouverte la porte de la façade (jusqu'alors l'entrée se faisait par les côtés, occidental pour les fidèles, oriental et donnant sur le couvent pour les moines). La façade de style baroque ne fut achevée qu'en 1895. L'église avait un clocher double , mais le tremblement de terre de 1887 en a détruit un.

Les Ermites de Saint Augustin ont occupé les lieux jusqu'en 1792 période ou ils furent chassés par la révolution.

Pictos recherche.png Pour en savoir plus....


Église Sainte-Monique


Église située 33 Boulevard Paul MONTEL.
Bâtiment édifié par les architectes ARZIARI Huguette et Alain. Les dalles de verre de l'église datent de 1973 et sont l'oeuvre Ernest BOURSIER-MOUGENOT (Nancy, 20 juin 1933 - Nanterre, 20 novembre 2013).


Église Saint-Pancrace


Église située Chemin de l'église .


Église Saint-Pierre d'Arène


Église située 62 rue de France

En 1762, Don Massot propriétaire à la Buffa et prêtre crée un chapelle dédiée à Saint-Pierre et administrée par les pénitents blancs.
C'est Monseigneur Jean Baptiste COLONNA D'ISTRIA après la révolution qui l'érige en paroisse.
Vers 1810, la chapelle est agrandie, puis vers 1861 un nouvel agrandissement est réalisé. C'est l'impératrice qui offre les ornement de cette seconde extension.
En 1873 le troisième agrandissement est réalisé et le quartier continu de se développer et une reconstruction s'impose.
Le 18 janvier 1914, la première pierre de l'église actuelle est posée. Comme l'édifice est réalisé après la loi de 1905, il le sera sur des fonds privés provenant de dons et d'emprunts diocésains.
Les deux tiers de l'édifice actuel sont livrés au culte en 1925 et elle est inaugurée le 23 janvier 1938 bien qu'inachevée.
Faute de moyens, le clocher n'a jamais été réalisé.


Église Saint-Sauveur


Église située Avenue de Grammont le quartier de Gairaut.

L'église est mentionnée en 1441 comme propriété du niçois Antoine BRANDIS. Les deux dates indiquées sur le fronton de la porte d'entrée de l'église, (1628) et 1741, sur la façade, au dessus des arcades, correspondent à divers aménagements du bâtiment (reconstruction et restauration).
Cette chapelle fut érigée en paroisse sous le vocable de Saint-Sauveur de Gairaut en 1802.
Depuis septembre 2001, l'église paroissiale de Gairaut fait partie de la paroisse du Bon Pasteur.
L'église contient un sanctuaire particulier dédié à Notre-Dame-de-la-Merci qui a été institué en 1696. On priait Notre-Dame de la Merci pour délivrer les prisonniers. La statue représentant Notre Dame date de la seconde moitié du XVIIe siècle. Saint Pierre Nolasque, fondateur des mercédaires, et Sainte Rosalie, protectrice de Nice, ainsi qu'un rideau en trompe l’œil encadrent la statue.

L'église est inscrite aux M.H depuis 1951 [3].


Église Abbatiale Saint-Pons


Église située: montée de l'abbaye de Saint-Pons dans le quartier Pasteur.


Chapelle de la visitation-Sainte Claire


Chapelle située rue Sainte-Claire dans le vieux Nice.

Chapelle construite entre 1609 et 1616 jouxtant le couvent des Clarisses. A la révolution les Clarisses furent chassées et ne revinrent pas. Le couvent fut attribué à la restauration aux Visitandines (d'ou le nom de la Chapelle).

Chapelle Sainte Marguerite


Chapelle située 251 avenue Sainte Marguerite.

La façade de la chapelle a été décorée grâce à un don de Mme VIAL.

La chapelle accueille une communauté orthodoxe grecque libanaise.

Chapelle du Saint-Suaire et de la Sainte-Trinité


Chapelle dite des Pénitents rouges, située rue Jules GILLY.
La chapelle construite par la confrérie des Pénitents du Saint-Suaire de 1657 à 1659. La première pierre fut posée le 16 Octobre 1657 et la bénédiction par l'évêque de Nice eut lieu le 1er février 1659. La confrérie ayant été fondée en 1620. Le nom de "Pénitents Rouges" a été donné en mémoire du linceul du Christ qui fut abrité de 1537 à 1543 au château de Nice.
Cette chapelle communique avec l'ancien sénat voisin. Elle fut utilisée par les magistrats du sénat lors des séances inaugurales du tribunal.

Cet édifice a connu en 1792 les dévastations des armées révolutionnaires. Restituée grâce à la générosité du roi Charles Félix à l'état de ruine en 1824 à la Confrérie de l'archiconfrérie de la "Très-Sainte-Trinité". La chapelle fut presque entièrement reconstruite en 1825. Elle rassemble les anciennes confréries du "Saint-Suaire" , du "Saint-Esprit" et du "Saint-Nom-de-Jésus". La couleur rouge provenant d la confrérie du "Saint-Nom-de-Jésus".

Site des Pénitents Rouges.

Couvent Saint-François de Nice


Depuis le XIIIe siècle un couvent de l'ordre des Franciscain se trouvait au sud de la tour Saint-François. En 1722 les frères remplacèrent le petit clocher par une tour campanile baroque accolée à l'église.
En 17922 les franciscains furent chassés par les révolutionnaires. Le couvent et l'église furent vendus en 1798 à un particulier au titre des biens nationaux. Le clocher fut confié à la ville qui le fit surélever et équiper d'une horloge entre 1836 et 1841 afin qu'il serve de tour communal pour le nord de la ville. Sa cloche convoquait le conseil municipal dans l'hôtel de ville située place saint-François.

Inscrit partiellement aux M.H depuis 1993 [4]


Inventaire culte Anglican

L'église anglicane de la Sainte-Trinité



Église située rue de la Buffa.

Inventaire culte Protestant

Temple du Saint-Esprit


Temple situé 21 Boulevard Victor Hugo.


Temple Vaudois


Temple situé 50 rue Gioffredo.

Les Vaudois formaient une secte, fondée à Lyon, par Pierre VALDO, dans le dernier quart du XIIe siècle. Elle se sépara de l’Église en 1179 et fut excommuniée en 1184. Après avoir essaimé en Allemagne, en Flandre, en Aragon, en Italie du Nord, la secte fit l'objet de persécution pendant plusieurs siècles. Au XVIe siècle, les seuls groupes organisés de Vaudois qui subsistaient étaient dans les vallées alpines, en Dauphiné, en Piémont et en Savoie. En 1532 ils adhérèrent au protestantisme. En 1848, l'église évangélique et presbytérienne vaudoise fut finalement reconnue par Charles-Albert_de_Sardaigne.
Les vaudois subsistent en piémont où ils ont gardé la langue française.
Le temple fut édifié à partir de 1855 sur des terrains d’un nommé Chauvain, grâce aux efforts de la communauté protestante toute entière. Le culte vaudois se maintint jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale. À partir de 1920, il s’y déroulait des ventes aux enchères publiques. En 1940, il fut racheté par un avocat. Depuis quelques années, il est redevenu un hôtel des ventes.
Le temple est un imitation d’un temple antique.


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Inventaire culte Orthodoxe

Cathédrale orthodoxe russe Saint-Nicolas


Cathédrale située avenue Nicolas-II.


Chapelle du tsarévitch Nicolas Alexandrovitch


Chapelle située derrière La cathédrale orthodoxe dans le même enclos.

Inventaire Culte Musulman

Inventaire du Culte Juif

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