54528 - Toul

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Toul
Blason Toul-54528.png
Croix de guerre 1914-1918
Croix de guerre 1914-1918
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 54 - Blason - Meurthe-et-Moselle.png    Meurthe-et-Moselle
Métropole -
Canton Blason Toul-54528.png   54-20   Toul

Anciens cantons :
Blason Toul-54528.png   54-27   Toul-Nord
Blason Toul-54528.png   54-28   Toul-Sud

Code INSEE 54528
Code postal 54200
Population 15 849 habitants (2021)
Nom des habitants Toulois, Touloises
Superficie 3 059 hectares
Densité 518.11 hab./km²
Altitude Mini : 200 m
Point culminant 400 m
Coordonnées
géographiques
48.675° / 5.891666° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

  • La cité originelle prend forme durant l'époque romaine, et Toul devient la capitale des Leuques. Les activités agricoles, viticoles et commerciales se développent et la christianisation démarre au IVe siècle.
  • Lors des invasions, malgré des premiers remparts, la cité est détruite par Attila en 451 ou 456. Après reconstruction, « Toul devint un pôle religieux et intellectuel »[1].
  • Quand l'Empire est divisé en trois par le traité de Verdun, Toul se retrouve en Lotharingie, entre France et Empire, et devient l'objet de convoitises et de rivalités. Par ailleurs, la bourgeoisie cherche à s'affranchir de la tutelle des évêques, et les querelles vont se succéder sur plus d'un siècle, avec révoltes et destructions. À cela se rajoutent peste et famine.
  • En 1366, suite à une bulle d'or de Charles IV, la cité est désormais une ville libre d'Empire. Mais les tensions et difficultés s'amplifient au siècle suivant.
  • Le 15 janvier 1552, le traité de Chambord donne au roi Henri II « le titre de vicaire de Cambrai, Toul, Metz et Verdun »[2]. Le roi fait alors le tour de ses possessions austrasiennes et laisse une garnison à Toul.
Plan des fortifications
  • Quand le traité de Westphalie de 1648 constitue la province des trois évêchés, la cité touloise est dotée d'un gouverneur. Commencent alors des jours meilleurs et la ville s'entoure de fortifications suivant les plans de VAUBAN. Le XVIIIe siècle voit la ville s'agrandir et prospérer avec des chantiers comme celui du palais épiscopal.
  • La Révolution bouleverse tout : plus de province mais un département, plus d'évêché, le palais épiscopal est transformé en lieu d'administration. Et le 26 janvier 1794, toute la statuaire de la cathédrales est démolie.
  • En 1814 l'empereur est en déroute et les Prussiens prennent d'assaut la place de Toul : le commandant Chaudon se voit contraint de capituler. Le milieu du XIXe siècle est plus calme et laisse libre cours à l'arrivée du chemin de fer et à la construction du canal de la Marne au Rhin.
  • 1870 : Nouveau siège, encore plus dur. Le commandant Huck se résout lui aussi à se rendre. Quand la France décide de se protéger, en 1874 en construisant la ligne Séré de Rivières, Toul devient un camp retranché, avec : « 12 forts, 16 ouvrages et 3 redoutes, 76 batteries armées de plus de 400 canons [...] plus de 42 000 militaires »[3].
  • La Première Guerre mondiale ne fait pas trop de dégâts. L'hôpital militaire Gama est géré par Jean Eugène Germain officier d'administration de l'hôpital militaire, chevalier de la Légion d'honneur.
  • Lors de la Seconde Guerre mondiale, le 227e R.I. secondé par la 58e D.I. livrent en juin 1940 une bataille acharnée de cinq jours qui retarde l'avancée allemande. Mais la ville est ravagée, et un incendie aggrave le tableau. Durant la guerre naissent des groupes de résistants dont un des objectifs est de saboter la ligne ferrée Paris - Strasbourg. La ville est libérée en août 1944.
  • Ensuite Toul connaîtra la reconstruction et une embellie de son économie, grâce aux Américains présents jusqu'en 1966.

Héraldique

Blason

« De gueules au tau d’or ».

Au Moyen-Âge, l'écusson actuel avec la lettre T était centré sur les armes des villes impériales, symbolisées par un aigle noir sur fond jaune.

Toponymie

Pendant la période romaine, Toul s'appelait « Tullum Leucorum ».
Mont Saint-Michel : beaucoup de collines aux pentes fortes portent ce nom.
Mont Barine : bar = (hauteur, colline).
Ferme de Sébastopol : elle se trouve derrière le mont Saint-Michel.

Histoire administrative

  • Département - 1801-1871 : Meurthe, 1871-2024 : Meurthe-et-Moselle
  • Arrondissement - 1801-1926 : Toul, 1926-1943  : Nancy, 1943-2024 : Toul
  • Canton - 1801-2015 : Toul-Nord et Toul-Sud, 2015-2024 : Toul

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :
  • Nom de la commune donné pendant la période révolutionnaire : Toul.

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Cathédrale Saint-Étienne

Vue globale. Photo Noirjean

Depuis sa forme originelle du IVe siècle jusqu'à l'édifice actuel, la cathédrale a connu bien des péripéties et a maintes fois été reconstruite, en gardant malgré tout une certaine homogénéité.
Une de ses particularités est sa façade occidentale, de style gothique flamboyant, dépourvue de tout sa statuaire depuis la Révolution.
L'édifice, classé, est accompagné d'un des plus grands cloîtres de la région Grand-Est.

Pictos recherche.png Article détaillé : Cathédrale Saint-Étienne


Collégiale Saint-Gengoult

Façade Sud. Photo B.ohland

Cette église, classée aux Monuments historiques[4], a été élevée à la fin du Xe siècle sous l'épiscopat de saint Gérard et placée sous le vocable de saint Gengoult, un religieux devenu martyr.

Façade avec portail et tour nord-ouest
  • Prise d'assaut lors du siège d'Eude de Champagne, elle est reconstruite vers 1065. Puis au milieu du XIIIe siècle, lorsque la construction de la cathédrale gothique est en cours, le chapitre de Saint-Gengoult décide également de rebâtir l'édifice dans ce style novateur. Après le chœur et trois travées, le chantier se poursuit au XIVe siècle par le transept et les autres travées de la nef. La tour nord-ouest, terminée en 1513, sert de logement à la ban-cloche municipale, chargée d'appeler les Toulois, et ce jusqu'à la Révolution.
  • Au début du XVIe siècle est rajouté un cloître entourant un jardin. Chaque galerie compte douze arcades avec des baies de style gothique flamboyant et des gâbles Renaissance.
  • À l'intérieur, certains éléments tels une porte de 1513, avec essai de perspective, sont attribués à Jean Pélerin, dit "Le Viator", auteur du « Traité de perspective »[5].
  • Les trois grands vitraux du chevet à cinq pans datent du XIIIe siècle et étaient, à l'époque, « les plus grands en Lorraine »[6].


Fortifications

  • Toul étant à l'origine située sur la "Via Agrippa" reliant Lyon à Trèves, une enceinte a été élevée dès l'époque romaine, agrandie par la suite, consolidée au Moyen Âge et rasée plus tard.
  • Elle est reconstruite au XVIIIe siècle suivant les plans de VAUBAN. Il opte pour une enceinte à neuf bastions et neuf fronts, percés de trois portes : la porte de Metz, la seule qui a réussi à conserver son élévation originelle, la porte Moselle, reconstruite en 1882 avec suppression du passage voûté, la porte de France, également reconstruite à cette époque. Le projet de VAUBAN prévoyait des demi-lunes pour protéger les tenailles : celle de 1725 subsiste encore, une autre a disparu ; mais le reste du projet n'a pas pu se concrétiser, faute de moyens.
  • Au XIXe siècle, le général Séré-de-Rivières[7] remanie l'enceinte et les portes pour les élargir, et complète l'ensemble par différents ouvrages : entrée et sortie des eaux avec herses et vannes, car elles faisaient partie du système défensif, poudrière, canonnière enjambant le canal Vauban, avec chambre de tir protégée par une voûte, et bien sûr casernes avec casemates et bâtiments de manutention. Il fait également construire des forts extérieurs à la ville, tel que celui de Villey-le-Sec, et Toul devient alors, de 1874 à 1914 « l'une des plus grandes places fortes du monde »[8].


Ancien palais épiscopal, devenu hôtel de ville

Porche latéral,
côté rue Qui-qu'en-grogne
Portail d'entrée,
côté rue de Rigny
  • À l'endroit d'une ancienne demeure médiévale, Monseigneur Bégon a fait bâtir au milieu du XVIIIe siècle ce palais épiscopal qui communiquait avec la cathédrale par une petite porte. La construction s'est achevée vingt ans plus tard, selon les plans de « Jean Antoine, architecte messin et Nicolas Pierson, frère prémontré »[9].
  • Lors de la Révolution, l'évêché n'existe plus et le bâtiment devient hôtel de ville. En décembre 1939, il est incendié. À partir de 1977, il est reconstruit en respectant fidèlement son allure du XVIIIe siècle.
  • Alors que la façade côté cour présente un fronton triangulaire (voir la photo en section "Informations pratiques"), la façade côté jardin présente un avant-corps en forme de semi-hexagone, couronné d'un dôme à huit facettes.
  • L'édifice est classé aux Monuments historiques[10].


Repère géographique.png Repères géographiques

Cette ville de Meurthe-et-Moselle est située au sud-ouest du département, à 25 km environ à l'ouest de Nancy, près des côtes de Meuse et de Moselle marquant la fin du bassin parisien.
C'est une particularité géographique qui a favorisé le développement de la cité touloise à cet endroit : la fameuse "capture" de la Moselle, coude où le fleuve change de direction[11]. Le lit vacant a alors formé un seuil favorisant les liaisons en tous sens.
Entourée par les collines de la côte Barine et la côte Saint-Michel, la ville de Toul est traversée par la Moselle, la Moselle canalisée, le canal de la Marne au Rhin et l'Ingressin.

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 8 015 6 940 6 973 7 535 7 507 7 333 7 037 7 158 7 271 8 191
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 7 687 - 6 930 10 085 10 012 10 459 12 138 12 201 12 287 13 663
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 15 884 12 363 11 951 12 656 13 267 9 389 12 134 14 155 14 780 16 454
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 17 406 17 281 16 945 16 617 16 002 15 707 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2021.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Charles-François BICQUILLEY 4/02/1790 - 13/11/1791 Né le 20/08/1738 à Toul. Capitaine de cavalerie, garde du Roi. Décédé le 20/10/1814 à Toul.  
Dominique JACOB 13/11/1791 - 9/12/1792  
- -  
Philippe GENNEVAUX 23/02/1794 - 7/05/1795  
- -  
Dominique-Étienne HOUILLON 11/05/1800 - 6/01/1814 Né le 2/01/1746. Avocat, lieutenant de police. Décédé le 24/11/1814.  
LE LIMONIER de LA MARCHE 5/04/1814 - 7/04/1815  
LE LIMONIER de LA MARCHE 9/08/1815 - 28/12/1815  
- -  
Jean-François CROISSANT 1829 - 1848 Né le 3/12/1775 à Remiremont. Député. Titulaire de la Légion d'honneur. Décédé le 18/12/1865 à Toul.  
DIDELOT 1848 - 1851  
François DROUARD 1851 - 1860  
Donat DESLOGES 1860 - 1871  
Édouard DELIGNY 1871 - 1881 Conseiller général du canton de Toul-Nord.  
Étienne MANGINOT 1881 - 1884 Conseiller général en 1883.  
Jules DOLLOT 1884 - 1886  
Étienne MANGINOT 1886 - 1894 Chevalier de la Légion d'honneur en 1889.  
- -  
Albert DENIS 1898 - 1914 Né le 12/01/1866 à Charmes. Avocat, historien. Député de 1911 à 1914. Décédé le 26/01/1931 à Meudon.  
- -  
Henri MILLER 1932-1944 -  
Pierre SCHMIDT 1945-1949 -  
Henri MILLER 1949-1953 Conseiller général  
Clément BAUE Mai 1953 - 1955  
Pierre SCHMIDT Janvier 1955 - 1971  
Jacques GOSSOT 1971 - 2001  
Nicole FEIDT 2001 - 2013 Démissionnaire  
Alde HARMAND 2013 - (2026)  
- - -  

Cf. : MairesGenWeb et : Portraits des anciens maires de Toul, musée de Toul

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Clément BAUÉ 1940 - 1941 Enregistré à Toul le 20/02/1940. Mobilisé le 14/02/1941.  
- -  

Les curés de la collégiale Saint-Gengoult

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Frédéric De MALDEMAIRE 1428 -
54528 - Toul Plaque Jeanne d'Arc.JPG
Doyen de Saint-Gengoult.
Il préside le procès matrimonial de Jeanne d'Arc en 1428.  
- -  
Joseph AUBRY  ? - juillet 1827 Né le 31 juillet 1758. Dernière nomination à Saint-Gengoult. Décédé le 27 juillet 1827.  
- -  
Jean BAGARD 1847 - 1859 Né le 1er février 1808 à Maizières-les-Toul. Ordonné en 1831. Chanoine honoraire en 1848. Décédé le 21 septembre 1859.  
Jean-Baptiste BOULANGER 30/10/1859 - 1859 Né le 13 mars 1820 à Clayeures. Ordonné le 6 juin 1846. Chanoine honoraire en 1858. Décédé le 20 novembre 1859 à Clayeures.  
Pierre PIERSON 23/02/1860 - 1875 ? Né le 26 septembre 1803 à Chambray. Ordonné le 5 juillet 1829. Chanoine honoraire en 1851. Décédé le 18 mars 1875.  
Adolphe BRIEY 18/05/1875 - 1900 ? Né le 20 juillet 1831 à Raville. Ordonné en 1856. Chanoine honoraire en 18812. Décédé le 18 avril 1900.  
Auguste Henri BOULANGER 13/10/1900 - 1928 ? Né le 19 septembre 1846 à Barisey-au-Plain. Ordonné en 1870. Chanoine honoraire en 1910. Décédé le 12 mars 1908.  
- -  

Les titulaires de la Légion d'honneur

Les Toulois sont 362 à être titulaires de la Légion d'honneur.

Médaille - Légion d'honneur.png
Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
- - -  
Laurent GOUVION de SAINT-CYR 13 avril 1764 17 mars 1830 Marquis, Pair de France, Maréchal. Grand Croix le 2 février 1805. Son dossier  
Charles Jean Baptiste LEGRAND 22 août 1809 décembre 1882 Chevalier de la Légion d'honneur en qualité de proviseur du lycée Saint-Louis.
Officier de la Légion d'honneur en qualité de proviseur du lycée Bonaparte.
Commandeur du Lion et du Soleil de Perse le 23/01/1866.  
Louis Jean Sylvestre MAJORELLE 26 septembre 1889 15 janvier 1926
Nancy
Fils de Joseph Constantin Auguste. Fabricant de meubles. Chevalier le 14 août 1900. Son dossier  
Étienne MANGINOT 4 mars 1823 février 1900 Maire et conseiller général. Chevalier le 23 septembre 1889. Son dossier  
Victor MERMET 25 mars 1891
Saulxures-les-Vannes (54)
15 janvier 1986
Toul
Cheminot résistant 39-45, investit dans la défense des œuvres sociales du chemin de fer, ancien combattant 14-18. En septembre 54 un décret daté du 2 le nomme chevalier de la Légion d’honneur avec attribution de la croix de guerre avec palme. Cette distinction est attribuée au titre du Ministère de la Défense.  
- - -  

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Le monument aux morts
Monument en l'honneur des Résistants 39-45


Pictos recherche.png Article détaillé : Toul - Morts aux guerres

Ville de naissance de.jpg Ville de naissance ou de décès de

Naissances :

  • Marcel BIGEARD, militaire, né et décédé à Toul les 14 février 1916 et 12 juin 2010. Prisonnier en 1940, il s'évade et rejoint Londres. Parachuté en Ariège, il intègre le maquis et libère Foix. Il dirige un régiment en Algérie. Il commande la région de Bordeaux en tant que général. Secrétaire d'État à la Défense. Député de Meurthe-et-Moselle.
  • Louis MAJORELLE, ébéniste né le 26 septembre 1859, décédé à Nancy (Meurthe-et-Moselle) le 15 janvier 1926. Il prend la suite de son père dans l'entreprise de décoration de meubles, et crée le "style Majorelle". Louis Majorelle est le père du célèbre artiste Jacques MAJORELLE, fondateur du jardin qui porte son nom.
  • Roger NICOLAS, humoriste né le 16 janvier 1919, décédé à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) le 17 août 1977.

Décès :

  • Jean PÈLERIN, dit Le Viator (le voyageur), né en Anjou vers 1440, fait des études de droit et sert la Maison d'Anjou avant d'entrer dans les ordres. Devient chanoine de Saint-Dié en 1478, de Nancy en 1484, puis de Toul en 1490. Voyage beaucoup, notamment à Rome où il rencontre Léonard de Vinci et Michel-Ange. Dessinateur, géographe et érudit, il écrit en 1505 le "Traité de perspective", ouvrage en latin avec 37 planches de bois gravées de schémas, qui sera à nouveau imprimé, à Toul, en 1509 et 1521. On lui doit aussi le plafond à caissons de la chapelle Saint-Forget dans la cathédrale touloise. Décédé à Toul en 1524.
  • Octave LAPIZE, coureur cycliste vainqueur du tour de France 1910, né à Montrouge (Hauts-de-Seine) le 24 octobre 1887, mort au combat à Toul le 14 juillet 1917.
  • Victorine BATAILLE, veuve de François, née à Toul en 1826. Bienfaitrice à l'origine de la première crèche. Reçoit la médaille d'argent pour son dévouement envers les enfants et leur protection. Femme de lettres et historienne. A publié des ouvrages sur Toul. Décédée à Toul en janvier 1890.

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h - -
Après-midi 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h - -
54528 - Toul Mairie.JPG

Mairie
Adresse : 13, rue de Rigny - BP 70319 - 54201 TOUL

Tél : 03 83 63 70 00 - Fax : 03 83 63 70 01

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Mai 2018)

Associations d'histoire locale

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  Toul
  Le canton de Toul-Sud
  La cathédrale de Toul
  Messire Charles-Adrien de Cholet et Messire Ignace de Cholet

  • Association le Pélican, Toul en Lorraine, Regensburg, Schnell und Steiner, 2011, 96 pages, ISBN 978-3-7954-2452-7
  • Jean-Louis JOLIN, Toul, la collégiale Saint-Gengoult, la cathédrale Saint-Étienne, Metz, Éditions Serpenoise, 2004, 112 pages, ISBN 2-87-692-617-2

Voir aussi.png Voir aussi (sur Geneawiki)

Logo internet.png Liens utiles (externes)

Référence.png Notes et références

  1. Page 6, in Association le Pélican, Toul en Lorraine, Regensburg, Schnell und Steiner, 2011, 96 pages, ISBN 978-3-7954-2452-7
  2. Page 8, in Association le Pélican, Toul en Lorraine, Regensburg, Schnell und Steiner, 2011, 96 pages, ISBN 978-3-7954-2452-7
  3. Page 13, in Association le Pélican, Toul en Lorraine, Regensburg, Schnell und Steiner, 2011, 96 pages, ISBN 978-3-7954-2452-7
  4. Base Mérimée
  5. Page 20, in Jean-Louis JOLIN, Toul, la collégiale Saint-Gengoult, la cathédrale Saint-Étienne, Metz, Éditions Serpenoise, 2004, 112 pages, ISBN 2-87-692-617-2
  6. Page, 22, in Jean-Louis JOLIN, Toul, la collégiale Saint-Gengoult, la cathédrale Saint-Étienne, Metz, Éditions Serpenoise, 2004, 112 pages, ISBN 2-87-692-617-2
  7. Raymond Adolphe Séré-de-Rivières, né le 20 mai 1815, décédé le 16 février 1895. Auteur d'un système de fortifications élevées après la guerre de 1870 dans l'Est de la France. Constitué par des rideaux défensifs de forts enterrés, autour des villes, ce système fait office de ceinture armée et remplace les traditionnels bastions de Vauban
  8. Dépliant Toul, itinéraire des fortifications, de Vauban à Séré-de-Rivière, office de tourisme de la ville
  9. Page 39, in Association le Pélican, Toul en Lorraine, Regensburg, Schnell und Steiner, 2011, 96 pages, ISBN 978-3-7954-2452-7
  10. Fiche Mérimée
  11. Alors qu'auparavant l'eau de la Moselle coulait vers le Nord en direction de la Meuse, la source d'un affluent reculant par érosion a détourné ses eaux vers la Meurthe.