Âge d'or des cathédrales

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Le temps des cathédrales, "le grand chantier médiéval", "les piliers de la Terre", "l'esthétique du sacré", ..., nombreuses sont les expressions liées à la fièvre constructrice de ces chefs-d'œuvre exceptionnels. Pour certains auteurs les cathédrales représentent d'ailleurs un trait d'union entre Terre et Ciel, ou « une image terrestre de la Jérusalem céleste »[1].
Mais si l'architecture nous séduit, une autre dimension nous interpelle : leur construction. Y a t-il un mystère à découvrir dans les techniques de mise en œuvre par les bâtisseurs ?

Vue cavalière d'une cathédrale du type de Notre-Dame de Reims.
Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné de l'architecture



Églises ou cathédrales ?

Cathèdre,
Primatiale de Lyon
Photo J-P GALICHON

Une cathédrale n'est pas simplement la plus belle ou la plus grande église d'une ville. Elle offre une singularité qui découle de son étymologie :
- Au XIIe siècle, l'édifice en question se nomme ecclesia matrix. « C'est "l'église mère", la "Major", comme l'on dit encore aujourd'hui à Marseille »[2].
Peu à peu, son autorité s'affirme et c'est là que sont organisés les synodes.
- Au milieu du XIIIe siècle, apparait l'expression ecclesia cathedralis, dérivée du grec kathedra, signifiant la cathèdre, « trône devenu le symbole de l'autorité de l'évêque »[3].

Définition : la cathédrale se définit donc comme l'église où siège l'évêque d'un diocèse. Et c'est dans ce lieu que se déroulent les ordinations de prêtres.
Nombre de cathédrales : En rapport avec la définition, il y a autant de cathédrales que de diocèses, soit environ 400 en Europe. En France on dénombre 103 cathédrales, « propriété de l'État, toutes classées monument historique »[4].
Une grande partie d'entre elles est dédiée à Notre-Dame.

Contexte historique

Foi et symbolique

À cette époque la Chrétienté domine. La foi est vécue de façon intense, les saints sont très populaires et fortement vénérés. « Le Moyen Âge a fait des liturgies et des rites son pain quotidien »[5]. Les croyants n'hésitent pas à apporter leur quote-part au financement d'une cathédrale. Ils trouvent aussi naturel de participer au grand chantier d'une construction.
Les bâtisseurs sont certains qu'ils collaborent à une œuvre utile, puisque les édifices sont encore au centre de la vie citadine autant religieuse que civile. Ce sont des lieux où l'on rend la Justice, des lieux de rencontres sociales et d'échanges culturels. Et la vision des bâtisseurs est désintéressée : ils ne cherchent pas à être considérés comme des artistes. Ce qui leur importe est le sens de l'œuvre, son message symbolique que l'on pourrait illustrer ainsi : « la cathédrale est le médiateur entre l'Homme et son Créateur »[6].

Puissance des évêques

Saint-Étienne de Toul
Photo G. Noirjean

Si au XIe siècle les abbayes ont encore une grande puissance de type féodale, les choses changent au siècle suivant.
Peu à peu les évêques acquièrent de l'influence. Soutenus par la monarchie des Capétiens, ils voient leurs pouvoirs augmenter, notamment celui de « rendre la justice au civil comme au pénal »[7]. Une juridiction, nommée officialité, est instaurée dans chaque diocèse. L'évêque y délègue son pouvoir à un "official", aidé d'un "promoteur" et d'"assesseurs" qu'il a lui-même nommés.
Par ailleurs, on retrouve une symbolique très forte : « L'évêque est en effet considéré comme le successeur des apôtres »[8].
Et de nombreux évêques seront à l'origine de la création ou reconstruction de cathédrales. Par exemple Eude de Sorcy (épiscopat 1228-1219) qui prend l'initiative du remaniement gothique de la Cathédrale Saint-Étienne de Toul.
Enfin, les évêques font partie du haut-clergé. Souvent issus de la noblesse, possesseurs de terres et autres richesses, certains mènent une vie fastueuse.

Financement des édifices

Maquette de Notre-Dame de Paris
Photo J-P GALICHON
  • La plus grande partie du financement provient du clergé, principalement des évêques qui réorganisent la gestion de leurs propriétés foncières. Pour exemple, nous pouvons citer Maurice de Sully (épiscopat 1160-1196), à l'origine de l'édification de Notre-Dame de Paris, ou bien Jacques de Lorraine (épiscopat 1239-1260) « qui finance et conduit la construction de Saint-Étienne de Metz »[9] dans sa phase gothique. Mais les chanoines participent également, de même que d'autres prélats comme le renommé abbé Suger dont il est question ci-dessous.
  • À ce fonds déjà conséquent se rajoutent des dons de rois, tel Philippe Auguste pour Notre-Dame de Chartres, de nobles, de corporations ou de particuliers fortunés.
  • Les fidèles apportent eux aussi leur contribution lors de quêtes spéciales ou lorsque des indulgences leurs sont concédées par des bulles pontificales.


Un projet et des hommes

Une fois le partenariat établi entre le commanditaire et son maître d'œuvre et le contrat signé, le chantier va pouvoir démarrer.
Pour cela le maître d'œuvre va s'entourer d'une main d'œuvre variée issue de diverses corporations et même de manœuvres spontanés. Tous formeront les fameux bâtisseurs de cathédrales qui sont passés à la postérité.

Pictos recherche.png Article détaillé : Pour découvrir ces bâtisseurs en détail...

Du roman au gothique

  • Des cathédrales existaient avant l'apparition du gothique. Certaines élevées au IVe siècle comme à Arles, aux VIIIe et IXe siècles à Besançon ou Metz, et bien sûr aux XIe et XIIe siècle, époque romane par excellence, avec Chartres et Le Puy.
  • Le mouvement gothique débute en France au milieu du XIIe siècle, plus fortement dans le nord du pays que dans le sud, et durera près de quatre siècles.
Il naît plus exactement en 1140, en Île de France à Saint-Denis, sous l'impulsion de l'abbé Suger (1081-1151), conseiller du roi Louis VI. Celui-ci souhaite reconstruire son abbatiale et initie la façade ouest dès 1130, puis le chœur, terminé en 1144.
Arcs-boutants de Notre-Dame de Reims
Viollet-le-Duc, Dictionnaire raisonné de l'architecture
Dès lors, la future Basilique cathédrale de Saint-Denis devient « la première œuvre gothique majeure »[10], et va servir de modèle pour les cathédrales françaises suivantes, à commencer par celle de Sens, mais aussi anglaises, allemandes, espagnoles ou italiennes.
  • La transition du roman au gothique se traduit par quelques points d'architecture :
Croisées d'ogives
Cathédrale Saint-Luperc à Eauze
Photo Lucile Dumesnil
- l'arc brisé, déjà connu, est largement utilisé et décliné en variantes tel l'arc en lancettes.
- l'ogive, même si elle existait déjà dans l'architecture musulmane, se généralise.
- la croisée d'ogives, déjà présente dans le style roman, se perfectionne et se multiplie, permettant de diminuer l'épaisseur des murs et d'agrandir les baies, au bénéfice d'un espace plus esthétique et plus lumineux.
- l'arc-boutant : venant remplacer les solides contreforts de l'époque précédente, il est « l'invention gothique par excellence »[11]. Cette innovation technique répond à deux critères : contrecarrer les poussées de la voûte de la nef, tout en laissant pénétrer un maximum de lumière.
  • Suivront le gothique rayonnant (de 1230 au milieu du XIVe siècle), caractérisé par les roses de forme rayonnante, puis le gothique flamboyant (du milieu du XIVe au début du XVIe siècle), caractérisé par les remplages à soufflets et mouchettes décorant rosaces ou baies.


Brève chronologie :
Toutes les cathédrales ne sont pas mentionnées. Les dates correspondent au début de la construction (ou reconstruction).

  • XIIe siècle : Sens (1140), reconstruction de Laon (1155), Notre-Dame de Paris (1160), Bourges (1194), Chartres (1195)
  • XIIIe siècle : reconstruction de Soissons (1200), Rouen (1200), Auxerre (1210), Reims (1211), Amiens (1220), Beauvais (1225), Tolède (1227), Strasbourg (1240), Westminster (1245), Cologne (1248), Albi (1282), Florence (1297)
  • XIVe siècle : Milan (1386)

Les défis des cathédrales

La face cachée de l'iceberg

Cela ne se voit pas, mais il fallait de solides fondations avant d'élever de tels sanctuaires.
Creuser le sol s'avérait une aventure incertaine, jusqu'à trouver un sous-sol suffisamment compact et stable. Puis les tranchées étaient remplies d'un lit de moelonnage et de mortier. Sur cette base étaient maçonnés deux murs radiers renforcés par un chaînage quadrillé en bois, entre lesquels on coulait à nouveau un mélange de moellons et mortier.
Impressionnantes, les fondations de la cathédrale Notre-Dame d'Amiens nous sont connues en détail :

Saint-Étienne de Metz, hauteur 42 m
Photo B.ohland

atteignant jusqu'à 9 mètres de profondeur, elles étaient constituées d'une première base (terre à briques) de 40 cm d'épaisseur, puis « quatorze assises de 30 à 40 cm, en libages [...] étaient couvertes d'une assise de pierre [...] et, finalement, de trois assises de grès »[12].

Une prise de hauteur

  • Les progrès apportés en terme de soutien par les arcs-boutants, et la symbolique aidant, les bâtisseurs n'ont de cesse d'élever leurs cathédrales vers les Cieux. C'est presque une "course à la hauteur" qui pousse le défi toujours plus loin.
Au niveau de la nef, cela se traduit par des hauteur sous voûtes croissant au fil du temps :
Laon (24 m), Soissons et Toul (30 m), Notre-Dame de Paris (35 m), Chartres (36,5 m), Reims (38 m), Metz (42 m) et Amiens (42,5 m), Beauvais (48 m).
  • Mais en 1284, une partie des voûtes de la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais s'effondre, amenant une prise de conscience des limites à ne plus franchir et « la fin du gigantisme »[13].
Dès lors, toujours avec une certaine "folie des grandeurs", les élancements vers le ciel vont se traduire par l'élaboration de flèches (en bois pour Notre-Dame de Paris, malheureusement victime d'un incendie le 15 avril 2019, ou en pierres et plus ou moins ajourées). Le record est atteint avec la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg qui culmine à 142 m.


Une quête de lumière

Saint-Étienne de Metz
Verrière occidentale de la grande rose
Photo B.ohland

Ces édifices ayant tendance à être sombres de par leur taille imposante, les bâtisseurs cherchent toutes les solutions pour leur apporter davantage de clarté. C'était aussi le cas des ecclésiastiques, comme l'abbé Suger pour qui la lumière était « l'émanation de Dieu »[14].

Cette quête de lumière est rendue possible grâce aux arc-boutants permettant d'affiner les murs porteurs.

Notre-Dame d'Évreux
Chapelle de la Mère de Dieu
Photo Christiane Angsthelm

Les zones de fenestration s'agrandissent. Au niveau des baies, le remplage plat (avec oculus encore entouré de maçonnerie) fait place au remplage nervuré de plus en plus léger. Les façades occidentales sont animées de grandes rosaces, parfois accompagnées de verrières. Le clair obscur est exploité au maximum comme à la Cathédrale Saint-Gatien de Tours où le triforium est entièrement vitré. De grandes verrières fleurissent un peu partout. Celles de Saint-Étienne de Metz représentent une surface de 6500 m2, ce qui en fait « l'édifice religieux médiéval le plus vitré au monde »[15] et lui a valu le surnom de "lanterne de Dieu".

Un festival de couleurs

La polychromie régnait dans toutes des cathédrales. Tout commençait avec les portails dont les statues étaient peintes de couleurs vives, représentant un attrait supplémentaire. « On a négligé de renouveler cette polychromie à partir du XVIIe siècle »[16]. Effacée par le temps, elle a néanmoins pu être mise en évidence à Amiens en 1990, lors d'un nettoyage au laser.
À l'intérieur, c'était également une féérie :
- des pavements en céramique ou mosaïque, ou des labyrinthes comme celui de Reims qui a inspiré le logo des Monuments historiques.
- des murs colorés, en ocre par exemple.
- des fresques ou peintures murales dont certaines ont survécu.
- certaines coupoles ou voûtes colorées comme celles de Sainte-Cécile d'Albi, ainsi que des clés de voûtes, avec ou sans armoiries.
- et bien sûr les vitraux et verrières avec des couleurs intenses dont le célèbre "bleu de Chartres", obtenu grâce au cobalt, et qui est demeuré éclatant.

Homogénéité et diversité

  • Les cathédrales gothiques se caractérisent également par un "modèle" d'architecture que l'on retrouve sur de nombreux édifices : la façade occidentale dite façade harmonique. Celle-ci comporte un grand portail central, sculpté, encadré de deux tours avec portails secondaires s'ouvrant sur les bas-côtés. Le portail central est généralement surmonté d'une grande rosace.


  • Cependant chacune a ses particularités. Style gothique classique, rayonnant, flamboyant ou méridional, couleur de la pierre, tours plus ou moins hautes, semblables ou différentes, gâbles, galeries, pinacles, transepts plus ou moins saillants, coupoles ou flèches, voûtes différenciées (quadripartites, sexpartites ou de style Plantagenêt) sont autant d'éléments qui les personnalisent.


Un défi relevé

Qui aurait pu croire que sous la fragile dentelle de pierre se cachait des édifices robustes et surtout pérennes ? Car, à l'aide de remaniements et restaurations bien sûr, elles ont traversé les siècles et se dressent toujours aussi fièrement.
Fleurons de notre patrimoine historique, elles ont de tout temps inspiré les artistes, écrivains ou peintres, tels Péguy, Victor Hugo ou Claude Monet.
Désormais elles sont devenus un attrait touristique d'importance : « Notre-Dame de Paris est aujourd'hui le monument le plus visité de France »[17].

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  • Malcolm HISLOP, Comment bâtir une cathédrale, la fascinante histoire des chefs d'œuvre de l'architecture médiévale, Paris, Guy Trédaniel Éditeur, 2013, 224 pages, ISBN 978-2-8132-0610-7
  • Olivier MIGNON, Architecture des cathédrales gothiques, Lille-Rennes, Éditions OUEST-FRANCE, 2015, 48 pages, ISBN 978-2-7373-6535-5
  • Christian JACQ, Le message des constructeurs de cathédrales, Paris, Éditions J'AI LU, 1986, 215 pages, EAN 9782290343814
  • Collectif d'auteurs, Revue mensuelle "L'Histoire", Les bâtisseurs de cathédrale, les secrets des chefs d'œuvre, Paris, Société d'éditions scientifiques, 2000, 98 pages
  • Collectif d'auteurs, revue "Nos ancêtres, vie & métiers" n° 22, Gens d'église, Revigny, Martin Média, 2006, 86 pages, ISSN 1639-7304
  • Collectif d'auteurs, revue "Nos ancêtres, vie & métiers" n° 21, Métiers du bâtiment, Revigny, Martin Média, 2006, 86 pages, ISSN 1639-7304
  • Pierre-Édouard WAGNER, conservateur en chef du patrimoine, Cathédrale Saint-Étienne, Metz, collection "cathédrales de France", Paris, Éditions du patrimoine, 2013, 79 pages, ISBN 978-2-7577-0262-8
  • Caroline MAGNAN, Ile-de-France, région capitale, collection "Les merveilles du patrimoine français", Boulogne, Timée Éditions, 2008, 95 pages.

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Référence.png Notes et références

  1. Page 5, in Olivier MIGNON, Architecture des cathédrales gothiques, Lille-Rennes, Éditions OUEST-FRANCE, 2015, 48 pages, ISBN 978-2-7373-6535-5
  2. Page 39, dans l'article de Jean-Louis Biget et Patrick Boucheron intitulé "le grand chantier médiéval", in Collectif d'auteurs, Revue mensuelle "L'Histoire", Les bâtisseurs de cathédrale, les secrets des chefs d'œuvre, Paris, Société d'éditions scientifiques, 2000, 98 pages
  3. Page 4, in Olivier MIGNON, Architecture des cathédrales gothiques, Lille-Rennes, Éditions OUEST-FRANCE, 2015, 48 pages, ISBN 978-2-7373-6535-5
  4. Page 47, dans l'article de Jean-Louis Biget et Patrick Boucheron intitulé "le grand chantier médiéval", in Collectif d'auteurs, Revue mensuelle "L'Histoire", Les bâtisseurs de cathédrale, les secrets des chefs d'œuvre, Paris, Société d'éditions scientifiques, 2000, 98 pages
  5. Page 43, in Christian JACQ, Le message des constructeurs de cathédrales, Paris, Éditions J'AI LU, 1986, 215 pages, EAN 9782290343814
  6. Nous sommes tous des bâtisseurs de cathédrales
  7. Page 57, in * Collectif d'auteurs, revue "Nos ancêtres, vie & métiers" n° 22, Gens d'église, Revigny, Martin Média, 2006, 86 pages, ISSN 1639-7304
  8. Page 4, in Olivier MIGNON, Architecture des cathédrales gothiques, Lille-Rennes, Éditions OUEST-FRANCE, 2015, 48 pages, ISBN 978-2-7373-6535-5
  9. Page 12, in Pierre-Édouard WAGNER, conservateur en chef du patrimoine, Cathédrale Saint-Étienne, Metz, collection "Cathédrales de France", Paris, Éditions du patrimoine, 2013, 79 pages, ISBN 978-2-7577-0262-8
  10. Page 25, in Malcolm HISLOP, Comment bâtir une cathédrale, la fascinante histoire des chefs d'œuvre de l'architecture médiévale, Paris, Guy Trédaniel Éditeur, 2013, 224 pages, ISBN 978-2-8132-0610-7
  11. Page 50, dans l'article de Nicolas Reveyron intitulé "Les secrets de fabrication d'un chef-d'œuvre, in Collectif d'auteurs, Revue mensuelle "L'Histoire", Les bâtisseurs de cathédrale, les secrets des chefs d'œuvre, Paris, Société d'éditions scientifiques, 2000, 98 pages
  12. Page 41, in Malcolm HISLOP, Comment bâtir une cathédrale, la fascinante histoire des chefs d'œuvre de l'architecture médiévale, Paris, Guy Trédaniel Éditeur, 2013, 224 pages, ISBN 978-2-8132-0610-7
  13. Page 28, in Olivier MIGNON, Architecture des cathédrales gothiques, Lille-Rennes, Éditions OUEST-FRANCE, 2015, 48 pages, ISBN 978-2-7373-6535-5
  14. Page 54, dans l'entretien avec Roland Recht intitulé "Voyage à l'intérieur d'un Meccano géant", in Collectif d'auteurs, Revue mensuelle "L'Histoire", Les bâtisseurs de cathédrale, les secrets des chefs d'œuvre, Paris, Société d'éditions scientifiques, 2000, 98 pages
  15. Page 53, in Pierre-Édouard WAGNER, conservateur en chef du patrimoine, Cathédrale Saint-Étienne, Metz, collection "cathédrales de France", Paris, Éditions du patrimoine, 2013, 79 pages, ISBN 978-2-7577-0262-8
  16. Page 53, dans l'entretien avec Roland Recht intitulé "Voyage à l'intérieur d'un Meccano géant", in Collectif d'auteurs, Revue mensuelle "L'Histoire", Les bâtisseurs de cathédrale, les secrets des chefs d'œuvre, Paris, Société d'éditions scientifiques, 2000, 98 pages
  17. Page 14, in Caroline MAGNAN, Ile-de-France, région capitale, collection "Les merveilles du patrimoine français", Boulogne, Timée Éditions, 2008, 95 pages