39013 - Arbois

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Arbois
Blason Arbois-39013.png
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 39 - Blason - Jura.png    Jura
Métropole -
Canton Blason Arbois-39013.png   39-01   Arbois

Blason Arbois-39013.png   39-01   Arbois (Ancien canton)

Code INSEE 39013
Code postal 39600
Population 3 314 habitants (2018)
Nom des habitants Arboisiens, Arboisiennes
Superficie 4 542 hectares
Densité 72.96 hab./km²
Altitude Mini : 246 m
Point culminant 613 m
Coordonnées
géographiques
46.903611° / 5.774722° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
Fichier:39013 - Arbois carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

  • À l'époque romaine, la cité se trouvait sur la grande voie reliant Besançon (Doubs) à Lyon (Rhône) et sur un chemin vinetier menant vers la Suisse en passant par le Haut-Jura.
  • Le bourg devient à l'époque médiévale un important centre d'échanges commerciaux et connaît au XIe siècle une belle croissance démographique.
Château Bontemps
Photo B.ohland



  • Au XIIe siècle deux bâtisses importantes voient le jour : un prieuré de Bénédictins, fortifié, sur la rive gauche de la Cuisance, lieu de refuge pour certains villageois ; et sur la rive droite un château comtal, en pierre ocre, restauré au XIXe et appelé maintenant château Bontemps.
  • Le siècle suivant voit se construire une enceinte autour de la ville, englobant le château et l'église Saint-Just. Il en subsiste quelques éléments comme la tour Gloriette.
  • En 1479, lorsque Louis XI essaye de reconquérir le comté de Bourgogne, une bonne partie de la ville, des fortifications et du château est détruite.

  • Suite au siège de Louis XIV, en 1674, Arbois devient française.
  • Aux XVIIIe et XIXe siècles, le bourg connait un certain développement avec le quartier des tanneurs et des maisons vigneronnes typiques.
  • La ville arboisienne est fortement liée à Louis PASTEUR qui s'y installe avec sa famille en 1827, y poursuit ses années de collège, participe à la vie locale et associative, et surtout étudie et expérimente dans ses différents laboratoires et dans sa vigne "Le Clos des Rosières" à Montigny-lès-Arsures.


Coutume : le Biou d'Arbois

Le Biou
Vitrail, église Saint-Just
La grappe de Canaan
(Extrait d'un panneau d'information)


La coutume du Biou remonte au XVIe siècle et est à l'origine d'une fête annuelle, le jour de la Saint-Just, début septembre.
La scène n'est pas sans rappeler l'histoire de Moïse arrivant en Terre promise et envoyant douze éclaireurs explorer le site de Canaan, lesquels reviennent en portant de belles grappes de raisin et d'autres fruits trouvées dans la vallée d'Eshkol (= vallée de la Grappe).
Ici, à Arbois, les vignerons réservent leurs plus belles grappes et les rassemblent de façon à en faire une très grande, bicolore. Une procession traverse alors la ville pour amener la grappe géante à l'église, en signe d'offrande. Le prêtre la bénit et la suspend au-dessus de l'autel où elle demeure deux semaines.
Cette tradition est inscrite à l'inventaire du patrimoine culturel immatériel français[1].

Toponymie

Le toponyme Arbois proviendrait de la juxtaposition de Ar et Bos signifiant « terre fertile ».

Héraldique

Armoiries d'Arbois D'azur au pélican d'argent avec sa piété de gueules, sur son aire d'or[2].
Blason apposé sur le château Pécaud
« D'azur au pélican d'argent becquetant sa poitrine gouttelée de gueules pour ses petits aussi d'argent, le tout posé sur un nid d'or ».

Remarque :

- Dans la religion chrétienne, le « pélican de piété » symbolise le Christ qui s'est sacrifié pour sauver les Hommes. Il est devenu un modèle d'amour infini.
- « Maximilien, empereur d'Autriche, avait un pélican familier qui suivait le souverain au vol partout où il allait »[3]. Or, lorsque l'empereur vient en visite à Arbois, au XVe siècle, l'animal meurt. La ville aurait alors décidé de faire figurer l'oiseau sur son blason en signe de reconnaissance.


Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Jura
  • Arrondissement - 1801-1926 : Poligny --> 1926-2016 Lons-le-Saunier --> 2017-2024 : Dole
  • Canton - 1801-2024 : Arbois
  • Commune - 1801-2024 : Arbois

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :


  • 01/01/2017 : Arbois passe de l'arrondissement de Lons-le-Saunier (392) à l'arrondissement de Dole (391)[4].

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Église Saint-Just

Église Saint-Just - Photo J-P GALICHON
Les vignes et l'église
Photo M. POLLET


  • L'église Saint-Just, représentative du style roman bourguignon, remonte à la fin du XIe siècle ou début du XIIe siècle, suivant les sources. Au XIIIe siècle, s'y rajoutent des éléments gothiques comme les voûtes de la nef. Des contreforts, ou des chapelles latérales faisant office de contreforts, sont rajoutés au fil du temps. L'abside qui était circulaire à l'origine est remaniée au XVIe siècle et adopte une forme carrée.
  • Au Moyen Âge, le clocher avec sa hauteur de 75 mètres servait de tour de guet, faisant partie intégrante de l'enceinte de la cité. Il est refait au XVIe siècle, sur une hauteur de 44 mètres seulement, mais détruit par un incendie en 1651. C'est en 1716 qu'il est reconstruit en ocre jaune, sur cinq étages totalisant 60 mètres, et coiffé d'un dôme à l'impériale à huit pans surmonté d'un campanile.
  • L'église Saint-Just, est classée aux Monuments historiques depuis 1913[5].
  • L'orgue de 1728, œuvre du facteur d'orgues Marin CAROUGE, équipait anciennement la collégiale Notre-Dame puis a été transféré ici en 1795. Il est classé au titre des objets historiques[6] en 1952 (buffet) et 1976 (partie instrumentale).
  • La chaire à prêcher de 1717 (œuvre partiellement volée), en bois, est classée au titre des objets historiques[7] en 1906.

De nombreux tableaux ou statues sont classées ou inscrits au monuments historiques.


Église Notre-Dame

Église Notre-Dame, vue depuis la place
Photo B.ohland


Cette église correspond à l'ancienne collégiale Notre-Dame.
Du prieuré, pourtant très étendu, il ne subsiste qu'une tour. La collégiale, élevée au XIVe siècle, et largement dotée par Philippe d'Arbois, occupait aussi un grand espace, de l'enceinte jusqu'à l'artère principale.

En 1728, un orgue est installé dans cet édifice, déplacé dans l'église Saint-Just depuis 1795. Le clocher primitif est reconstruit en 1767.
Lorsque la congrégation se disperse à la Révolution, l'église devient une halle aux blés. Par la suite elle est aménagée en usine d'électricité, puis en douches communales.
Depuis 1923, elle abrite une salle des fêtes.

Château Pécauld

Château Pécauld, coté rue

La tour haute de 15 mètres, et présentant encore des meurtrières et des archères canonnières, remonte au XIIIe siècle, du temps où elle faisait partie intégrante des fortifications.
Elle prit le nom de « tour de Vellefaux » (Velfaux), en rapport avec la famille seigneuriale qui la détenait. Le château était entouré d'un fossé sans eau. Les murs du corps de logis, incorporés aux remparts, présentent encore des ouvertures où se logeaient des pièces en bois supportant le "chafaud", c'est-à-dire une galerie en encorbellement.
Le célèbre Nicolas PERRENOT de GRANVELLE, chancelier de Charles Quint, en devient propriétaire au XVIe siècle. Il rajoute un nouveau corps de logis à l'angle de la tour. Puis la bâtisse passe aux mains des PÉCAULD jusqu'à la Révolution française. Elle est alors vendue comme bien national.

Le château est racheté par la ville d'Arbois en 1829. Le château Pécaud et tour Velfaux sont partiellement inscrits aux Monuments historiques en 1988[8], il est aménagé en Musée de la vigne et du vin du Jura et Comité interprofessionnel des vins du Jura en 1993.

Hôtel de ville

Hôtel de ville



L'hôtel de ville occupe l'emplacement de l'ancien couvent des Ursulines, construit en 1630, duquel il ne subsiste que la chapelle élevée au XVIIIe siècle. L'édifice, qui sert aussi de tribunal dès son acquisition, est inscrit aux Monuments historiques en 1993 puis classé aux Monuments historiques depuis 1995[9].
Sur sa façade, le blason de la ville est accompagné de la devise : « Sic his quo diligo » qui signifie « Ainsi à ceux que j'aime ».

Tour Gloriette

Tour Gloriette, vue depuis le pont
Photo B.ohland



La tour Gloriette était située à l'angle sud-est de l'enceinte du XIIIe siècle et constituait l'ouvrage de défense le plus important. Tour du type "ouverte à la gorge"[10], elle a nécessité une reconstruction au début du XVIe siècle suite à une crue dévastatrice de la Cuisance. En 1517, elle est cédée à des particuliers qui ont le droit d'y ouvrir des fenêtres à condition de les murer en cas de guerre.
Rachetée par la ville un peu plus tard, elle abrite la compagnie des arquebusiers dès 1655.
La tour est inscrite aux Monuments historiques en 1927[11], elle est restaurée en 1989.

Maisons vigneronnes

Maison avec grenier saillant et trappon


La plupart des notables arboisiens possédaient des vignes et donc des maisons vigneronnes.
Elles se remarquent par leur large portail arrondi et par leur trappon débordant sur le trottoir pour y rentrer plus facilement les tonneaux.


Maison de Louis Pasteur

Maison de Louis PASTEUR, côté rue


Quand Louis PASTEUR (1822-1895) avait huit ans en 1830, sa famille est venue s'installer dans cette maison d'Arbois, située 83 rue de Courcelles, au bord de la Cuisance, afin que le père poursuive ses activités de tanneur.
Le savant y a passé une grande partie de son enfance. Puis y revenait chaque année depuis Paris.
Il a ensuite agrandi la maison pour y loger spacieusement sa famille mais surtout y installer son laboratoire.
Après sa mort, l'habitation a été léguée à la Société des Amis de Pasteur puis à l'Académie des sciences et est devenu un musée en 1991[12]. Conservée en l'état, que ce soit au niveau du logement, avec billard, ou du laboratoire avec tout son matériel, la maison a été classée aux Monuments historiques en 1937[13]. Elle a aussi reçu le label « Maisons des Illustres » en 2011[14].

Autres patrimoines

  • Ancien hôtel de Broissia du XIXe siècle, situé 68-70 Grande-Rue.
  • Château Bontemps du début du XVIe siècle, situé rue du Vieux-Château.
  • Demeure dite château de la fin du XVIIIe siècle, située 2 rue de Verreux.
  • Demeure Delort du XVIIIe siècle, faisant référence au baron d'Empire DELORT, propriétaire, située 14-16 rue de Faïencerie.
  • Maison des consorts Brand de la fin du XIIIe siècle, située 5 rue de Bourgogne.
  • Monument aux morts d'Arbois, commémorant les morts pour la France de la Première Guerre mondiale, édifié au début du XXe siècle par l'architecte André PAPILLARD, d'une hauteur de 8 mètres, situé route de Lyon. L'édifice est inscrit aux MH[15] en 2022.

Repère géographique.png Repères géographiques

Vue du village depuis le nouveau cimetière



La cité arboisienne, positionnée à mi-chemin entre Besançon et Lons-le-Saunier, s'étale au bord du plateau du Jura. Entourée d'une plaine légèrement vallonnée où s'épanouissent des céréales, et de coteaux aux pentes douces plantés de vignes, Arbois est devenue "capitale des vins du Jura", lesquels sont à l'origine de la première appellation d'origine contrôlée (AOC) française, en mai 1936.
Par ailleurs, le territoire est traversé par la Cuisance qui prend sa source dans la reculée des Planches et ressurgit aux Planches-près-Arbois sous la forme de la cascade des Tufs.


Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 6 649 6 414 6 555 6 424 6 741 7 131 7 002 6 958 6 901 6 007
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 6 672 5 895 5 273 5 027 4 957 4 666 4 355 4 240 4 209 4 093
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 3 926 3 475 3 616 3 681 3 627 3 457 3 733 3 960 4 209 4 089
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 3 998 3 900 3 698 3 509 3 547 3 350 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
- -  
Louis Ignace Thérèse Vernier SARRET de GROZON déjà en 1830 - Né le 26 avril 1762 à Arbois, décédé le 28 novembre 1842 à Arbois. Lieutenant-colonel.  
- -  
Charles François Emmanuel PAREAU avant avril 1846 - février 1848 Né le 14 octobre 1804, décédé le 28 octobre 1878. Nommé par le roi Louis Philippe 1er. Avocat, chevalier de la Légion d'honneur en avril 1846.  
Hippolyte François Louis MARCHAND 28 février 1848 - après 1868 Né le 13 décembre 1805 à Passavant (Doubs), décédé le 05/06/1876 à Baume-les-Dames (Doubs). Banquier. Chevalier de la Légion d'honneur en mars 1848.  
Flavien-Marie Hilaire de FROISSARD de BROISSIA après 1868 - Né le 13/05/1809 à Chaintré (Saône-et-Loire), décédé le 05/10/1870 à Neublans (Jura). Propriétaire, maire de Neublans en 1848, puis maire d'Arbois. Conseiller général.  
François Augustin LEFORT 1870 - 1871 Né en 1831, décédé en 1900. Conseiller général du canton d'Arbois (1883-1889) et conseiller d'arrondissement, chevalier de la Légion d'honneur en 1886.  
- -  
François Augustin LEFORT 1881 - 1886 Le même. Né en 1831, décédé en 1900. Conseiller général du canton d'Arbois (1883-1889) et conseiller d'arrondissement, chevalier de la Légion d'honneur en 1886.  
- -  
Sylvain Émile BOILLEY 1888 - 1911 Né le 12/07/1861 à Azans (près de Dole), décédé le 23/01/1930 à Arbois. Tourneur sur bois, conseiller général du canton d'Arbois (1889-1907), chevalier de la Légion d'honneur en 1897.  
Louis Émile GRABY 1912 - 1926 Né en 1860, décédé en 1943. Industriel, conseiller général du canton d'Arbois (1925-1940), chevalier de la Légion d'honneur en 1926.  
- -  
Marcel Claude Marie Henri POUX 1947 - 1965 Né en 1908, décédé en 1965. Négociant en vins, conseiller général du canton d'Arbois (1945-1965).  
Marcelle BOCAT 1965 - 1971  
Constant CHAUVIN 1971 - 1977 Né le 23/05/1927 à Aiglepierre (Jura), décédé le 05/02/2021 à Arbois (Jura) à l'âge de 93 ans. Conseiller général du canton d'Arbois (1979-1985).  
Jean-Pierre BOCAT 1977 - 1983  
Constant CHAUVIN 1983 - 1989 Le même. Né le 23/05/1927 à Aiglepierre (Jura), décédé le 05/02/2021 à Arbois (Jura) à l'âge de 93 ans. Conseiller général du canton d'Arbois (1979-1985).  
Jean-Pierre BOCAT 1989 - 2000  
Raymond PAGE 2000 - 2008  
Bernard AMIENS 2008 - 2020 Né le 11/05/1949.  
Valérie DEPIERRE 2020 - (2026) Née le 10/11/1975.  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
Jean-Étienne PETITJEAN - Né le 16/12/1696 à Arbois, décédé le 26/08/1782 à Arbois. Notaire royal et procureur.  
- -  
Jean-Baptiste NOIROT 1736 - 1742 Né le 21/12/1709 à Arbois, décédé le 25/10/1785 à Arbois. Conseiller de la ville, notaire royal, procureur de 1736 à 1743, échevin en 1776.  
- -  
Claude Antoine JAVEL 1772 - Né le 15/09/1739 à Montigny-lès-Arsures (Jura), décédé le 15/09/1807 à Arbois. Procureur et notaire en 1772, avoué au tribunal en 1806.  
- -  

Source : divers arbres généalogiques sur Geneanet

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
Claude François COCAGNE 1699 - 1721 Né le 25/08/1672 à Arbois. Prêtre familier de Saint-Just. Curé d'Arbois puis professeur de théologie.  
- -  
Vincent BOURGEOIS 1742 - Prêtre administrateur de la cure d'Arbois.  
- -  
Ignace François Xavier BRUET 20 juin 1771 - Né le 04/07/1727 à Arbois, décédé le 17/02/1821 à Arbois. Curé d'Arbois. Député du clergé à l'Assemblée nationale constituante du 16 avril 1789 au 1er mars 1790.  
- -  
Claude Philibert NOIROT 1804 - 1804 Né le 12/10/1742 à Arbois, décédé le 18/04/1804. Prêtre en 1793, vicaire d'Arbois en 1804.  
- -  
- -  

Source : divers arbres généalogiques sur Geneanet et documents Google books

Ville de naissance de.jpg Ville de naissance ou de décès de

Naissances :

  • Auguste POINTELIN, peintre s'étant particulièrement attaché à reproduire des paysages jurassiens, né le 23 juin 1839 et décédé à Mont-sous-Vaudrey (Jura) le 9 avril 1933.


Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

>> Voir la liste complète sur Geneanet

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8 h 30 - 12 h 30 8 h 30 - 12 h 30 8 h 30 - 12 h 30 8 h 30 - 12 h 30 8 h 30 - 12 h 30 - -
Après-midi 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h - -
39013 - Arbois Mairie.jpg

Mairie
Adresse : 10, rue Hôtel de Ville - ARBOIS 39600

Tél : 03 84 66 55 55 - Fax : 03 84 66 25 50

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public (Janvier 2024)

Associations d'histoire locale

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  Arbois (Histoire d')

Voir aussi.png Voir aussi (sur Geneawiki)

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Référence.png Notes et références

  1. Biou d'Arbois Fiche inventaire du patrimoine culturel immatériel français
  2. L'armorial des villes et des villages de France
  3. Page 22, in La Langue de Rabelais
  4. Arbois, 01/01/2017 Insee-COG
  5. Église Saint-Just : Fiche Base Mérimée
  6. Orgue de tribune (église Saint-Just) : Fiche Base Palissy
  7. Chaire à prêcher (église Saint-Just) : Fiche Base Palissy
  8. Château Pécaud et tour Velfaux : Base Mérimée
  9. Ancien couvent des Ursulines, actuel hôtel de ville et tribunal : Fiche Base Mérimée
  10. Ouverte à la gorge : c'est à dire non maçonnée mais en bois du côté ville, afin d'être plus facile à reprendre si jamais elle était assaillie par des adversaires.
  11. Tour Gloriette : Fiche Base Mérimée
  12. Musée Maison de Louis Pasteur sur le site de l'Académie des Sciences
  13. Maison de Louis Pasteur : Fiche Base Mérimée
  14. Maison de Louis Pasteur : Fiche Label Maisons des illustres - Base Mérimée
  15. Monument aux morts d'Arbois : Fiche Base Mérimée