69243 - Tarare

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Tarare
Blason de Tarare
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 69 - Blason - Rhône.png    Rhône
Métropole -
Canton Blason Tarare-69243.png   69-10   Tarare

Blason Tarare-69243.png   69-29   Tarare (Ancien canton)

Code INSEE 69243
Code postal 69170
Population 10 587 habitants (2018)
Nom des habitants Tarariens, Tarariennes
Superficie 1 399 hectares
Densité 756.75 hab./km²
Altitude Mini : 359 m
Point culminant 727 m
Coordonnées
géographiques
45.89694° / 4.43389° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
69243 - Tarare carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

Lieu de passage, la région de Tarare est très vraisemblablement occupée depuis les temps anciens.

Au début du XIIe siècle, la puissante abbaye de Savigny fonde le prieuré de Tarare. Jusqu'à la Révolution, les habitants, principalement des tisserands en toile, des tanneurs, des cordonniers, des petits marchands et des aubergistes, dépendent ainsi de ce fief ecclésiastique.

Naissance de la « Mousseline »

Le précurseur : Georges-Antoine SIMONET (né à Tarare en 1710)
Vers 1756, Georges-Antoine SIMONET, fils d'un toilier de Tarare, souhaite produire un tissu aussi transparent et léger que ceux produits en Inde ou en Suisse. Il se rend dans la région de Saint-Gall en Suisse pour découvrir les secrets de fabrication de cette toile. La Suisse punissait alors les curieux qui « espionnaient ».
De retour à Tarare, il fait construire des métiers sur ses plans et fait venir une famille de Saint-Gall pour former son personnel.
Hélas, les premiers résultats sont décevants : la toile est plus épaisse, laide et chère à produire à cause de la qualité des filés de cotons produits sur la région. Georges-Antoine SIMONET consacra toute sa fortune et la dot de sa femme à ce projet. Il décède à Charbonnières en 1778, oublié de tous et ruiné.

Le développeur : Claude-Marie SIMONET (né à Tarare en 1749). Il est le neveu de Georges-Antoine.
En 1786, il se rend en Suisse et constate que le filé Suisse n'est pas réalisé dans les mêmes cantons que les toiles et décide d'acheter les filés en fuseau de Suisse. Dès 1787, il fabrique les premières mousselines avec le filé Suisse. La fabrique prospère rapidement et, en 1789, elle compte environ 600 métiers. Claude-Marie sera maire de Tarare et décédera en 1822.

La tarlatane La tarlatane est une espèce de mousseline en coton extrêmement claire et légère employée pour la confection de robes de soirée, de coiffes et accessoires de lingerie. La tarlatane est un textile importé d'Inde. Sa fabrication française s'établit à Tarare.

Naissance de la ville industrielle

En périphérie de la mousseline, se développent les industries de l'apprêt, du blanchiment et de la broderie.
En 1808, Nicholas MANGIN introduit le blanchiment par les méthodes du chimiste Claude-Louis BERTHOLLET. En 1822, BRUNEL de Genève lance l'industrie de l'apprêt. En 1825, se sont les frères MAC-CULLOCH qui développent la filière apprêt par des procédés anglais.

En 1836, un lyonnais, Martin GUBIAN, installe à Tarare la fabrication du velours et de la peluche pour chapeaux d'homme. En 1843, c'est Jean-Baptiste MARTIN, manufacture de Velours qui sera créée, cette usine occupera une place importante pour la ville jusqu'à sa fermeture en 1976.

La mousseline cherche à adapter ses fabrications à d'autres demandes. C'est la gaze à pansement dont les débuts datent de la découverte de l'asepsie et de la guerre de 1870. On note aussi une production de coton hydrophile par Jean-Marie FROGET (maire). La mousseline ayant été utilisée comme voilage pour les fenêtres, l'industrie locale s'est adaptée aux différentes matières apparues sur le marché :

- la rayonne vers 1928 / 1929 et la « toile de Tarare » (chaine de rayonne et trame de coton)
- puis le crêpe de chine (tout rayonne).

Puis dans les années 1954/1955, c'est l'apparition du Tergal (fibre de polyester de Rhône-Poulenc) où Tarare est devenu le leader mondial dans la production. Une marque « plein jour » défend la production locale. La production de voile alimente les unités de confection de rideaux.

La crise de 1965 due à la fermeture des marchés coloniaux marque la fin d'une époque.

Le Taraflex

C'est en 1923 que la société anonyme Blanchiment et Apprêts de Tarare (BAT) s'installe pour traiter de la gaze. En 1936, elle est reprise par le groupe Hippolyte CHAMPIER et, vers 1936, elle réalise les premiers essais d'enduction sur tissu. Après la guerre, la société s'orientera vers le travail du polychlorure de vinyle (PVC). Une technique de calandrage et d'enduction est mis au point par son directeur Robert MICHON. La marque « Taraflex » est déposée en décembre 1948 pour les produits de revêtement de sol. Les applications sont diversifiées : sol des porte-avions de la marine, wagon de la SNCF.
En 1962, le ministre des sports, M. Maurice HERZOG, demande que les collèges soient équipés d'une salle de sports. C'est une opportunité pour Taraflex qui développe un produit spécifique à cette application.

En 1976, les efforts de l'entreprise dans le domaine du sport sont couronnés par la réalisation des revêtements des terrains de handball et volley pour les JO de Montréal.

En 1978, c'est la fusion Gerland BAT. En 1985, BAT est abandonné au profit de Taraflex. En 1993, l'entreprise intègre le groupe Gerflor.

Deux « paroisses »

Jusqu'en 1820, la commune ne comptait qu'une paroisse. C'est l'église de Saint-André (sur la colline du château) qui fait office d'église paroissiale. En 1820, l'église Sainte-Madeleine entourée du cimetière est érigée en paroisse. La ville se développant, il est décidé de construire un nouvel édifice.

Le 16 octobre 1824, le sous-préfet autorise la construction d'un nouvel édifice à la place de l'ancien. La nouvelle construction entraîne le transfert du cimetière hors de la ville.

Entre cette nouvelle paroisse et l'ancienne, il y aura une rivalité qui perdurera jusque vers 1966 ou le père GUILLAUD est chargé par Monseigneur Jean VILLOT[1] d'unifier les deux paroisses.

Le train du Beaujolais

Après plusieurs projets de liaison ferroviaire, le département du Rhône s'engage, en 1895, à construire l'infrastructure dans un délai de quatre ans. La Société centrale de chemin de fer s'engage pour sa part sur les voies et bâtiments et sur le matériel roulant. La déclaration d'utilité publique de la ligne Villefranche-sur-Saône-Tarare prise par Félix FAURE est promulguée le 24 juin 1896.

La Société anonyme des Chemin de Fer du Beaujolais (CFB) est créée en juillet 1898 et c'est elle qui est en charge de l'exploitation de cette nouvelle ligne d'environ 40 kilomètres.
Le tronçon Villefranche-Le Bois d'Oingt est mis en exploitation le 4 avril 1901, tandis que la section Le Bois d'Oingt-Tarare le sera le 1er juillet 1902. Tarare est desservie par deux stations : Tarare Ville et Tarare P.L.M.

La ligne est à voie unique métrique et en site propre, sauf dans certaines traversées de localités. La ligne dessert : Villefranche-sur-Saône, Arnas, Liergues, Jarnioux, Ville-sur-Jarnioux, Le Bois-d'Oingt, Sarcey, Les Olmes, Pontcharra-sur-Turdine et Tarare. Les convois sont tractés par des locomotives « Pinguely »[2].

Les convois sont mixtes, c'est à dire que le train transporte aussi bien des marchandises que des voyageurs, ce qui conduit à des temps de transport longs. De 1904 à 1913, le trajet est desservi par quatre aller-retours quotidiens. En 1924, le trajet dure encore 2 heures 28.

En 1921, la CFB demande la résiliation de la concession, l'exploitation étant déficitaire. Le département rachète la ligne en 1921 mais le concessionnaire poursuit l'exploitation jusqu'en 1923. En 1924, un autorail SAURER est acquis et le service voyageur se trouve amélioré tant en terme de confort que de vitesse. Le temps de trajet est ainsi ramené à 1 heure 50. Le signe "CFB" est conservé jusqu'en 1925 par la Régie départementale des chemins de fer du Beaujolais.

La régie prend le nom de CFR (Compagnie des Chemins de Fer d'intérêt local de Rhône) en 1928, et elle est exploite simultanément la ligne Amplepuis-Saint-Vincent-de-Reins. En 1930, la société est transformée en société d'exploitation de Chemin de Fer et d'Autobus.

Après avoir transporté en 1905, 729 843 passagers, le trafic décline. En 1932, celui-ci n'est plus que de 507 408 voyageurs. En 1934, le 31 juillet, la liaison est supprimée et la liaison est assurée par des autocars.

Le barrage de Joux

En 1862, l'industriel Jean-Baptiste MARTIN défend un projet de réservoir d'eau auprès de Napoléon III pour diminuer les crues de la Turdine (1840 et 1856) et pour pallier au manque d'eau dans les années de sécheresse. Malgré l'aide de l'État et la participation de Jean-Baptiste MARTIN, le projet n'a pas abouti.

Février 1864 : deux projets sont présentés au conseil municipal pour des barrages de retenue d'eau : le projet de Joux pour 800 000 mètres-cube d'un coût de 740 000 Francs et celui de Bousuivre de 1 520 000 mètres-cube pour un budget de 1 120 000 Francs.
Juin 1866 : le site de Joux est définitivement adopté, mais ni les financements ni le projet définitif ne sont connus.

1869 : des études sont lancées par la municipalité pour l'édification d'un barrage sur la commune de Joux.

Le barrage

En 1892, un industriel, Georges MALLEVAL, relance le projet avec le soutien de la municipalité. En 1895, un projet est accepté et transmis en vue de l'obtention du décret d'utilité public. Les enquêtes sont lancées sur Joux et Tarare, la population soutient le projet. Mais la chambre de commerce émet le souhait qu'un autre projet soit étudié.
Le 26 avril 1900, Émile LOUBET, par décret, déclare d'utilité public l'établissement du barrage-réservoir.
Le 7 mars 1901, l'adjudication des travaux est accordée à une entreprise de travaux publics de Moulin (Société d'Auguste FREY).
Décembre 1904, réception provisoire de l'ouvrage.

  • Juin 1905, le barrage est remis officiellement à la ville de Tarare. Il a une capacité à ce moment là de 760 000 mètres-cube.

En 1947 et 1949, le barrage est vidé du fait de la sécheresse et des besoins croissants de l'industrie en particulier.
Entre 1951 et 1954, l'ouvrage est surélevé de 3,5 mètres et sa capacité passe ainsi à 1 100 000 mètres-cube.

En parallèle, Joseph RIVIÈRE œuvre pour la création d'un syndicat intercommunal des eaux (1951) qui captera des eaux dans la nappe alluviale de la Saône à Ambérieux-d'Azergue et amènera celle-ci à Tarare via Anse et Theizé. Ces travaux seront menés de 1955 à 1957.

Héraldique

Définition du blason

  • Version de 1870 : D'or à la croix ancrée de gueules, cantonnée de quatre losanges de sable.

Historique du blason

Projet Pierre-Marie CÔTE

L'étude du blason de Tarare a été lancé par Martin GUBIAN, maire, qui a reçu une lettre de la Grande Chancellerie le 4 avril 1865 autorisant la commune à présenter un projet d'armoiries. En décembre 1866, Pierre-Marie (dit Hippolyte) CÔTE présenta son travail au conseil municipal.
Il avait recherché les vestiges utilisables pour l'établissement du blason et seul un ancien prieur, Antoine VERNOILLES, avait laissé des traces importantes de son passage sur la commune.
La famille VERNOILLES se blasonnait « D'or à la croix ancré de gueules ».

Il proposa de « briser » l'écu en cousant un chef d'azur à trois abeilles d'or, ce qui devait satisfaire Napoléon III, lui rappelant son oncle. C'est donc ce projet que le conseil adopta et qui fut transmis au conseil du Sceau à Paris. La chancellerie refusa le projet car le chef d'azur était réservé au villes de première catégorie suivant la définition d'un décret de 1809.

- Première catégorie : 40 villes importantes depuis 1821.
- Seconde catégorie : villes qui possédaient un tribunal et une chambre de commerce. Dans ce cas, blason avec un franc quartier à dextre (droite).
- Troisième catégorie (dont Tarare) qui ne possédaient ni de tribunal, ni de chambre de commerce.

La chancellerie accordait à Tarare un blason de troisième catégorie et portant un franc quartier d'azur à N étoilé d'or à senestre (gauche).
Après intervention du député de la circonscription M. PERRAS, d'un employé du cabinet du garde des Sceaux ayant de la famille à Tarare, un blason de deuxième catégorie fut accepté.

Blason de 1867
Blason de 1870
  • Ainsi le 25 août 1867, le gouvernement impérial publia par décret les armoiries de la ville :

Version de 1867 : « D'or à la croix ancré de gueules, cantonnée de quatre fusées de sable; au franc quartier, à dextre, d'azur à l'N d'or, surmonté d'une étoile rayonnante, l'écu sommé d'une couronne murale à cinq créneaux d'argent, pour cimier, traversée d'un caducée contourné d'argent auquel sont suspendues deux guirlandes : l'une à dextre d'olivier, l'autre à senestre, de chêne aussi d'argent, nouées et rattachées par des bandelettes d'azur. »

  • En 1870, l'Empire disparut et des modifications se glissèrent sur le blason.

Vers 1880, le « N » d'or disparut du franc quartier et fut remplacé par un quatrième fuseau à dextre.
Version de 1870 : « D'or à la croix ancré de gueules, cantonnée de quatre fusées de sable. ».

Enfin, une autre variante substitua le « N » étoilé par un « T ».

Pictos recherche.png Article détaillé : Voir la page du blason de Tarare ...


Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Rhône
  • Arrondissement - 1801-2024 : Villefranche(-sur-Saône)
  • Canton - 1801-2024 : Tarare
  • Commune - 1801-2024 : Tarare

Résumé chronologique :

  • 1801-2024 : Cton de Tarare , Arrt. de Villefranche(-sur-Saône), Dép. du Rhône.

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Église Sainte-Madeleine

Église Sainte-Madeleine
Photo J-P GALICHON


La nef Photo J-P GALICHON

Église du centre ville.

Construite entre 1825 et 1827 sur l'emplacement de la chapelle de l'ancien cimetière par l'architecte POLLET qui avait construit l'église de La Madeleine à Paris. Les colonnes rappellent l'architecture grecque. L'édification est terminée en 1856 lorsque les deux tours et la façade sont achevées. C'est l'architecte FEUGA qui est en charge de ce chantier. L'édifice est équipé d'un orgue.
La statue de saint Augustin du XIXe siècle, en pierre, a été réalisée par Joseph-Hugues FABÎSCH, elle est classée au titre objet aux MH en 1988[3] [4].
L'église possède une ébénisterie et des confessionnaux remarquables.
Le fronton sculpté est l'œuvre de Jean BONNASSIEUX, il représente le Christ entre Simon le pharisien et Madeleine.
Le clocher est équipé de cinq cloches dont l'une pèse deux tonnes.
L'église mesure 50 mètres de long, 22 mètres de large et elle est haute de 14,5 mètres.
En 1924, elle est transformée, les dômes qui coiffaient les deux tours sont remplacés par des balustres en pierre.

L'église a été restaurée en 1996/1997.
Patrimoine

Vitraux

Église Saint-André

Église Saint-André
La nef - Photo J-P GALICHON


L'église Saint-André se remarque par son architecture hybride : une juxtaposition de deux édifices réalisés à des époques différentes.
L'ancienne église Saint-André fut construite sur l'emplacement de l'ancien château. Celle-ci a remplacé l'ancienne église du même nom mentionnée dans le cartulaire de Savigny en 1110 et détruite par un incendie au XIe siècle ou XIIe siècle.

C'est en novembre 1857 que le conseil de fabrique envisage la construction d'une nouvelle église Saint-André compte tenu de l'étroitesse de l'ancien édifice et de l'augmentation de la population.

Août 1860, le conseil a confié l'implantation de l'édifice projeté à l'architecte lyonnais Pierre BOSSAN. Quelques jours plus tard, le conseil municipal adopte à l'unanimité un projet légèrement modifié.
Novembre 1862, le conseil municipal adopte les plans de l'architecte, reste à trouver les financements.
Août 1864, les plans de Pierre BOSSAN n'ont pas été validés par les autorités. L'architecte Tony DESJARDINS est chargé du projet. Édifice néogothique orientée Nord-Sud.
Septembre 1864, le conseil de fabrique valide les nouveaux plans et décide de lancer les travaux. Le conseil municipal approuve le projet et donne son accord pour le lancement des travaux.
En 1867, elle est restée inachevée faute de moyens. Une façade surmontée d'une flèche avait été prévue. La guerre de 1870 stoppe le projet. Un raccordement est simplement effectué entre les deux portions d'édifice.
Entre 1963 et 1967, les parties non affectées au culte ont été détruites et un aménagement du raccordement a été fait. Une façade et un nouveau clocher ont "terminé" l'ensemble.

L'orgue de Saint-André

L'instrument - Photo J-P GALICHON

Cet orgue a été commandé par le curé Gabriel PUTOD pour 17 222 francs or. Cet orgue est une partie d'un orgue de Joseph CALLINET de Rouffach qui était un orgue de tribune installé à l'église Saint-François de Sales à Lyon. Une partie de l'orgue de Saint-François de Sales ira à Voiron et l'autre, après transformation par Joseph MERKLIN à Lyon, sera livrée en 1881 à Saint-André à Tarare. Le buffet reçoit à cet occasion des ajouts néo-gothiques. L'orgue a été financé en partie par une souscription et l'autre par le conseil de fabrique. Il est inauguré le jeudi 14 décembre par Paul TRILLAT, titulaire de la cathédrale Saint-Jean de Lyon.
En 1912, un relevage complet est fait par Charles Michel MERKLIN.
En 1920, un ventilateur électrique est installé toujours par MERKIN.
En 1926/1927, l'orgue est complètement restauré et reçoit divers transformations par la manufacture CAVAILLÉ COLL & CONVERS. Une souscription couvrira le montant des travaux. L'orgue sera inauguré le 27 mars 1927 par Marcel PAPONAUD, organiste titulaire à Saint-Bonaventure à Lyon.
En 1950, une opération de restauration reconstruction est lancée auprès des Ets RUCHE pour un montant 995 000 francs. À cette occasion, un combinateur de 35 combinaisons ajustables et mémorisables sur carton perforé est installé (système Acribès inventé par Adrien ROUGIER et mis au point par RUCHE en 1937). Le nouvel orgue est inauguré par Adrien ROUGIER, titulaire de l'orgue de l'église Saint-Pothin à Lyon le 4 mars 1951. Une souscription et des quêtes a permis de récolter 810 000 francs pour couvrir en partie les travaux.
À partir de 2002, des dysfonctionnements de plus en plus nombreux sont apparus, et le relevage et l'échange de nombreux composants de l'instrument seront faits par le facteur d'orgue Lyonnais, Olivier BERNARD. Il sera inauguré le dimanche 19 juin 2005 par Georges ALOY, titulaire à la basilique de Fourvière.

Les vitraux

Autres patrimoines

Chapelle Notre-Dame-de-Bel-Air

Chapelle Notre-Dame-de-Bel-Air
Photo J-P GALICHON


La chapelle Notre-Dame-de-Bel-Air, dominant Tarare, est située au hameau de Bel Air à 597 m d'altitude.
Chapelle édifiée au XVIIe siècle dédiée à la Vierge Marie en remplacement d'un ancien autel. Très endommagée, elle devra être reconstruite. L'autorisation de construire a été accordée le 6 novembre 1755 et l'édifice bénit le 28 août 1757. Divers aménagements auront lieu dans les années 1830.
Installation d'une cloche en 1834, mise en place du chemin de croix en 1836, construction d'un calvaire en 1837.
La chapelle a été restaurée vers 1890 grâce aux libéralités d'Émile THIVEL.
L'intérieur a été refait en 1919/20 par deux frères de la famille BROC revenus indemnes de la guerre.
Ancienne propriété de l'hôpital de Tarare jusqu'en 1974, c'est une association qui gère le site.
Chapelle orientée au nord de plan rectangulaire allongé.
Nef à quatre travées voûtées en berceau avec mur doubleau.
Abside à pans coupés.
Sources[5]


Chapelle Sainte-Bernadette

Chapelle Sainte-Bernadette Photo J-P GALICHON


La chapelle Sainte-Bernadette, actuelle salle Plain'Accueil, a été inaugurée en 1960. Elle avait été construite par des bénévoles catholiques et financée par le mouvement culturel de La Plaine. Tous les dimanches, une messe était célébrée. Avec le manque de prêtres et la diminution de la pratique du culte, les messes furent supprimées vers 1980. En 1987, les jeunes du quartier cherchaient une salle pour se réunir. Après rénovation, la salle Plain'Accueil est inaugurée le 1er juillet 1998.
Les vitraux en dalles sont de Gabriel GOUTTARD ont été conservés dans la transformation.
Chapelle construite sur un plan rectangulaire sur des plans de l'architecte André BESSAC.

Chapelle de la maison des petites sœurs des pauvres

Chapelle de la maison des petites sœurs des pauvres
Photo J-P GALICHON


Fondation d'un établissement à Tarare par les petites sœurs des pauvres en 1858 et acquisition d'immeubles.
Départ des Petites Sœurs des Pauvres de Tarare : 1973.
Les locaux ont servi servit d'hôpital, de dispensaire et de maison de retraite. L'EHPAD qui a succédé en 1973 dans les locaux a été fermé en 2005, lorsque "La Clairière" a été ouvert.
Le toit de la chapelle de l'hospice Margaret a été victime d'un incendie en mars 2012.
Située rue du docteur-Guffon.
L'ancienne maison de retraite, en chantier depuis 2014 est transformée en appartements.

Château de Bascoulard

Château de Bascoulard Photo J-P GALICHON


Le château a été incendié le 4 juin 1944 par le service de renseignement de la Wehrmacht sous la responsabilité d'Heinz ECKERT alias Evans. Ce dernier a été condamné à mort par le Tribunal militaire de Lyon le 8 décembre 1950, puis gracié par un décret du 15 août 1951 et finalement libéré.
Le château servait de PC au secteur III AS de la résistance. Il était aussi une cache d'armes.

Logo internet.png Site en ligne : Pour en savoir plus ...


Tour de la prébende des Martin ou tour du Château

Cette tour de la fin du XVe siècle porte le nom du curé qui l'a fait construire. Elle est située dans le quartier ancien de la ville, le quartier du Château.

Viaduc ferroviaire

Le viaduc

Le viaduc fut édifié en 1863 et enjambe la Turdine. Constitué de 21 arches en pierre, sa longueur est de 343 m et 26 m de hauteur au point maximal. Le 28 août 1944, la Royale Air Force a bombardé celui-ci, mais les six bombes lâchées n'ont pas atteint l'édifice. La ligne de chemin de Fer (PLM) a été construite entre 1864 et 1868.

Autres patrimoines

  • Ancienne manufacture de moulinage J.-B. Martin de 1843, créée par Jean-Baptiste MARTIN (1801-1867), située 7 avenue Edouard Herriot, partiellement inscrit aux MH (totalité de l'édifice ainsi que les façades et toitures des écuries)[6] en 1987.
  • Maison dite ancien prieuré du XVIe siècle, située 17 rue du Château, partiellement inscrit aux MH (façades et toitures ainsi que l'escalier à vis de la tourelle)[7] en 1983.
  • Statue de George Antoine SIMONET

Repère géographique.png Repères géographiques

Vue depuis la chapelle de Bel Air - Photo J-P GALICHON



La commune de Tarare est située à environ 40 km de Lyon et à environ 40 km de Roanne (Loire) sur les rivières de La Turdine[8] et du Taret.

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 2 799 2 174 2 516 6 294 6 833 7 762 8 647 9 659 10 280 13 060
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 14 569 15 092 13 694 14 383 13 352 12 580 12 387 12 028 12 334 12 180
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 12 532 11 472 11 768 11 474 10 395 10 142 11 364 12 131 12 296 12 045
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 10 822 10 720 10 420 10 673 10 541 10 532 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Cartes postales

Photos

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Jean-Baptiste CHOSSIGNON 04/1790 - 1792  
Barthélemy GIRERD 05/1792- 1792  
Jean MATAGRIN 12/1792 - 1795  
Benoît LE BRUMENT 04/1795 - 1795 Nommé  
Jean-Claude ANDRIEU 11/1795 - 1798  
Jean MATAGRIN 11/1798 - 1799  
Pierre GARNOUD 03/1799 - 1800  
Joseph MILAN 07/1800 - 1801 Nommé  
Claude-Marie SIMONET 05/1801 - 1811 Nommé - Industriel de la Mousseline.  
André-Jacques ORSEL 11/1811 - 1814 Nommé  
Barthélémy GIRERD 09/1814 - 1815 Nommé  
Alexandre SIMONET 05/1815 - 07/1815 Nommé  
Barthélémy GIRERD 07/1815 - 1815 Nommé  
Pierre GARNOUD 11/1815 - 1816 Nommé  
Claude MATAGRIN 05/1816 - 1818 Nommé  
Jean-Marie MATAGRIN 10/1818 - 1826 Nommé  
Jean-François CAQUET 01/1826 - 1832 Nommé  
Pierre VARINAY 05/1832 - 1840 Nommé  
Jean-Louis MADINIER 09/1840 - 1850 Nommé  
Jules FION 07/1850 - 1860 Nommé  
BONNEFOND DE VARINAY 11/1860 - 1865 Nommé  
Jean-Baptiste MARTIN-GUBIAN 11/1865 - 1867 Né à Tarare en 1801, décédé à Lyon (Rhône) le 08/04/1867. - Nommé - Industriel du velours - Chevalier de la Légion d'honneur[9]  
Louis SALET 04/1868 - 1870 Nommé  
COQUARD-MENOU 11/1870 - Nommé  
Félix PERRONET 05/1871 - 1874 Élu  
Philibert MATAGRIN 02/1874 - 1876 Nommé  
Nicolas SEVE 05/1876 - Nommé  
Jean PRAMAYON 05/1882 - 1884 Nommé  
Camille GODDE 1884 - 1885 Élu  
Alfred SORDES 12/1885 - 1888 Élu  
NOTIN 1887 - 1888 Élu  
Jean-Claude PROTHIÈRE 05/1888 - 1891 Élu - Pharmacien  
Jean-Baptiste SIVELLE 02/1891 - 1892 Élu  
Henri CHAMPIER 05/1892 - 1892 Élu  
Étienne THOMASSIN 05/1892 - 1896 Élu  
Frédéric BEDIN 05/1896 - 1900 Élu  
Étienne THOMASSIN 05/1900 - 1905 Élu  
Jean-Marie FOUILLAT 12/1905 - 1908 Élu  
Joseph DENONFOUX 05/1908 - 1908 Élu - Hôtelier.  
Antoine AUCOURT 10/1908 - 1912 Élu  
Jules BONNASSIEUX 05/1912 - 1925 Élu - Industriel - Mobilisé en 1914, c'est son adjoint François CHANAUD qui fait fonction de maire.  
Jean-Marie FROGET 02/1925 - 1927 Élu - Industriel.  
Jean DULCK 02/1927 - 1929 Élu - Journaliste.  
Jean-Marie FROGET 05/1929 - 1942 Industriel - Élection en 1929 et 1936 ; nommé en 1941.  
Émile THIVEL 01/1942 - 1944 Industriel.  
Maurice BONNET 09/1944 - 1945 Nommé et élection en 1945. Médecin.  
Joseph RIVIÈRE 10/1947 - 1971 Né le 06/12/1914 à Montagny (Loire), décédé le 03/10/1984 à Tarare. Élu - Agent d'assurances. Conseiller général du canton de Tarare (1945-1982), député (1958-1967 et 1968-1973)[10].  
Georges VINSON 03/1971 - 1982 Né le 11/02/1930 à Oujda (Maroc), décédé le 19/02/2013 à Suresnes (Hauts-de-Seine). Médecin généraliste. Député (1967-1968)[11], ambassadeur.  
André BÉAL 1982 - 1983 Né le 25/11/1935 à Pontcharra-sur-Turdine (Rhône), décédé le 28/01/2023 à Gleizé (Rhône). Instituteur.  
Jean BESSON 1983 - 1994 Né le 15/08/1938 à Ollioules (Var), décédé le 15 septembre 2017 à Lyon (Rhône). Industriel. Député (1986-2003)[12].  
Robert LAMY 1994 - 2008 Né le 30/07/1941 à Tarare. Député (1997-2007)[13].  
Thomas CHADOEUF-HOEBEKE 2008 - 2014 Né le 25/08/1976. Condamné en appel en novembre 2017 pour délit de favoritisme par la cour d'appel de Lyon.  
Bruno PEYLACHON 2014 - (2026) Né le 09/01/1964. Expert comptable, conseiller départemental du canton de Tarare (2015-).  
- -  

Cf. Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Curés de Saint-André
Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Étienne MARTIN 1484 -  
Barthélemy de la MOLIÈRE 1518 -  
Jean VALLET 1525 -  
Jean MARTIN - Curé vers 1530  
Pierre de la MOLIÈRE 1546 -  
Benoît JOHANNARD 1554 -  
Odile TAVERNIER 1575 -  
Pierre MAGIN 1595 -  
Jean GOURDIAT 1606 -  
Claude GOURDIAT 1626 - 1638  
Claude DESPLASSES 1640 -  
Jean DESPLASSES 1676 -  
Pierre VALFORT 1755 - Source[14]  
Étienne MIGNERY 1758 -  
Claude PASSINGES 1785 - 1789  
- - Curé constitutionnel  
Claude BARDET Février 1803 -  
Jean Marie DEMENTHON Août 1803 -  
Simon CATTET Septembre 1820 - Source[15]  
Mathieu MENAÏDE Septembre 1823 - Source[15]  
Benoît GIRAUD Février 1835 - Né en 1789. - Source[15]  
Jean Pierre JUNIER Novembre 1863 - Ex curé de Saint-Laurent-de-Chamousset - Source[15]  
Antoine LESCURE Juillet 1878 - Source[15]  
Gabriel Bienvenue Didier Achille PUTOD Octobre 1881 - 1891 Puis curé à Saint-Étienne (Loire).  
Pierre Marie DUPUY Avril 1891 - Ex curé du Perreux (Loire).  
Pierre Louis GLATARD Janvier 1896 - 1919 (1842-1919) - Ex curé de Bellegarde (Loire).  
Pierre MEUNIER 1919 - Né en 1866, décédé en 1941. - Encore chanoine en 1933  
- -  
- -  
DÉAL - Curé archiprêtre en 1948.  
- -  
Curés de Sainte-Madeleine
Prénom(s) NOM Période Observations
Jean Antoine GILLIBERT Septembre 1820 - Curé fondateur de la paroisse[16]  
Jean Pierre BRUT Octobre 1831 -  
Pierre Jérôme NIVET Décembre 1833 -  
Pierre BÉNIERE Juin 1841 - 1846 Puis curé de Charnay  
Marcellin Jean RULLIÈRE Novembre 1846 - 1881 Inhumé dans l'église  
Christophe Nizier FAURE Mai 1881 -  
Pierre NUGUE Avril 1886 - 1896 Né en 1841, décédé en 1920. - Puis curé de la Primatiale.  
Joseph RAJAT Octobre 1896 - 1902 Né en 1840, décédé en 1902. - Ex curé de Saint-Julien-Molin-Molette.  
Jean Pierre Faustin THÉVENONT 1902 - 1912 Né en 1847, décédé le 21/04/1912. - Ex curé de Saint-Marcel-de-Félines (Loire)[17]  
Louis BERTHIER 1912 - 1937 Né en 1864, décédé en 1937. - Curé en 1928  
- -  
- -  

Ville de naissance de.jpg Ville de naissance ou de décès de

Naissances :

Buste de Georges SIMONET


  • Georges Antoine SIMONET, né le 28 novembre 1710, décédé à Charbonnières le 14 août 1778, introduit la fabrication de la Mousseline dans sa ville. C'est le début de l'industrie textile dans la commune. Georges Antoine était le fils de Jean-Marie SIMONET toilier à Tarare et de Marianne CERTAIN, fille d'un chirurgien de cette même ville. SIMONET se marie le 9 décembre 1749 à l'église Saint-Nizier de Lyon avec Jeanne Nicole DUBOIS (fille d'un marchand). Le couple a un enfant Jeanne-Gabrielle "Victoire" SIMONET en 1764.

En novembre 1846, le conseil municipal décide de l'érection d'un monument à la mémoire de Georges Antoine SIMONET. Il faut attendre 1893 pour qu'une statue en bronze représentant Georges Antoine SIMONET soit érigée place Denave. Ce monument a été déposé en 1942 pour récupérer le bronze. Depuis 1990, il est remplacé par une statue en marbre, sur la même place devenue entre-temps place Georges Antoine Simonet.

Buste d'Eugène PROTHIÈRE



  • Eugène PROTHIÈRE, fils du maire et pharmacien de Tarare Jean-Claude PROTHIÈRE, pharmacien lui-même, il est connu pour ses découvertes contre les gaz asphyxiants pendant la Première Guerre mondiale. Né en 1864 à Tarare et décédé à Lyon en 1925. Il fut le fondateur de la "Société des Sciences naturelles et d'enseignement populaire" de Tarare. Chevalier de la Légion d'honneur[18] [19].
  • Pierre-Marie CÔTE dit « Hippolyte » né en 1812, décédé en 1889, historien de la ville laissant trois écrits sur l'histoire de la commune dont il a élaboré les armoiries de la ville en 1865.
François Eugène CAPTIER



  • François Eugène CAPTIER (Louis-Raphaël CAPTIER en religion), né le 8 octobre 1829, fusillé avenue d'Italie à Paris le 25 mai 1871 pendant la Commune, lors du massacre des Dominicains d'Arcueil. Fils d'un notaire, il fit une partie de ses études au collège Saint-Thomas-d'Aquin à Oullins. Il fut ordonné en 1856 par Monseigneur JERPHANION à Albi[20].

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Le monument aux morts Photo J-P GALICHON



Pictos recherche.png Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le monument aux morts ...


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Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h * -
Après-midi 14 h - 17 h 14 h - 17 h 14 h - 17 h 14 h - 17 h 14 h - 17 h - -
69243 - Tarare Hôtel de Ville.jpg

Mairie
Adresse : 2, place de l'Hôtel-de-Ville - 69170 TARARE

Tél : 04 74 05 49 29 - Fax : 04 74 05 09 08

Courriel : Contact

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Commentaire : * Accueil ouvert le samedi matin uniquement pour l'état civil et fermé les samedis au mois d'août.

Source : L'annuaire Service Public (Août 2023)

Associations d'histoire locale

  • Société d'Histoire et d'Archéologie des monts de Tarare

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Référence.png Notes et références

  1. Monseigneur Jean VILLOT
  2. Petit-Anjou
  3. Statue saint Augustin : Fiche Base Palissy
  4. Statue de saint Augustin : Base Mémoire
  5. Chapelles des communes du Rhône. Préinventaire des Monuments Historiques et richesses Artistiques du Rhône
  6. Ancienne manufacture de moulinage J.-B. Martin : Fiche Base Mérimée
  7. Maison dite ancien prieuré : Fiche Base Mérimée
  8. La Turdine Sandre eau
  9. Jean-Baptiste MARTIN-GUBIAN : La Légion d'honneur Beaujolaise
  10. Joseph RIVIÈRE : Assemblée Nationale - Fiche
  11. Georges VINSON : Assemblée Nationale - Fiche
  12. Jean BESSON : Assemblée Nationale - Fiche
  13. Robert LAMY : Assemblée Nationale - Fiche
  14. Les paroisses du diocèse de Lyon
  15. 15,0 15,1 15,2 15,3 et 15,4 Les paroisses du diocèse de Lyon par l'abbé VACHET - Page 714
  16. Les paroisses du diocèse de Lyon
  17. Semaine religieuse du diocèse de Lyon
  18. Eugène PROTHIÈRE : Dossier Léonore Légion d'honneur
  19. Eugène Marius François PROTHIÈRE La légion d'honneur Beaujolaise
  20. Collège Saint-Thomas d'Aquin



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