34037 - Boujan-sur-Libron
Boujan-sur-Libron | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Hérault |
Métropole | - |
Canton | 34-04 Béziers-3
34-05 Béziers-2 (Ancien canton) |
Code INSEE | 34037 |
Code postal | 34760 |
Population | 3 151 habitants (2012) |
Nom des habitants | Boujanais, Boujanaises |
Superficie | 702 hectares |
Densité | 448.86 hab./km² |
Altitude | Mini : 34 m |
Point culminant | 106 m |
Coordonnées géographiques |
43.3725° / 3.248888° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Toponymie
Origine du nom de Boujan
D'après l'abbé CROS, ancien curé de la paroisse en 1906, Boujan (Bovianum) tirerait son nom de « bovium ager » (campagne des bœufs), à cause de la grande quantité de ces animaux que nourrissaient jadis sa terre. Bovianum est évidemment le nom du village né de la villa boviana, domaine gallo romain de bovianus.
Bien qu'elle nous soit plaisante, cette hypothèse est peu probable car l'adjectif bovianus n'est pas latin : le latin connait bovanus, bovilis, bovinus pas bovianus. Un adjectif crée à partir du mot bos ou bovis (bœuf) aurait abouti à bovanus ou boanus non à bovianus. De plus la plus ancienne forme attestée du nom de Boujan est Boianum en 937.
La seconde hypothèse est que Boujan (Boianum) aurait un rapport avec les Boies ou Boiens, peuple gaulois qui vivait entre la Loire et l'Allier, mais cet état des Boiens n'a rien à voir avec les habitants de la narbonnaise.
Finalement la seule hypothèse à retenir est que Boujan aurait été créé à partir du nom propre Boius nom du premier propriétaire de la villa Boiana (comme Cornélius a donné le nom de Corneilhan).
L'évolution du nom à travers les siècles est : Boianum (937), Boiano/Bojano, Bouian/Bojan, Boujan, Boujan sur Libron (décret du 24/03/1920).
Origine du Libron
Le Libron (flumen lebroutis) vient du mot celte le broun ce qui signifie torrent et qui caractérise bien la nature du temps, son débit irrégulier, ses crues spectaculaires, son lit aride les étés secs, ce qui lui vaut d'être comparé aux fleuves algériens (le professeur Imbert dans "les temps modernes" le nomme "le oued-secca").
Source : Site de la mairie [1], "Boujan sur Libron - Histoire de mon village" de Gilbert Roque
Héraldique
- De gueules à trois besants d'or, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or, soutenu d'un filet d'argent.
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Hérault
- Arrondissement - 1801-2024 : Béziers
- Canton - 1801-1973 : Béziers-1, 1973-2015 : Béziers-2, 2015-2024 : Béziers-3
- Commune - 1801-1920 : Boujan, 1920-2024 : Boujan-sur-Libron
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Préhistoire
Le Boujanais M. Georges MARY et M. Maurice LOUIS ont découvert 3 sites conservant la présence d'un séjour humain à proximité du village :
- - la station Des Cresses (3 ha) en bordure de la RD15 près du domaine d'Hortes,
- - la station de Saint-Marcel (2 ha) près du domaine du même nom sur le versant nord du mamelon de La Capelière,
- - la station de Salaison (11 ha) rive gauche du Libron face au domaine de Libouriac, avec 360 fonds de cabanes mis à jour.
Les territoires des Cresses, de Saint-Marcel, de Salaisons sont riches en vestiges de toutes sortes (plus de 900 pièces) : silex en forme de lames, pièces à encoches, outils à forer, burins, percuteurs pour donner forme aux outils, grattoirs pour dépecer le gibier, pierres polies, meules, polissoirs, pointes de flèches, objets en céramique et poteries de formes variées, enclumes, objets de métal de l'époque du bronze et du fer, divers objets de l'époque romaine et des matières colorantes pour cuirs et tissus. On a découvert les restes de 360 fonds de cabanes en forme de fer à cheval avec foyers. Les êtres humains se regroupaient en tribus dans ces abris, on peut estimer la population d'alors entre 2 000 et 3 000 personnes. Cette hypothèse est renforcée par la présence de nombreux ossements humains, quelquefois dans des tombes, mais aussi d'os de chiens, chevaux, sangliers et surtout de cerfs qui peuplaient alors les bois de la région, moutons et chèvres, bœufs ainsi que d'abondants coquillages marins (tellines, murex, chénopodes, pectens, cardiums, etc.). Ceux-ci étaient acheminés depuis les côtes et nos ancêtres en semblaient friands.
Époque romaine
Circius Domitius Anchobarbus soumet les Volques Tectosages en 120 avant J.-C. La colonie de Béziers (Urbs Julia Septimanorum Biterensis) est fondée en 35 avant J.-C. et les terres sont attribuées aux vétérans de la 7e légion, avant d'être attribuée ou vendue à des colons. Naissent alors les premiers domaines (Fundis) avec leurs habitations (villae). Onze villaes sont répertoriées sur la commune.
Moyen Âge
En 412, les Wisigoths, succédant aux Vandales, Suèves et autres, envahissent la région et installent au pouvoir leur propre aristocratie.
Invasion arabe au début du VIIIe siècle (719). En 747, ceux-ci n'occupent plus que Narbonne et Carcassonne alors que Béziers, Agde, Maguelone et Nîmes ont déjà proclamé leur indépendance. En 752, le comte Goth Ansemond livre ces dernières villes à Pépin le Bref qui le récompense en le maintenant dans ses fonctions. C'est ainsi la première union du pays au royaume des Francs.
Au Xe siècle, Boujan appartient aux vicomtes de Béziers et Agde. Le 17 janvier 937, le comte Raymond PONS et sa femme Gersande donnent au chapitre Saint-Nazaire de Béziers les fiefs de Boujan et Tampognan ou Campagnan (Monestié, Campariès, Saint-Louis). Après 1030, Boujan devient possession des Rainard de Béziers et Villeneuve.
L'an 1000 débute par une période de troubles dus à la rivalité entre les seigneurs et le clergé. Climat aggravé par la rivalité opposant comte de Toulouse et vicomte de Béziers. Le peuple se détourne de l'Église. Dans la seconde moitié du XIIe siècle, l'hérésie prend une part considérable dans la région et le biterrois. L'Église ne tarde pas à réagir. Le 21 juillet 1209, l'armée de croisés occupe Servian désertée par ses habitants. Le soir même elle met le siège devant Béziers, suivi du massacre que nous connaissons. De nombreux petits seigneurs se soumettent, dont Béranger de Boujan. Après la mort de Simon de Montfort en 1218 au siège de Toulouse, le pays se soulève à nouveaux. La décision de Louis VIII de participer à la croisade et d'occuper le Languedoc met fin à l'insurrection. Louis VIII confie l'administration du pays à ses officiers royaux : bayles, sénéchaux et prévôts. Le village compte à cette époque 34 feux (foyers) soit environ 150 habitants. Vers 1296, les habitants du Languedoc commencent à résister à l'inquisition dont les abus et les massacres exaspèrent tout le monde. Y a t-il eu des « cathares » à Boujan ? La liste des hérétiques de Béziers n'en relève aucun, contrairement à Servian, Corneilhan et Bassan.
Au fil du temps, les seigneuries vont se morceler. Au XIIIe siècle, il n'y a pratiquement plus de village dans le Biterrois appartenant à une seule seigneurie. Le château de Boujan (rue du Château) est cité au début du XIIIe siècle. Un dénombrement de 1271 nous apprend qu'il appartient au vicomte de Narbonne.
En 1230, Boujan dépend administrativement de la sénéchaussée de Carcassonne et se trouve sous l'autorité d'un bayle qui préserve l'autorité du roi et exerce la justice. L'administration de la communauté villageoise est confiée à des prud'hommes depuis le début du XIIe siècle, puis un consulat (XIIIe siècle). Les consuls sont élus par l'université des habitants du village (universitas castri de Bojan) composée des chefs de famille. Les consuls vont prendre de plus en plus de pouvoir et au XIVe siècle constituer une organisation municipale forte défendant les intérêts des villageois.
Le pays est ravagé successivement par la peste, le Prince Noir, puis par les Grandes Compagnies. Plus de 50 paroisses, dont Boujan, disparaissent ainsi dans la tourmente. Le village va se reconstituer en arc de cercle autour du château, puis se fortifier au XIVe siècle. Deux fossés concentriques sont creusés autour du village (rue Lavisse et Bd. Castelbon) qui se réduit alors au quartier du château, et les remparts sont doublés (c'est l'origine des villages circulaires du Languedoc, aujourd'hui organisés en associations des Circulades dont le but est d'aider à leur rénovation). Les consuls de Béziers inquiets de cette place forte aux portes de leur ville, envoient dix hommes d'armes pour la renforcer, tandis que Boujan s'engage à avoir des gardes aux portes, à assurer le guet, et à nommer un capitaine « suffisant », le tout au frais du village, qui compte 40 feux en 1340.
Les guerres de Religion
Sous le règne de François 1er, des communautés protestantes s'établissent dans de nombreuses localités. Le 6 mai 1562, ceux-ci s'emparent de Béziers. Après l'édit de paix du 19 mars 1563, le calme revient provisoirement dans la région. Béziers redevenue catholique manque d'être reprise en 1569 par Claude de Narbonne. À défaut d'y parvenir, il se contente de Boujan, où les soldats sont fait prisonniers et le capitaine tué.
En 1575, Boujan est assiégé par le vicomte de Joyeuse. Aucun document ne nous éclaire sur le déroulement des opérations, mais il est clair que durant cette période trouble Boujan, aux portes de Béziers, a dû passer plusieurs fois entre les mains des belligérants.
Des bandes parcourent la campagne, les routes sont impraticables, les récoltes pillées, ce qui compromet le ravitaillement des villes et villages. La promulgation de l'édit de Nantes le 30 avril 1598 par Henri IV mettra fin au désordre.
Les calvinistes biterrois ne pouvant exercer leur culte dans leur ville siège d'un évêché, décident de construire leur temple à Boujan en 1601. C'est ainsi que le village qui ne compte pourtant que 4 « hérétiques » en 1605, deviendra le lieu de culte des protestants biterrois. Après l'abolition de l'édit de Nantes le 18 octobre 1685, les protestants doivent abjurer leur foi ou fuir. C'est la première solution que choisissent une dizaine de familles boujannaises. Le temple est abattu le 2 juillet 1686. Le 29 janvier 1766, la communauté de Boujan est condamnée à 25 livres d'amende, pour ne pas avoir envoyé à M. l'Intendant un état des enfants des nouveaux convertis.
XVIIe et XVIIIe siècles
Boujan est au début du XVIIIe siècle une petite communauté rurale de 100 feux, soit environ 400 habitants. Le village n'a pas d'autre seigneur que le roi : il est administré par des bayles, procureurs et par les consuls. Du moins jusqu'en 1769 où le comte Joseph de GUYON du BOUSQUET de SAINT-GILLES, maréchal de camp des armées du roi, n'acquiert la seigneurie de Boujan et de Libouriac, qu'il conservera jusqu'à sa mort en 1787. Ce sera ainsi le dernier seigneur de Boujan, où il est inhumé.
La culture de l'olivier est la principale activité agricole, devant la culture des céréales et de la vigne, et l'élevage (chèvres, moutons et quelques bovins). Deux tiers des habitants de Boujan sont des journaliers ne possédant pas de terre, les autres n'en ont pas assez pour vivre.
La communauté possède une place publique, un puit commun, l'église paroissiale, deux petites maisons dont l'une sert aux besoins des consuls, l'autre à la régence des enfants, un casal dans le fort (sorte de métairie), un moulin à huile, un four à cuire le pain, deux près en alleu et trois fiefs nobles. En 1767, il y a au village, deux maréchaux-ferrants, deux maîtres chirurgiens, un tailleur, un épicier, un tonnelier, un régent maître d'école, une maîtresse d'école, et un notaire.
L'hôpital de Boujan est cité au début du XVIIe siècle. Il est administré par les consuls de Boujan. Il occupe une partie du quartier compris entre la rue Jean Moulin et la rue Mozart (ex. rue de l'Hôpital). On y accueille pauvres, mendiants, enfants abandonnés et soldats blessés qu'y y sont soignés et nourris. En 1695, l'hôpital en ruine est uni à celui de Béziers.
La Révolution
L'hiver 1788 est très rude, les oliviers sont gelés, les semences compromises, le cours du blé augmente, le spectre de la disette se profile. Les premiers troubles ont lieu dans le biterrois en 1789, le peuple ne supportant plus les charges qui l'accablent. Ainsi va naître la Révolution française.
Les consuls deviennent conseillers municipaux par la loi du 14 décembre 1789. En 1800, Boujan compte 560 habitants.
Époque contemporaine
Au XIXe siècle, la viticulture s'implante dans le tout Languedoc et engendre une grande richesse pour la région. De nombreux châteaux dont certains, un peu prétentieux, sont appelés « folies du XIXe », furent alors édifiés. Certains, tout près de notre village (Libouriac ...), témoignent de cette époque de faste.
Source : Site de la mairie [1], "Boujan sur Libron - Histoire de mon village" de Gilbert Roque
Patrimoine bâti
Église Saint-Étienne
L'église Saint-Étienne est reconstruite, sans doute, comme c'est fréquent dans la région, à partir d'une chapelle wisigothique et ce, au XIe siècle, par l'évêque du Chapitre de Saint-Nazaire, Raoul de Béziers.
L'église du VIIIe siècle, n'est à cette époque qu'une chapelle wisigothique. Au XIe siècle, Raoul, évêque de Béziers, fais construire sur son emplacement une église dédiée à Saint Etienne. Détruite et reconstruite à la fin du XIIIe siècle, elle fut détruite à nouveau pour laisser place au monument gothique actuel qui date du XIVe siècle. Il ne reste plus de l'église romane qu'un chapiteau et une colonne de marbre de Saint-Pons. Le clocher quant à lui à été parachevé au XVIIe siècle : la clé de voûte au sommet porte la date de 1666.
L'ancien cimetière se situe jusqu'au XIXe siècle entre l'église et l'ancien bureau de poste. Devenu trop exigu, le nouveau cimetière est crée en 1836, sur un terrain appartenant Mme Anne CAYLET, veuve Bois, qui, ironie du sort, y sera la première inhumée. L'emplacement ainsi libéré, deviendra la place publique que nous connaissons, et la croix qui s'y trouvait sera érigée à l'entrée de l'église en 1879.
Repères géographiques
Le fleuve Libron étend ses ramifications sur un micro-bassin de 35 km de long et 8 km de large, depuis sa source en amont de Faugères à son grau en aval de Vias. Il se caractérise par un alluvionnement intense sur une rive : le contraste est grand entre l'aridité d'un côté et la fertilité de l'autre.
Source : Site de la mairie [1]
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 541 | 506 | 561 | 625 | 639 | 662 | 703 | 710 | 729 | 753 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 775 | 804 | 803 | 834 | 848 | 851 | 964 | 1 068 | 1 181 | 1 118 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 1 102 | 1 228 | 1 242 | 1 162 | 1 137 | 1 070 | 1 123 | 1 121 | 1 121 | 1 335 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 1 843 | 2 235 | 2 627 | 2 902 | 3 156 | 3 366 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2014.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Jean François CABANEL | 1789 - 1796 | capitaine de la garde nationale |
Guillaume SEGONNE | 1796 -1797 | |
Jean BEC | 1797 - 1800 | |
Pierre SALOY | 1800 - 1815 | les maires sont nommés par le préfet conformément à la loi |
Jean François CABANEL | 1815 - 1819 | nommé en remplacement de M.SALOY démissionnaire |
Pierre GRANIE | 1819 - 1830 | |
Ferdinand LEDENAC | 1830 -1835 | remplace M.GRANIE démissionnaire |
Etienne CROS | 1835 -1848 | |
Sébastien NINAU | 1848 | |
Jean FOURRES | 1848 - 1852 | |
François TURGAL | 1852 - 1862 | |
Louis FABRE | 1862 - 1870 | |
Pierre GLAUDE | 1870 - 1872 | |
François CABROL | 1872 - 1874 | révoqué |
Bernard SARDA | 1874 - 1876 | nommé maire par arrêté du 17/03/1874 |
Bernard FOURNIER | 1876 - 1878 | nommé maire par arrêté préfectoral le 21/05/1876, élu le 8/10/1876 |
Pierre BRUEL | 1878 - 1884 | les maires sont dorénavant élus |
Donat BOUSQUET | 1884 - 1887 | |
Joseph POUJOL | 1897 - 1900 | |
Etienne BOUSQUET | 1900 - 1905 | |
Jean FAU | 1908 - 1909 | laisse la place au 1er adjoint le 19/11/1909 |
Placide MELAGOU | 1909 - 1910 | |
Antoine GAUJAL | 1910 - 1911 | |
Jean FAU | 1911 - 1912 | remplace Antoine Gaujal décédé |
Fernand CASTELBON de BEAUXHOSTES | 1912 - 1925 | |
Marceau CASTANIE | 1925 - 1935 | |
Raoul FITER | 1935 - 1944 | |
Benoît FERNAND | 1944 - 1971 | |
François DOMENECH | 1971 - 1985 | Cordonnier du village - Démission pour raison de santé |
José GARCIA | 1985 - 1989 | |
Raymond FARO | 1989 - 2008 | |
Philippe ROUGEOT | 2008 - 2014 | |
Gérard ABELLA | 2014 - (2026) |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - | |
- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - | |
- | - |
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1863-1902)
- Mariages (1793-1862)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Mariages. AD34 5 MI 63/4 (1893-1902)
- Décès. AD34 2 MI EC 32/4 (1904-1904)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 1 MI EC 37/2 (1747-1792)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 1 MI EC 37/1 (1604-1694)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 5 MI 13/35 (1807-1813)
- Mariages. AD34 5 MI 63/3 (1850-1862)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 3 E 37/31 (1916-1916)
- Mariages. AD34 5 MI 63/3 (1893-1903)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 5 MI 13/35 (1822-1828)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 5 MI 13/34 (1793-1799)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 5 MI 13/35 (1829-1835)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 1 MI EC 37/1 (1694-1746)
- Décès. AD34 5 MI 63/4 (1873-1882)
- Mariages. AD34 5 MI 63/3 (1863-1872)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 6 M 2092 (1802-1812)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 6 M 2092 (1893-1902)
- Décès. AD34 5 MI 63/4 (1863-1872)
- Mariages. AD34 2 MI EC 32/3 (1904-1904)
- Naissances. AD34 2 MI EC 32/3 (1904-1904)
- Naissances & Mariages & Décès. AD34 6 M 2092 (1863-1872)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h30 - 12h | 8h30 - 12h | 8h30 - 12h | 8h30 - 12h | 8h30 - 12h | 9h - 12h * | - |
Après-midi | 13h30 - 18h | 13h30 - 18h | 13h30 - 18h | 13h30 - 18h | 13h30 - 18h | - | - |
Mairie |
Adresse : 12, rue de la Mairie - 34760 BOUJAN-SUR-LIBRON
Tél : 04 67 09 26 40 - Fax : 04 67 31 57 57 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : * Le samedi, permanence d'un élu et d'un agent administratif. Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Juin 2015) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie