MOYNIER Jean

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< Retour à la page CC3 - Compoix 1734

Jean Moynier

Premièrement une maison, estable, cour et chazal dans le lieu d'Aiguèze, au vallat, confrontant du levant maison de Louis Dubois et maison de Jean Chabot, du couchant la rue du Vallat, de bise maison et cour de Jean Ville, du marin maison d'Olivier Fraissenet, contenant en couvert trente une cannes et en cour ou chazal douze, présage trois sols un denier.


Plus le dessus d'un membre dans ledit lieu, sur l'hospital, le dessous appartenant à Antoine Rieu fils à feu Pierre, confronte du levant maison dudit Rieu, du couchant la rue, de bise maison de Joseph Ducros, du marin maison de Pierre Granier, contenant deux cannes deux deniers.


Plus une terre située prés le portal de la Font, confrontant du levant jardin d'Antoine Rieu fils de Pierre, du couchant terre de Me Claude Durieu notaire, jadis issue entre deux et pour un peu l'issue, de bise ladite issue, du marin jardin dudit Me Durieu notaire, contenant cinq leydières de la première estime, présage un denier.


Plus une terre et olivette au chemin de Margissas, sive l'olivette et la frigolière, faisant escaire et figure irrégulière, confrontant du levant et marin le chemin, dudit levant et bise terre de Reymond Pagès et terre et olivette de Simon Laval, du couchant le chemin, dudit couchant et dudit marin terre de demoiselle Anne Vignal, dans ledit confront est incorporé une pièce de terre de Claude Roche, contenant deux salmées deux eyminés deux civadiers, savoir sept eyminés de la seconde estime et le reste de la troisième, présage cinq sols cinq deniers et pitte.


Plus une terre et hière au Puget, dans laquelle passe un viol, confrontant du levant hière de Mr le prieur, du couchant et bise terre de Mr Claude Durieu notaire, du marin olivette et terre de Jean Ville et olivette et terre des hoirs de Antoine Fabrègue, contenant une eyminé trois civadiers une leydière et demy de la troisième estime, présage quatre deniers pitte.


Plus un chenevier au Tioure, confrontant du levant et marin le ruisseau d'Aiguèze, du couchant terre de Marguerite Redon, de bise terre et vergier de Baptiste Revire, béal entre deux, contenant sept civadiers, savoir six de la première estime et l'autre de la seconde, présage cinq deniers.


Plus un chazal, chenevier, vigne et terre à Margissas, faisant escaire, confrontant du levant terre et vigne d'Antoine Barnoin jeune, olivette, terre et vigne des hoirs de Jean-François Durand, et chenevier de Me Claude Durieu notaire, du couchant le vallat ou issue, dudit levant couchant et bise terre et olivette de Jacques Pouzol, en partie issue entre deux, du marin chenevier dudit sieur Durieu et terre d'André Pradier, contenant en chazal neuf cannes et en tènement une salmée sept eyminés un civadier, savoir une salmée trois eyminés de la première estime, deux eyminés de la seconde et le reste de la troisième, présage six sols neuf deniers et pitte.


Plus une terre à Margissas, confrontant du levant terre herme de Marguerite Redon et vigne de Joseph Brun, du couchant l'issue, de bise terre de la communauté et terre de François Reynaud, du marin vigne et terre de Jean-François Durand et terre d'Anne Belleville, contenant deux eyminés sept civadiers deux leydières, savoir sept civadiers deux leydières de la seconde estime et deux eyminés de la troisième, présage dix deniers pitte.


Plus une olivette à Margissas, confrontant du levant et bise le chemin, du couchant le vallat de petit, du couchant et marin terre des hoirs de Simon Barnoin, dudit marin terre et olivettte des hoirs de Jean-François Durand, contenant cinq eyminés, savoir deux de la seconde estime et les autres trois de la troisième, présage un sol six deniers.


Plus une terre et travers aux hors des Antonis sive au Chambon, faisant escaire, confrontant du levant chenevier de Reymond Pagès, dudit levant et bise vigne de sieur Joseph Romanet, du couchant terre de Jean Chardet, dudit couchant et de ladite bise vigne et terre des hoirs d'Antoine Fabrègue, du marin le ruisseau d'Aiguèze, contenant six eyminés sept civadiers, savoir deux eyminés de la première estime, deux eyminés sept civadiers de la seconde et deux eyminés de la quatrième, présage deux sols deux deniers et pitte.


Plus une vigne et terre aux hors des Antonis, confronte du levant terre de Jean Chardet, du couchant le vallat de Taulelle, de bise terre des hoirs d'Antoine Fabrègue, du marin le ruisseau d'Aiguèze, contenant trois eyminés trois leydières, savoir cinq quartières de la seconde estime et le reste de la troisième, présage un sol un denier.


Plus une terre au serre d'Armand, confronte du levant hermas des hoirs de Toussain Pellicier, du couchant les pactis comuns, de bise terre de Louis Dubois, chemin allant à la garigue entre deux, du marin le chemin allant d'Aiguèze à Laval, contenant cinq quartières de la quatrième estime, présage un denier obolle et pitte.


Plus un hermas dans les pactis prés la grange des Bez, dans ladite pièce passe un chemin, confrontant du levant et partie du marin hermas indivis entre les hoirs de Sébastien Charbonnier et les hoirs de François Reynaud, du couchant terre d'Antoine Rieu fils à feu Pierre, Reymond Pagès et terre d'André Allauzenc, de bise terre dudit Pagès, du marin terre de Louis Dubois, contenant une salmée trois quartières, savoir trois quartières de la quatrième estime et la salmée de la cinquième, présage trois deniers.


Plus une vigne à la Bancouze, confrontant du levant terre d'Estienne Rouvier, du couchant vigne de Charles Angeric, de bise terre et vigne de Jean Chabot, du marin terre et vigne de Jacques Gautier, contenant trois eyminés trois civadiers, savoir une eyminé de la seconde estime et le reste de la troisième, présage onze deniers obolle.