69089 - Francheville

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Francheville
Blason deFrancheville
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 69 - Blason - Rhône.png    Rhône
Métropole Blason Lyon-69123.png   69 M   Métropole de Lyon
Canton Blason Tassin-la-Demi-Lune-69244.png   69-51   Tassin-la-Demi-Lune (Ancien canton)
Code INSEE 69089
Code postal 69340
Population 14 656 habitants (2018)
Nom des habitants Les Franchevillois (es)
Superficie 818 hectares
Densité 1791.69 hab./km²
Altitude Mini: 181 m
Point culminant 312 m (Bruissin)
Coordonnées
géographiques
45.737222° / 4.764167° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
69089 - Francheville carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

Le nom provient d’un village affranchi des droits féodaux au moyen âge.

La première mention écrite de Francheville date de 1170 dans une charte du pape Alexandre III où il est fait état d’un terrain situé sur la paroisse de « Libéra-Villa ».

Vers 1214 , Francheville apparaît sous le nom de « Franca Villa ».

Paroisse et seigneurie du Lyonnais. Le château du Colombier fut transformé en maladrerie au XVIIe siècle.

Héraldique

69089 - Francheville Blason.jpg

Le C.M. présidé par M. CARREL le 24 août 1946 adopte le principe de créer un blason identifiant la commune.
Sa forme actuelle a été définitivement adoptée sous le mandat du docteur Gabriel RICHARD .
Symbolique :
Les Amphores et le donjon symbolisent l'art ancien du potier et l'ancien château dont les ruines dominent l'Yzeron.
Les trois amphores rappellent les trois fusées du blason des RUOLZ (Anciens propriétaires du château)
Définition :
De gueules à la tour ouverte , adextrée d'un avant mur sur son mont, le tout d'or au chef d'azur chargé de trois amphores aussi d'or.


Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Rhône
  • Arrondissement - 1801-2024 : Lyon
  • Canton - 1801-1985 : Vaugneray ---> 1985-2015 : Tassin-la-Demi-Lune --> 2015-2024 : Métropole
  • Commune - 1801-2024 : Francheville

Résumé chronologique :

  • 1801-1985 : Cton de Vaugneray, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
  • 1985-... : Cton de Tassin-la-Demi-Lune, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Église Saint Roch

Adoration des Bergers - Photo J-P GALICHON
Pierre de PASCASIUS - Photo J-P GALICHON


Église située à Francheville-le-Haut possédant un chœur roman semblant dater du XIe ou XIIe siècle compte tenu de son architecture (Voûte d’arête prenant naissance sur des arcs de décharge) .

Le nom de Saint Roch n’apparaît que tardivement lors de la bénédiction de l'agrandissement du 20 novembre 1689.

Dates pour la construction

  • La première mention de l'église date de 1228 "ECCLESIA DE FRANCAVILLA", elle devait être proche de l'église actuelle.
  • 1456, l'église paroissiale est indiquée dans le terrier du chapitre de saint JUST. Elle est constituée du chœur et de la sacristie actuelle. Elle est orientée à l'Est. Elle possède une nef rectangulaire voûtée d'arêtes et un chœur rectangulaire.
  • 1653, construction d'une chapelle privée pour le sieur COLOMBIER.
  • 1689, l'église ancienne ne permet pas de recevoir tous les paroissiens, réalisation d'un agrandissement par le sud, ce qui change l'orientation de l'église qui devient Nord-Sud. La nef de l'ancienne église devient le chœur. Le cardinal Camille de NEUVILLE de VILLEROY consacre la nouvelle église.
  • 1842 la nécessité d'agrandir l'église est reconnue par le conseil municipal le 10 mai.
  • 1846, le conseil de fabrique réunit les fonds nécessaires à l'agrandissement, le conseil municipal cède un terrain acheté en 1837 au sieur François Marie Xavier RUOLZ.
  • 1847, les dimensions de la nef deviennent 23,8 m par 9,8 m et celle du chœur 8,8 m par 4,95 m. Toutes les toitures sont surélevées. La surface disponible est ainsi doublée.
  • 1860, le conseil de fabrique considère que le clocher n'est plus suffisamment solide et trop petit et trop bas pour l'église actuelle.
  • 1861, adjudication des travaux de reconstruction du clocher.
  • 1862, démolition de l'ancien clocher et construction du nouveau possédant une hauteur de 32 mètres.
  • 1965 à 1967 restauration du chœur. Au cours de ces travaux une colonne a été découverte. Celle ci sera utilisée pour un support d'ambon.
  • 2006, restauration de la nef.

Patrimoine de l'église

Le clocher abrite cinq cloches, toutes sont du fondeur lyonnais BURDIN.

  • La plus petite datée de 1861 a un diamètre de 70 cm une hauteur de 70, pèse 225 kg et délivre un Do#.
  • La seconde datée de 1861 a un diamètre de 76 cm, une hauteur de 60, pèse 300 kg et délivre le Si.
  • La troisième a un diamètre de 83 cm, une hauteur de 67, pèse 380 kg et délivre le La#.
  • La quatrième a un diamètre de 94 cm, une hauteur de 74 cm, pèse 500 kg et délivre le Sol#.
  • La cinquième a un diamètre de 107 cm, une hauteur de 86 cm, pèse 760 kg et délivre le Mi. Elle est le don du comte Léopold de RUOLZ.

Toutes les cloches ont été bénies par le cardinal Mgr de BONALD.

Pierre de PASCASIUS:
Épitaphe daté de 540 environ. Découverte en 1915 lors de la construction de la cure actuelle. Elle est encastrée sur un pilier près du chœur.
Dans ce tombeau repose Pascasius, de bonne mémoire qui vécut dans la paix cinquante (?) ans et deux mois. Il mourut le huitième jour des calendes de novembre sous le consulat du très illustre Justinus.

Tabernacle renaissance:
Le tabernacle est une pierre sculptée monolithe de 1,25 m de haut et 0,50 m de large, il porte la date de 1530. Vraisemblablement enfoui à l'époque révolutionnaire, il a été redécouvert en 1830. Il aurait été offert par le notaire royal Hugo VIDILLI à l'occasion de son mariage avec Catherine CROPET de VARISSAN. À la base du tabernacle, deux pieds portent chacun un monogramme surmonté d'une statue. Sous la statue de saint Pierre avec sa clé apparait le monogramme de Hugo VIDILLI et sous saint Paul portant l'épée le monogramme de Hugo VIDILLI et de Catherine CROPET de VARISSAN. L'espace entre les deux statues est occupé par une niche surmontée d'un angelot.
Le tabernacle est classé aux monuments historiques au titre objet de le 11 juillet 1978[1].

Adoration des Bergers : Attribué parfois à l'atelier du CORRÈGE, il est en réalité une copie datée du XVIIIe du tableau de Carle VAN LOO (1705-1765). L'original est visible au musée de Chartres (28). Une autre copie est visible au musée de Cormeilles-en-Parisis (95). Le tableau est classé aux monuments historiques au titre d'objet depuis le 11 juillet 1978[2].

Les vitraux:
Les huit vitraux des baies de la nef présentent des motifs géométriques, ils datent probablement du XIXe et ne sont pas signés. Ils ont été restaurés en 1987 par Mme Françoise GORMAND-DUVAL.
La rosace au dessus de la tribune de l'orgue mesure deux mètres de diamètre, elle est en "grisaille".
Seul un vitrail en grisaille éclaire le Chœur.
En 2018, un vitrail (Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu il le créa. Il les créa homme et femme) réalisé par Mme Françoise GORMAND-DUVAL a été installé dans la sacristie. Celui ci a été inauguré le 30 juillet.

Horloge:
Le conseil municipal réuni le 10 février 1878, décide de confier à Messieurs Léon BAILLY et SALIN frère l'installation dans le clocher d'une horloge à quatre cadrans. Celle-ci est financée par une souscription auprès du public et par une partie inscrite au budget communal.

Orgue:
C'est le curé GABERT qui fit réaliser par les établissements RUCHE de Lyon cet instrument. Celui-ci a été mis en place en 1942. L'orgue a été relevé en 1971 et en 1996.

Source: Fiches patrimoine sur le site

Voir l'extrait de l'étude réalisée par l'association "Le patrimoine de Francheville" : Fichier PDF

Église Saint Maurice du Chater


Église située à Francheville le Bas.
Jusqu'au milieu du XIXe siecle, il n'y avait pas d'église à Francheville le Bas.
Un lieu de culte était souhaité.
Le maire Ernest REYRE parvint à constituer une société de souscripteurs pour construire une église plus spacieuse que la chapelle provisoire édifiée sur le terrain de 1650 m2 que le sieur PHÉLYPEAUX avait conservé.
Le projet se heurta à de nombreuses difficultés administratives dont le refus de la commune pour la création d'une "section".
Une première souscription est lancée, puis une seconde en 1865. Enfin, un curé est nommé en 1868 mais aux frais des habitants.
L'église enfin autorisée, elle est consacrée le 18 janvier 1868 par Mgr De BONALD.
Ernest REYRE assuma le coût des nefs latérales en 1891 et du clocher en 1894.

Le clocher est équipé de 3 cloches :

  • La plus grosse 460 kg pour un diamètre de 87 cm délivrant le "La" datée de 1896, fondue par BURDIN Ainé de Lyon, don de la famille Escoffier.
  • La moyenne 225 kg pour un diamètre de 72 cm délivrant le "Do #" datée de 1897, fondue par BURDIN Ainé de Lyon.
  • La plus petite 160 kg pour un diamètre de 64 cm délivrant le "Ré #" datée de 1868, fondue par GULLIET et Fils de Lyon, don du curé COLASSOT.

L'église a été restaurée à plusieurs reprises.
Parmi ces restaurations on peut citer les travaux les plus significatifs réalisés au début des années 1970 et 1996.
Dans les années 1970, et à la suite du concile Vatican II, l'église fût restaurée suivant en cela les recommandations du Concile. Il fallut attendre 1996, sous la direction de M. Bidault, pour voir s'engager quelques travaux d'entretien : éclairage, toiture, ferronnerie de l'autel, changement des vitraux du chœur, installation d'une sonorisation financée par les fidèles.
Il subsiste de nombreux vitraux d'origine (Nef), certains (Chœur, vitrail au dessus du portail et transept) ayant été remplacés par des vitraux en verre éclaté de René-Maria BURLET (1907-1994), fondateur de l'Académie du Minotaure.
C'est à Georges RÉVILLON, artisan franchevillois, que l'on doit une partie du mobilier. Il a créé les fonts baptismaux, en acier doublé de cuivre martelé, la croix, des candélabres et le tabernacle (avec un poisson stylisé sur la porte et une serrure à trois points).
Source[7]



Chapelle de Bel Air


Chapelle située chemin de la chapelle de bel air.
Le 3 avril 1958 Marie Jean Olivier Léon Boisson de Chazournes cède à l’Association Diocésaine de Lyon un petit tènement d’immeubles situé à Francheville (Rhône), par un acte notarié. Mgr DUPUY, au nom de l’Association Diocésaine prend l’engagement de conserver en nature le tènement d’immeubles ainsi donnés et de l’affecter en totalité à la création d’un centre du Culte Catholique.
Année de construction 1960.
La chapelle de Bel-Air a été démolie en octobre 2018. A la place a été construit un béguinage. L’immeuble construit comporte une chapelle de 90 m2 qui sert au béguinage et à la paroisse sous le vocable de Saint Damien.

Logo internet.png Site en ligne : Pour en savoir plus....


Chapelle des trois oranges

Chapelle des trois oranges - Photo J-P GALICHON


Située sur le parking des 3 oranges dans le quartier du Châter. Elle date du XVIIe ou XVIIIe siècle.
En 1786, elle faisait partie du domaine appartenant à Lucie JOMARD, veuve de Bernard CORRÈZE[8].
L'ensemble de la propriété à laquelle appartenait la chapelle a été acquise par la communauté urbaine de Lyon pour en faire un parking dans les années 1980/90. La chapelle a été préservée et elle est la propriété de la commune.
Elle doit son nom aux élèves de l'école située à proximité.
Chapelle carrée, coiffée d'un toit à quatre pans. L'arc cintré de la porte est orné d'un entablement mouluré et surmonté d'une niche en plein cintre.

Séminaire de Philosophie - Domaine Saint-Joseph

Séminaire de Francheville - Photo J-P GALICHON
Séminaire de Francheville vu de Francheville - Photo J-P GALICHON



Construit de 1926 à 1928 et financé par souscription diocésaine, le séminaire Saint-Joseph avait comme vocation première de seconder son voisin, le séminaire Saint-Irénée situé sur la commune de Sainte-Foy-lès-Lyon, dans l'accueil des séminaristes.
Le séminaire est destiné à recevoir les séminaristes durant les deux premières années de formation.
Les bâtiments ont été conçus par l'architecte BOURBON. Leur construction tout en béton jusqu'à la charpente, était innovante même si la forme architecturale avec un cloître rappelle la tradition monastique [9]. Face à la crise des vocations, le cardinal Renard, alors archevêque de Lyon, décide d'une nouvelle orientation. Le séminaire devient maison Saint-Joseph, le site accueille dès 1971 les retraites spirituelles, les rencontres des mouvements d'Église mais aussi Les réunions syndicales et les premières formations professionnelles. En 2006, le cardinal Barbarin décide de réhabiliter la maison Saint-Joseph en l'ouvrant aux séjours et aux séminaires.
L'ancien séminaire possède toujours une chapelle.

Fort du Bruissin

Poste de garde - Photo J-P GALICHON


Le fort du Bruissin est un fort militaire construit à Francheville de 1878 à 1881 sur un terrain de 170 ha acquis en 1878, au point culminant de la commune. Il est l'un des maillons de la deuxième ceinture de Lyon et, plus globalement, du système du général SÉRÉ de RIVIERES. La commune se rend propriétaire du fort pour 425 000 Fr en 1979 avec une superficie de 10,3 ha de terrain. Il a été réhabilité pour devenir un centre d'art contemporain.
Le fossé, contrairement aux douves n'était pas rempli d'eau. Il a une profondeur de 6 mètres pour une largeur de 14 et une longueur totale de 1000 mètres environ.
Le poste de garde s'élevait sur trois niveaux.
Au sous sol, une prison, une salle de police et une chambre de manœuvre du pont à bascule abritant les contrepoids.
Au rez-de-chaussée, une salle de garde et une salle de commandement avec le poste télégraphique.
À l'étage le poste de commandement du fort.
Le poste de garde était à l'origine recouvert d'une butte de terre.


Chapelle disparue

  • Chapelle Saint-Priest. La tradition veut que la chapelle ait occupé un bâtiment en contre-bas de l'ancien pont.
  • Chapelle de La Salette réalisée par l'architecte Georges EGHOROW. 53 chemin des Hermières - Démolie pour laisser place à un projet immobilier.

Le Châtelard

Carte postale


En 1749, Charles-Joseph de RUOLZ achète aux chanoines de Lyon, la seigneurie de Francheville. Le domaine va rester dans la famille jusqu’en 1907. Le châtelard a servi d'hôpital pour les blessés ou malades durant la Première Guerre mondiale (Serbes en particulier). Il est actuellement géré par les Jésuites pour des séminaires, formations, retraites etc.

Vestiges du Château


Ancien château fort, fondé au XIIe siècle[10]. Seule la moitié orientale reste visible, les travaux de génie civil du XIXe ayant fait disparaître l'autre partie.
L'archevêque de Lyon Renaud de Forez fonde le Vieux Château à l'orée du XIIIe siècle entre 1175 et 1203 ; le fief est tenu par un châtelain nommé par les archevêques ; le mandement du château s'étend jusqu'à Oullins et Saint-Genis-Laval.
Depuis 2005, les restes du château sont une propriété communale.


Les ruines du château font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 12 juillet 1982[11].

Autres patrimoines

  • Ce pont a remplacé au XVIe siècle un pont en bois. Il constituait la seule voie pour relier le haut et le bas de Francheville jusqu’en 1886 date de l’inauguration du Pont Neuf.
  • Construit au début du XVIIe siècle, par Antoine Richard, maître d’hôtel du cardinal Alphonse de Richelieu, frère du ministre de Louis XIII. Les colombiers étaient alors un privilège réservé à la

noblesse.

  • Le grand moulin: situé à la limite de la commune de Francheville, daté du XVIIe siècle, il est plus en amont que le Moulin du Gôt. Propriété actuelle du département, il a constitué jusqu’en 2012 un centre de soins pour les oiseaux.

Repère géographique.png Repères géographiques

Quatre quartiers distincts composent la commune de Francheville :

- Le Haut,
- Le Bas,
- Bel-Air,
- Alaï

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 786 626 776 977 1 103 1 237 1 385 1 551 1 528 1 697
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 1 843 1 707 1 858 1 874 2 005 2 143 2 092 1 912 2 018 2 003
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 1 918 1 944 2 237 2 805 2 659 3 077 3 527 4 064 4 932 8 099
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 9 500 10 863 11 324 11 667 12 980 14 278 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Photos

Cartes postales

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
DECOURT 1793 - 1794  
Mathieu ARNAUD-TIZON 1795 - 1796  
ROLACHON 1797 - 1797  
ARNAUD-TIZON 1797 - 1808  
François Xavier de RUOLZ 1808 - 1829  
Jean-Marie BOUCHARD-JAMBON 1829 - 1840  
Louis Paul PAULLIAN 1840 - 1842  
CHARAVAY 1842 - 1843  
DERVIEU 1843 - 1855  
BOUCHARD 1855 - 1857  
BONNARD 1857 - 1859  
CHARAVAY 1859 - 1871  
Théodore COTE 1871 - 1878  
Guillaume VAUTHERIN 1878 - 1881  
Pétrus FRAPPA 1881 - 1892  
Ernest REYRE 1892 - 1909  
JARICOT 1909 - 1912  
Pétrus BERNARD 1912 - 1919  
LAPINE 1919 - 1925  
FERLAY 1925 - 1927  
CARTERON 1927 - 1929  
CARREL 1929 - 1952  
Gabriel RICHARD 1952 - 1965 Docteur  
Claude VACHERON 1955 - 1977 Docteur  
Jean-Charles MALLEN 1977 - 1989  
René LAMBERT 1989 - 2014 Réélu en 1995 , 2001 ; 2008  
Michel RANTONNET 2014 - (2026)  
- -  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
Jean RICHARD 1991 - 2010  
Pierre LATHUILIERE -  
- -  

Les curés de Saint Roch

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Benoît THEULION 25 avril 1607 - Source[12]  
Antoine PERRIN 22 avril 1608 - Source[12]  
Jacques PHILY - Source[12]  
Antoine BOUCHETAL 16 mai 1645 - Source[12]  
Mathieu DANCEPS ou DANCEY 22 juin 1648 - Source[12]  
Bonaventure BAUDRAN 4 juin 1657 - Chanoine de Saint Just [12]  
Pierre HODIN - Source[12]  
Philibert GRIFFON 22 février 1663 - Source[12]  
Catherin VIALON 15 mai 1675 - Source[12]  
Jean Baptiste RAMEY 1 juin 1693 - Source[12]  
Antoine CHARBONNIER 26 juin 1700 - Source[12]  
Nicolas BOSSU - Source[12]  
Antoine COGNET 12 mars 1734 - Curé en 1742 ou COQUIET  
Joseph Aimé BERTIN 11 septembre 1742 - 1791 Source[12]  
MATHONNET 1791 - ? Curé Constitutionnel jusqu'en 1797 au moins  
Jean Baptiste Arnaud TISON Février 1803 - 1824 Curé constitutionnel - Source[13]  
Etienne MEGRET Mai 1824 - 1831 Source[13]  
Pierre Antoine BERTHIER Février 1832 - 1879 Source[13]  
Jean Baptiste BESSON Octobre 1879 - 1913 Source[13]  
LAURENT 1913 -  
Jean LIMONE 1918 - 1924 Puis aumônier de l'hôtel Dieu  
Jules BONNET 1924 - 1942 ( ? - 1942) - Ex curé de Chevinay  
GABERT 1942 - 1947 (?-1947)  
BOUCHARD 1947 - 1962 ( ? - 1992)  
TISSIER 1962 - 1969 (? - 2000)  
Joseph ADNET 1969 - 1991 (? - 2000)  
- -  

Les curés de Saint Maurice du Châter

Prénom(s) NOM Période Observations
Louis COLASSOT 1868 - 1903 (1824 - 1903) - Curé fondateur  
Jean Étienne PIQUET 1903 - Curé en 1907 - Curé auxiliaire puis curé  
Antoine NALON 1914 - 1927 Puis chapelain de Notre-Dame de Fourvière - Ex aumônier de l'Orphelinat Saint-Vincent-de-Paul à Oullins  
Bruno HERGUEZ 1927 - 1946 Ex curé d'Ampuis  
GULDEN 1946 - 1951  
GRAND 1952 - 1956  
CONDAMIN 1956 - 1969  
Géraud BOULANGER 1969 - 1981  
- -  

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts


Pictos recherche.png Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le Monument aux Morts ...


Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin de 8h30 à 12h30 de 8h30 à 12h30 de 8h30 à 12h30 de 8h30 à 12h30 de 8h30 à 12h30 de 9h00 à 12h00 -
Après-midi 13H45 à 17H00 13H45 à 17H00 13H45 à 17H00 13H45 à 17H00 13H45 à 17H00 - -
69089 - Francheville Hôtel de Ville.jpg

Hôtel de ville
Adresse : 1 rue Robert - 69340 FRANCHEVILLE

Tél : 04 78 59 02 66 - Fax : 04 72 32 93 17

Courriel : Contact

Site internet :

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : Site (02/2014)

Associations d'histoire locale

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  • Francheville, un patrimoine par l'Association « Le patrimoine de Francheville » - ISBN : 978-2-7466-4260-7


Voir aussi.png Voir aussi (sur Geneawiki)

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