Recherche généalogique au Portugal

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Portugal
Drapeau du Portugal
Informations
Capitale Lisbonne
Population 10 066 253 hab. (2005)
Superficie 92 391 km²
Langue officielle Portugais
Liens complémentaires
Associations de généalogie
Historique
Localisation
Localisation du Portugal


Particularités des recherches

L'état civil existe depuis 1911, mais jusqu'en 1932 la plupart des actes ont continué d'être enregistrés dans les paroisses où ils sont toujours.

Le registre de l'état civil est devenu obligatoire le 01/04/1911. Depuis cette date, l'état civil n'est plus à base confessionnelle. Tous les faits et déclarations concernant l'état des personnes font l'objet d'une déclaration à l'officier de l'état civil : les bureaux de l'état civil (conservatorias do registo civil)des "Conselhos" (Cantons).

Des mentions sont portées en marge des actes.(comme en France)


Les particularités sont les suivantes :

- Les copies d'acte de naissance sont souvent incomplètes, surtout si l'acte est ancien (fin 19ème siècle, début du 20ème siècle),
- La complexité du nom : succession des noms, possibilité d'opter pour l'intégralité ou partie du nom de naissance du père ou de la mère,
- La femme mariée, veuve ou divorcée est connue sous son nom de naissance au Portugal, alors qu'en France elle est connue des administrations et organismes bancaires sous son nom marital,
- Si l'intéressée réside au Portugal, le nom marital ne doit pas être indiqué sur le courrier.


Formation de l'état civil

Au milieu du XIVe siècle, le roi Alphonse IV promulgua à Evora, le 7 décembre 1352, une loi adressée aux évêques du royaume en vertu de laquelle on devait commencer à enregistrer les mariages. Mais elle ne fut pas forcément appliquée à ce moment là.

Néanmoins, les registres paroissiaux portugais (naissances, mariages, décès) remontent souvent au début du XVIe siècle. Ils sont écrits en portugais.


Découpage administratif

Actuellement, le découpage administratif au Portugal se superpose à peu près à celui que nous connaissons en France:

  • Freguesia – sous-découpage de commune (correspond aux villages importants ou se superpose aux anciennes paroisses dans les villes. On n’y traite que les questions admin. de proximité, bureau de vote…)
  • Município – Commune (Gestion et autorité communale)
  • Concelho – Canton (c’est à ce niveau que se gère l’état civil)
  • Distrito – Département (Archives Départementales)
  • Região – Région
  • Estado – État (Archives nationales)

Sur un acte d'état civil, le lieu enregistré reprend la séquence complète du découpage du plus petit au plus grand.

Ex. : Freguesia da Almofala, Concelho de Castro Daire, Distrito de Viseu.

Toutes les capitales de Districts sont également des Concelhos.

Si vous ne disposez que de la Freguesia, vérifiez, sur le portail STAPE du Ministère de l’Intérieur portugais (http://www.stape.pt), à quel Conselho elle appartient (ou appartenait à l’époque, il y a eu quelques redécoupages).


Les actes de naissances religieux

Ils suivent la plupart du temps le même modèle :

- Prénom de l'enfant, date et lieu du baptême, date (et même heure) de la naissance.
- Nom et éventuellement profession des parents, lieu d'origine, de mariage et/ou d'"habitat".
- Nom et lieux d'origine des grands-parents paternels et maternels.
- Nom, statut (marié, célibataire), profession et lieu d'origine des parrains (avec parfois le nom des parents de la marraine).
- Éventuellement le nom et lieu d'origine des témoins.
- La signature du prêtre.

Parfois l'ordre est différent (Par exemple, le nom des parrains apparaît avant celui des grands-parents).

Toutes les informations ne sont pas présentes, cela dépend du prêtre.



Exemple d'un acte de naissance de 1841 :

José Moreira dos Santos 1841.jpg


"Aos vinte trez de Setembro de mil oito centos quarenta e um bapti-

sei solenemente e puz os S[an]tos Oleos a Jose que nasceu a desasete do

dito mez era ut supra filho legitimo de João Moreira e de Ma-

ria de Jesus de Sepins Grande; neto paterno de Manoel Morei-

ra e de Marianna de Jesus; e materno de Luiz Pires ja defunto e

de Josefa Maria de Sepins Grande forão Padrinhos Manoel Morei-

ra avô paterno e Rosalia Solteira, Tia paterna e todos de Sepins

Grande para constar fiz este termo era ut supra.

Manoel Brandão [le prêtre] "


Formation des noms de famille

Depuis le XXe siècle la règle de la formation des noms de famille au Portugal a été fixée :

Prénoms + Nom de Famille de la Mère + Nom de Famille du Père

ex: Maria Isabel Pereira Rodrigues

Seul le nom de famille du père (ici Rodrigues) se transmettra à la génération suivante (en 1ère ou en 2e position selon que ce soit une fille ou un garçon qui transmet le nom).

Mais avant cela, il existait plusieurs possibilités toutes admises et fréquemment utilisées :

- nom du père : João da Silva Ferreira
- nom de la mère : Maria Isabel Pereira Rodrigues

1/ comme actuellement, les enfants prennent le nom de la mère, puis celui du père.

ex: Pedro Rodrigues Ferreira, Cristina Rodrigues Ferreira

2/ le fils prend le nom complet du père, et la fille celui de sa mère.

ex: Pedro da Silva Ferreira, Cristina Pereira Rodrigues

3/ la fille ne prend pas de nom de famille, mais le 2ème prénom de la mère (s'il y en a un) ou un nom "lié à la religion" (les plus fréquents : de Jesus, dos Santos, da Cruz) qui parfois correspond déjà au nom de famille de la mère.

ex: Cristina Isabel ou : Cristina de Jesus

4/ il arrive que l'on croise les noms de famille sans qu'il y ait forcément une logique apparente. C'est un cas moins fréquent mais qui existe. En général dans ces cas là les enfants prennent le 1er nom de la mère puis le 2e nom de famille du père (c'est-à dire le nom de la grand-mère maternelle + celui du grand-père paternel). Mais parfois c'est plus aléatoire.

ex: Pedro Pereira Ferreira, Cristina da Silva Rodrigues

Ce sont les cas les plus fréquents, sachant que parfois au sein d'une même fratrie plusieurs cas peuvent cohabiter.

ex: Pedro da Silva Ferreira(2) Cristina Rodrigues Ferreira(1)

Il arrive également que l'ordre des noms soit inversé (nom du père + nom de la mère), sans que l'on sache exactement pourquoi. Parfois même entre frères et sœurs de même sexe.

ex: Pedro Rodrigues Ferreira, Cristina Rodrigues Ferreira, Catarina Ferreira Rodrigues


> En remontant dans le temps, le nom des garçons se fera plutôt sous le schéma n°2, et celui des filles le n° 3. Mais ce n'est pas systématique.


Pour finir, sachez que le plus important est l’ordre exact des prénoms et noms. Bien qu'en général, on respecte la règle qui veut qu'on donne traditionnellement aux enfants plusieurs prénoms et, dans l’ordre, les patronymes de la mère puis du père, cet ordre a été fixé puis assoupli. En effet, des éléments d’une même fratrie peuvent avoir des noms de famille différents. En général on avantage plutôt la perpétuation du nom paternel, à moins que la lignée maternelle soit plus prestigieuse, ou pour des raisons d’euphonie, de distinction entre individus entre cousins... les parents peuvent choisir de donner les « matronymes » des parents, et un ordre qui n’est plus celui de la tradition. Heureusement, l’ordre alphabétique dans les registres considère le nom entier de la personne, en commençant par le prénom. Attention aussi aux noms composés sans trait d’union, qui ressemblent à l’accolement du nom des deux parents…

Dans la Pratique

Au siège de chaque Concelho, il existe au moins une Conservatória do Registo Civil, c’est un organisme public officiel qui a pour attribution de tenir le registre des actes relatifs à l'état civil des personnes dépendant de son secteur. Quand le volume le justifie, dans un même canton, il peut exister plus d'une Conservatória. C’est le cas à Lisbonne, Porto et Vila-Nova-de-Gaia. Sinon, en dehors du chef-lieu de Concelho, il ne peut y avoir de conservatórias que dans des localités ayant une population supérieure à 30 000 habitants…

Une liste des Conservatórias est disponible ICI

Les compétences territoriales attribuées aux Conservatórias de Lisbonne, de Porto et Vila-Nova-de-Gaia ont été périodiquement modifiées depuis leur création.


Cela dit, les registres les plus récents sont informatisés (actes depuis 1911, semble-t-il), et donc accessibles d’une Conservatória à une autre, ainsi que par le biais du portail officiel « Portal do Cidadão » ( il faut être inscrit et la fourniture des actes est payante). Sur place, au Portugal, dans les villes principales, on peut aussi profiter de l’initiative qui regroupe plusieurs services publics : les « Loja do Cidadão».

C’est auprès de ces organismes qu’on obtiendra, à partir d’un nom (le plus complet possible) et d’une date (la plus exacte possible) des certificats de registres, appelés « Certidão» (certidões, au pluriel) :

  • Certidão de nascimento (naissance)
  • Certidão de casamento (mariage)
  • Certidão de óbito (décès)

(si l’acte, ou l’extrait, n’est pas une transcription officielle, il pourra se présenter sous la forme d’une photocopie accompagnée d’un certificat officiel).


En principe, on ne vous communiquera de certificats officiels de moins de 100 ans que si elles vous concernent de façon démontrée. Par exemple, il faut fournir la preuve qu’une personne est votre père, pour en demander les certificats.


Si une Conservatória do Registo Civil d’un Concelho ne dispose plus des archives sur son territoire (c’est un peu variable par dates et par Concelhos, malheureusement), alors, celles-ci peuvent se trouver aux Archives de district (Arquivos Distritais chaque districts en possèdent) ou plus probablement aux Archives Nationales (Instituto dos Arquivos Nacionais Torre do Tombo, au même endroit que la Bibliothèque Nationale du Portugal. Etre membre rend l’accès à l’info plus facile).

Voir les coordonnées des Archives sur la Direction Générale des Archives. Là vous aurez accès aux archives directement, dans des conditions de consultation d’archives, et non plus, dans le cadre d’une demande de certificats.


Pour des données plus anciennes, antérieures à la mise en place du registre d’État Civil (début du XIXème), on peut espérer trouver les actes de Baptême (baptismo), mariage (casamento – les futurs sont dits « nubentes » et on parle de « data do enlace » pour la date du mariage) ou d’enterrement (enterro / óbito), relatives aux paroisses (Paróquias).

Il est peu probable de trouver des archives locales (on peut toujours s’adresser au Curé responsable, dit Pároco)

La liste des paroisses se trouve ICI, mais les registres anciens de toutes les paroisses sont en principe, conservés aux archives Nationales (Torre do Tombo à Lisbonne).


Coup de chance : les familles portugaises les plus connues sont souvent déjà « en ligne » notamment sur Geneall.


Si vous avez à effectuer des démarches par courrier, les portugais sont très serviables et ils comprennent souvent le français et l’anglais. Si vous commencez une correspondance par «excusez-moi de ne pas pouvoir vous écrire en portugais…» on devrait vous répondre quand même. Cela dit, il est possible de traduire en portugais un texte avec des phrases sujet-verbe-complément grâce à BabelFish (qui vous permet de traduire les sites internet portugais en français aussi).

Familles notables.png Notables

Au Portugal, la noblesse s'est éteinte avec la Constitution Républicaine de 1911. Avant, seront nobles les personnes qui descendent para vie naturel, strictement mâle et légitime [ou légitimé para "subsequens matrimonium"] d'un noble, qui peux être :

a) Titulaire (Duc, Marquis, Conde, Visconde, Barão) ; si le titre est héréditaire, ce qui est très rare, la noblesse peux être transmise par voie de la titulaire, ça peut être une femme ;

b) Alcaide-mor or Seigneur de têrre avec juridiction ;

c) Fidalgo, avec deux grandes catégories ;

d) Carta de Brasão d'Armas.

1) Fidalgo Cavaleiro, Fidalgo Escudeiro or Moço-Fidalgo ;

2) Cavaleiro Fidalgo, Escudeiro Fidalgo, Moço da Câmara, Escudeiro (Écuyer) or Cavaleiro (Chevalier).

Après la dérogation de la loi appelée Loi Mental (une loi du XVe siècle), avec le libéralisme (1834-1842), les titres héréditaires peuvent être transmis par les femmes.

La Loi Mental dit que tous les biens de la Couronne donnés aux personnes privées reviennent à la Couronne à la mort du bénéficiaire, sauf si la donation était héréditaire. Dans ce cas, ils peuvent seulement être transmis au garçon ainé. S'il est mort, sans descendance naturelle, le titre revient à la Couronne, sauf s'il avait une ou plusieurs dispensations de la Loi Mental, concédées de façon expresse par le Roi dans la Carte de donation/titre, ...

Au Portugal, maintenant, presque 80% de la "noblesse" est fausse, et pour cause... Dans http://www.geneall.net ou dans l"Annuaire de la Noblesse Portugaise" on peux vérifier la situation actuelle.

Une association privée, s'appelant "Instituto da Nobreza Portuguesa", présidée par un vrai noble, le Marquis de Lavradio, donne à presque tous la Carte d'Armes (Blaison). Même si la généalogie portugaise a beaucoup de personnes qui semblent avoir honte de leurs ancêtres...

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

Généralités en Généalogie portugaise :

- A Nobreza Medieval Portuguesa. José Mattoso. Editorial Estampa : 1994.

- Dicionário das Famílias Portuguesas. D. Luiz Gonzaga de Lancastre e Távora. Quetzal Editores.

- Famílias de Portugal. Joaquim Leitão Manso de Lima. Casa da Prova: 2008.

- Fontes da Genealogia em Portugal. Augusto Ferreira do Amaral. Universidade Moderna do Porto : 2000.

- Instrumentário Genealógico - Linhagens Milenárias. Fernando de Castro Pereira Mouzinho de Albuquerque e Cunha. 1994.

- Nobiliário das Famílias de Portugal (12 vol.). Felgueiras Gayo. Edições Carvalhos de Basto : 1992.

- Privilégios da Nobreza e Fidalguia de Portugal. Luiz da Silva Pereira Oliveira. Edição do Autor : 2002 (1ère ed : 1806).

- Resenha das Famílias Titulares do Reino de Portugal. Edições Carvalhos de Basto : 1991.

Noms et personnes :

- História Genealógica da Casa Real Portuguesa (15 vol.). D. António Caetano de Sousa. Público/Quidnovi : 2008. (1ère ed : 1748)

- Os Almeida. Estela Ângela de Barros Vilela Passos. Edição da Autora : 2008.

- Os Melo. José Pavia Cumbre. Tribuna da História : 2007.

- Os Malhões de Óbidos. Luis Filipe Marques da Gama. Câmara Municipal de Óbidos : 2000.

- Os Monjardinos. Jorge Forjaz. 1987.2000.

- Os Pimentéis-Percursos de Uma Linhagem da Nobreza Medieval Portuguesa. Bernardo Vasconcelos e Sousa.Imprensa Nacional-Casa da Moeda : 2000.

- Os Magalhães-Sete Séculos de Aventura. Manuel Villas-Boas. Referência/Editorial Estampa.

- Os Lucenas (2 vols). Armando de Sacadura Falcão. Edições Carvalhos de Basto : 1993.

- Os Gaspar Silva-Memórias de Raízes e Percursos Familiares. Fernando Gaspar da Silva. Instituto Açoriano de Cultura : 2001.

- Os Pires de Lima, de Santo Tirso. António C. de Sequeira Cabral. Universidade Moderna do Porto : 2001.

- Os Rebelos de Oeiras. António de Souza-Brandão. Edição de Autor : 2008.

- Os Sottomayor na História de Portugal. D. Duarte Nuno de Sottomayor. 2000.

- Os Valares. Pedro Falcão. Academia de Letras e Artes : 2004.

- Pereiras Titulares e Titulares Pereiras. D. Luiz Gonzaga de Lancastre e Tavora, Marquês de Abrantes e Fontes. S.A.A. :1971.

- Ribeiros - Morgados de Torrados e da Torre de Idães. M. Antonino Fernandes. Autor : 2006.

- Rochas Paris, Espregeiras, Araujos Bacelares e Pimentas de Castro (notas sobre quatro Familias do Alto Minho). João Rocha Paris. Edição do autor : 1997.

- Souza Girão e Vale na descendência de D. Pedro e D. Inês de Castro. Guilherme Manuel de Souza Girão. Edição do autor : 2007 (2a edição).

- Subsídio para a Genealogia da Família Zamith. Luis Velloso Ferreira. Livraria Esquina : 2005.

Par lieu :

- Costados Alentejanos. António L.T.C. Pestana de Vasconcellos. Edição do Autor: 1999.

- Descendências e Origens: Genealogias de Baião, Bemviver-Marco de Canaveses e Penafiel-séc. XVI a XXI. Luiz Bernardo Carneiro Pinto. Associação Portuguesa de Genealogia : 2006.

- Familias da Beira Baixa, Raizes e Ramos. Manuel Estevam Martinho da Silva Rolão. 2007.

- Famílias Nobres do Algarve (2 vol.). Visconde de Sanches de Baena. Fernando Santos e outros : 1991.

- Famílias Nobres nos Concelhos de Cinfães, Ferreiros e Tendais. José Cabral Pinto de Rezende e Miguel Pinto de Rezende. 1988.

- Frazões das Beiras. Armando de Sacadura Falcão. Associação Portuguesa de Genealogia : 2006.

- Genealogias Alentejanas. António Manuel Prates Godinho de Carvalho. 2003.

- Gente de entre Searas e Montados. Joaquim Falcão de Lima. Guarda-Mor : 2008.

- Índices dos Registos Paroquiais de Lisboa - Casamentos. Luis Amaral. Guarda-Mor : 2006.

- Livro Genealógico das Famílias desta Cidade de Portalegre. Manuel da Costa Juzarte de Brito. 2002.

- Memórias Ressuscitadas da Provincia de Entre Douro o Minho em 1726 (2 vol.). Francisco Xavier da Serra Craesbeck. Edições Carvalhos de Basto : 1992 (1ère ed : 1729).

- Nobiliário das Gerações de Entre-Douro-e Minho (2 vol.). Manuel de Souza da Silva. Edições Carvalhos de Basto : 2000.

- Nobiliário da Ilha Terceira (3 vols.). Eduardo de Campos de Castro de Azevedo Soares (Carcavelos). Fernando Machado Cª Ldaª : 1944.

- Os Luso-Descendentes da Índia Portuguesa (3 vol.). Jorge Forjaz e José Francisco de Noronha. Fundação Oriente : 2003.

- Os Morgadios de Rio Torto e de Rio de Fornos. Fancisco Pimentel. Edição Pessoal : 2006.

- Os Primeiros Condes da Foz-Ascendência e Descendência. Artur Monteiro de Magalhães. Livraria Esquina : 1996.

- Patriciado Urbano Quinhentista: As Famílias Dominantes do Porto. Pedro de Brito. Arquivo Histórico-Câmara Municipal do Porto : 1997.

- Raízes da Beira-Genealogia e Património da Serra da Estrela ao Vale do Mondego (2 vol.). Eduardo Osório Gonçalves.

- Titulares do Liberalismo do Algarve. José Krohn da Silva e Miguel Maria Telles Moniz Côrte-Real. Edição do Autor : 2006.

- Últimas Gerações de Entre-Douro e Minho (2 vol.). José de Sousa Machado. J. A. Telles da Sylva : 1989. ( 1ère ed : 1931).

- Uma Família da Beira Alta. Rui do Amaral Leitão. Genealogistas Associados : 2008.

- Uma Família da Beira Baixa. José Luiz de Sampayo Torres Fevereiro. Dislivro Histórica : 2004.

- Uma Família do Porto. Pedro Araújo Dantas. Guimarães Editores : 1998.

- Uma Família de Cristãos-Novos em Bragança (3 vol.). Filipe Pinheiro de Campos. 2007.

- Velhas Casas de Guimarães (2 vol.). Maria Adelaide Pereira de Moraes. Universidade Moderna do Porto : 2001.

- Villa Portela - Os Charters d'Azevedo em Leiria e as suas ligações familiares (sec. XIX). Ana Margarida Portela, Francisco Queiroz e Ricardo Charters d' Azevedo. Gradiva : 2007.

Autres sources (militaires, religieuses...) :

- As Ordenanças e as Milicias em Portugal, Subsidios para o seu estudo (2 vol.) Nuno Gonçalo Pereira Borrego. Guarda-Mor : 2006.

- Habilitações nas Ordens Militares - Ordem de Cristo (3 vol.). Nuno Gonçalo Pereira Borrego. Guarda-Mor : 2007.

- Habilitações para o Santo Ofício (25 vol.). António de Assis, Graça de Araújo da Rocha e Luis Soveral Varella. Masmedia : 2003.

- Inquirições de Genere do Bispado do Porto-Concelho de Marco de Canavezes. Fundação Voz Portucalense : 2008.

- Rol dos Judeus e seus Descendentes. Jorge Valdemar Guerra e Fátima Barros. Arquivo Histórico da Madeira : 2003.

- Sangue Velho, Sangue Novo. Manuel de Mello Corrêa. Instituto Português de Heráldica : 1998.


Logo internet.png Liens utiles (externes)

  • Généalogie portugaise (forum, arbres en ligne, librairie...)
http://www.geneall.net/P/
  • Le portail SAPO référence plusieurs ressources de généalogie portugaise
http://genealogia.sapo.pt
  • Institut des Archives Nationales Torre do Tombo
https://antt.dglab.gov.pt/
  • Les actes paroissiaux portugais en ligne
http://tombo.pt/
  • Sur familySearch :
La liste des collections portugaises en ligne de FamilySearch.(Pour l'instant seules quelques grandes villes y sont)
  • Généalogie au Portugal (portugais et quelques articles en français) Conseils, histoire, coutumes, métiers, photos anciennes...
http://c.geneal.over-blog.com
  • Site d'histoire portugaise (portugais)
http://www.arqnet.pt
  • Villes et villages du Portugal (portugais)
http://www.anafre.pt/



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Cet article a été mis en avant pour sa qualité dans la rubrique "Article de la semaine" sur l’encyclopédie Geneawiki.