Belgique - Gent (Gand)

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Gand
(Gent)
Blason Gand-Belgique.png
Informations
Pays Drapeau de la Belgique    Belgique
Région Blason en attente.png    Flamande
Province Oost-vlaanderen.png    Flandre-Orientale
Code postal 9000
Population 265 086 hab. (2022)
Densité 1 680,20 hab./km²
Nom des habitants Gantois, Gantoises
Superficie 15 777 ha
Altitude
Point culminant
Coordonnées (long/lat) 51.053828° / 3.725012° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation
-

Histoire.png Histoire de la commune

Château de Gérard le Diable et
cathédrale Saint-Bavon

Gand est une prestigieuse cité des Flandres, dont l'histoire si riche a laissé pour témoins de superbes édifices : l'hôtel de ville, le beffroi, l'église cathédrale Saint-Bavon, l'église Saint-Nicolas, le grand béguinage, le château des comtes, le château de Gérard le Diable, la place d'Armes, l'hôpital de la Biloque, ... et tant d'autres encore.
C'est aussi la ville qui vit s'accroitre au XIXe siècle un prolétariat urbain, qui se logeait dans ses innombrables ruelles, fut à la pointe des combats sociaux et qui a profondément marqué la Flandre.

Dans le cœur historique de la ville, la Flandre des siècles passés se dévoile, du château des comtes à la Tinnepotjestraat (rue du petit pot d'étain), du marché du vendredi à la Sint-Veerleplein (place Sainte-Pharaïlde), dans ces lieux où se fit l'histoire de Gand, l'histoire de la Flandre.

Statue de Jacques van ARTEVELDE

Gand, ville illustrée par de nombreux hommes célèbres, à commencer par Jacques van ARTEVELDE, défenseur des institutions et libertés gantoises, dictateur de la Flandre, mort en 1354, premier homme "du commun" qui parla d'égal à égal avec les rois. Mais aussi Charles Quint, né à Gand en 1500, décédé en Espagne en 1558, l'empereur qui fit chèrement payer la rébellion de sa ville natale.


Les enfants du prince ou les Prinsekinderen

  • Les familles Van MELLE, Van LOO, MINNE et DEYNOODT.

Grâce à un privilège accordé par Charles Quint en 1541, et jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, quatre familles eurent à Gand le monopole du « métier de boucher ». Nul ne pouvait exercer ce métier dans la ville s'il ne descendait en ligne directe de ces puissantes familles privilégiées. Elles concentraient d'ailleurs déjà le métier de la boucherie entre leurs mains bien avant l'octroi de ce privilège. Ces familles étaient les familles Van MELLE, Van LOO, MINNE et DEYNOODT. La tradition populaire, certes fort sujette à caution, les faisait descendre d'un bâtard du comte de Flandre Guillaume d'Ypres ou de Loo.

La corporation des bouchers était très fière des nombreux privilèges qui lui avaient été accordés. Ainsi, les descendants de ces familles se surnommaient les « Enfants du Prince » (Prinsekinderen, Prince kinderen), d'après la dénomination que le comte de Flandre Louis de Maele donna un jour à ses suppôts. Certains prétendent cependant que cette dénomination de Prinsekinderen ne résulte que de l'octroi du privilège par Charles Quint. Quoi qu'il en soit, en sus des divers privilèges, par exemple celui de former la garde d'honneur du prince lors de son inauguration, les bouchers de Gand jouissaient aussi d'une singulière prérogative, qui consistait dans le droit de chasse au chien courant dans toute l'étendue de la Flandre, à l'exception des seigneuries d'Olsene et de Vinderhaute. Ils entretenaient à cet effet un chasseur à gages, mentionné comme tel sur le registre de la corporation.

Au XIXe siècle, le souvenir de cette gloire passée fit naître une tradition populaire, fausse bien évidemment, recréant une autre origine légendaire de ces familles, suivant laquelle ces quatre familles descendraient de Charles Quint ou que du moins cet empereur avait largement mêlé son sang à celui de ces familles. Ce qui fit dire à Victor HUGO « c'est une curieuse chose qu'un roi qui faisait des ses bâtards des bouchers ... ». Alexandre DUMAS, lui, avait magnifié l'héroïsme des bouchers de Gand dans son ouvrage sur Charles le Téméraire, citant en exemple le courage du porte-bannière de la corporation, qui, blessé aux deux jambes, continua de se battre en marchant sur les genoux.

La corporation des bouchers gantoise tenait un registre dans lequel chaque fils de boucher, légitime ou bâtard, était inscrit à sa naissance, avec la date de naissance, le nom du père, souvent le nom du grand-père, et parfois, afin d'éviter des confusions, le nom de l'arrière-grand-père. Le registre le plus ancien débute en 1463.

Triste, vilain ou bête

D'après un trivial adage gantois : « pour être grand et heureux à Gand, il faut être triste, vilain ou bête ». Cette grossière sentence vise en fait les familles notables :

  • TRIEST (nom que l'on prononce, en flamand, puis en néerlandais, "Trist"), noble famille qui descend de Guillaume TRIEST, cité en 1360, et qui fut au service des ducs de Bourgogne,
  • VILAIN XIIII (et non XIV comme on pourrait le croire). Cette famille s'est illustrée notamment par le vicomte Jean-Jacques Philippe VILAIN XIIII, né à Alost le 1er mai 1712 et mort à Wetteren le 15 août 1777 qui fut un homme politique flamand, bourgmestre d'Alost et de Gand, et président des États de Flandres. Un autre membre illustre de cette famille est le comte Philippe VILAIN XIIII né à Gand le 17 décembre 1778 et mort à Bruxelles le 27 avril 1856, qui fut un homme politique, un industriel et un grand propriétaire foncier. Sous l'empire napoléonien, il avait été créé comte VILAIN et de l'Empire le 27 décembre 1811. Il fut membre de la seconde Chambre (1815-1829) sous le régime hollandais, et membre du Congrès national de Belgique et du Sénat belge (1831-1851),
  • BETTE. La Maison BETTE est une noble lignée gantoise qui compta parmi ses membres de très nombreux magistrats de la ville. Cette famille possédait aussi de nombreux fiefs, et notamment Lede, Muisbroek, Hollebeke, Schellebelle et Wanzele. Elle descend de Gerolf BETTE, cité à la bataille de Cassel en 1071. Elle comprend entre autres Ferdinand-François BETTE, marquis de Lede, grand d'Espagne de 1re classe, qui servit en Espagne, où il fut colonel du Régiment d'Afrique, et était le dernier de sa maison en 1779.

Certains y ajoutent : « ou encore, être un âne » en faisant allusion à la famille :

  • d'HANE ensuite d'HANE-STEENHUYSE. Une famille anoblie en 1648 qui aura ensuite une titre de comte, mais qui est éteinte aujourd'hui, et qui comprend parmi ses membres l'homme politique Jean-Baptiste, comte d'HANE-STEENHUYSE, né le 21 août 1757 à Gand et mort le 17 janvier 1826 à Gand.

Selon la légende, ce serait Louis XIV qui, lors de la prise de Gand en 1678, aurait dit : « pour être quelqu'un dans cette ville, il faut être vilain, âne, triste ou bête ... »

Héraldique

Gent.JPG


  • De sable à un lion d'argent lampassé de gueules, armé et couronné d'or, portant au cou un collier avec une croix du même pendante sur sa poitrine.


Histoire administrative

Gand regroupe les sections administratives de : Afsnee, Desteldonk, Drongen (Tronchiennes), Gand, Gentbrugge, Ledeberg, Mariakerke, Mendonk, Oostakker, Sint-Amandsberg (Mont-Saint-Amand), Sint-Denijs-Westrem (Saint-Denis-Westrem), Sint-Kruis-Winkel (Winkel-Sainte-Croix), Wondelgem et Zwijnaarde.

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Cathédrale Saint-Bavon

Église Saint-Nicolas

Église Sainte-Anne

Église Saint-Jacques

Église Saint-Michel

Abbaye Saint-Bavon

Abbaye de La Byloke

Couvent des dominicains

Hôtel de ville

Ancien palais de justice

Château des comtes de Flandre

Château de Gérard le Diable

Beffroi de Gand

Hôtel Falligan

Le Graslei

Repère géographique.png Repères géographiques


Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population - - - - - - - - - -
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1895 1901 1906
Population - - - - - - - 153 803 - -
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population - - - - - - - - - -
Année 1982 1990 2000 2008 2012 2016 2021 - - -
Population - 230 543 224 180 237 250 248 242 256 262 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Familles notables.png Notables

Les bourgmestres

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
- -  
- -  
Daniël TERMONT 2007 - 2018  
Mathias De CLERCQ 2018 -  

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

Cimetières

Archives communales de Gand

Consultation des archives gantoises

Les archives gantoises sont essentiellement conservées aux archives de la ville de Gand : Stadsarchief, "De Zwarte Doos", Dulle Grietlaan 12, 9050 Gentbrugge, Tél. 09 266 57 60, Fax 09 266 57 39, courriel : [email protected], ouvert le lundi de 8 h 30 à 18 h, les mardi, mercredi et jeudi de 8 h 30 à 16 h et le vendredi de 8 h 30 à 13 h. C'est aux archives de la ville de Gand qu'il faut se rendre en priorité. Les nouveaux locaux se situent un peu à l'extérieur de la ville, à Gentbrugge.

Des archives gantoises sont également conservées aux Archives de l'État à Gand au "château de Gérard le Diable" : RIJKSARCHIEF TE GENT, Geraard de Duivelstraat 1, 9000 Gent, Tél : (+32) 09/225.13.38, Fax : (+32) 09/225.52.01, courriel : [email protected].

Enfin, on trouvera numérisés sur le site des Archives Générales du Royaume des actes d'état civil et des registres paroissiaux consultables en ligne.

Les actes d'état civil et les registres paroissiaux

Pour les actes d'état civil du XIXe siècle, les recherches à Gand seront effectuées dans les microfilms des actes, et en s'aidant des tables décennales. Les actes sont rédigés en néerlandais, sauf pour les premières années de l'état civil durant lesquelles les actes sont rédigés en français. Les actes du début du XXe siècle sont consultables sur le site des Archives Générales du Royaume.

Les recherches à Gand sous l'Ancien Régime, par contre, sont extrêmement fastidieuses (sauf pour les mariages qui ont été très récemment transcrits et publiés en ligne, voyez plus bas dans la présente page) : les registres des très nombreuses paroisses ont quasi tous fait l'objet d'une indexation, mais il n'existe pas d'index cumulatif. Chaque paroisse doit être étudiée séparément. Pour donner une idée de la tâche qui attend le généalogiste, nous mentionnons ci-après les registres paroissiaux existants. Certaines lacunes sont à déplorer et pour certaines paroisses, l'index ne couvre pas les toutes premières années des registres.

  • Saint-Bavon : baptêmes dès 1584, mariages dès 1618 et inhumations dès 1671
  • Saint-Michel Nord : baptêmes dès 1589, mariages dès 1589, inhumations dès 1736
  • Saint-Michel Sud : baptêmes dès 1654, mariages dès 1654, inhumations dès 1685 (avec une lacune de 1707 à 1733)
  • Saint-Nicolas : baptêmes dès 1584, mariages dès 1590 (l'index ne débute qu'en 1605), inhumations dès 1675 (avec une lacune de 1692 à 1700)
  • Saint-Sauveur : baptêmes dès 1567 (lacune de 1580 à 1583 et partiellement de 1584 à 1603), mariages dès 1599, inhumations dès 1685
  • Saint-Jacques : baptêmes dès 1602, mariages dès 1585 (lacune de 1603 à 1625 et l'index ne débute qu'en 1622), inhumations dès 1635
  • Saint-Martin : baptêmes dès 1584 (l'index ne débute qu'en 1608), mariages dès 1584, inhumations dès 1635
  • Saint-Pierre : baptêmes dès 1584, mariages dès 1584 (lacune de 1596 à 1621 et l'index ne débute qu'en 1622), inhumations dès 1584 (avec une lacune partielle de 1585 à 1615 et l'index ne débute qu'en 1634)
  • Château des Espagnols : baptêmes dès 1605, mariages dès 1605 (l'index ne débute qu'en 1633), inhumations dès 1605 (l'index ne débute qu'en 1633)
  • Hôpital de la Bijloke : inhumations dès 1625
  • Chapelle Sainte-Anne : inhumations dès 1701
  • Petit Béguinage : inhumations dès 1673 (index dès 1610)
  • Grand Béguinage : inhumations dès 1701
  • Prédicants : inhumations dès 1326
  • Carmes : inhumations dès 1623
  • Ursulines : inhumations dès 1668
  • Récollets : inhumations dès 1661 (index dès 1391)
  • Augustins : inhumations dès 1757
  • Saint-Georges : inhumations de 1498 à 1795
  • Sœurs noires : inhumations de 1588 à 1794
  • Nieuwenbos : inhumations dès 1220 (!) (pas d'index)
  • Eecloo Est : inhumations de 1592 à 1795
  • Sainte-Barbe : inhumations de 1424 à 1795
  • Capucins : inhumations dès 1620 (pas d'index)
  • Urbanistes : inhumations de 1635 à 1791
  • Clarisses : inhumations de 1751 à 1780 (pas d'index)
  • Waarschoot : inhumations de1668 à 1792 (pas d'index)
  • Hôpital militaire : inhumations 1737-1738 et 1793-1795 (pas d'index)
  • Alexiens : inhumations de 1752 à 1780 (pas d'index)
  • Chartreux : inhumations de 1774 (pas d'index)
  • Carmes chaussés : inhumations de 1752 à 1783 (pas d'index)

Les actes d'Ancien Régime sont généralement rédigés en latin.

Un très important outil de recherche est à mentionner : les actes de mariage d'Ancien Régime (avant 1796) des différentes paroisses gantoises ont fait l'objet d'une transcription par des volontaires. Le résultat de ce gigantesque travail est consultable sur le site internet de la ville de Gand sous le lien : http://www.gent.be/eCache/THE/1/56/114.html (en haut à droite de la page se trouvent les liens). Ces transcriptions n'ont cependant pas été fondues en un seul ouvrage : la consultation paroisse par paroisse s'impose mais ne prendra que peu de temps.

Les actes d'inhumation des Alexiens

Les Alexiens (ou frères cellites) étaient chargés, à Gand comme dans d'autres villes, de la plupart des inhumations de toutes les paroisses de Gand. Cependant, ils n'inscrivaient dans leurs registres que les enterrements qui étaient payés par la famille du défunt. L'âge du défunt est souvent mentionné, ainsi que son état matrimonial, et très souvent aussi la rue dans laquelle il habitait.

Ces registres font l'objet d'une analyse par les archives communales de Gand (environ un cinquième des décès de la ville de Gand figurent dans ces registres) et le résultat est consultable en ligne sur un site internet par le lien suivant : http://begraafboeken.gent.be/

La bourgeoisie de Gand

Un ouvrage très intéressant a été publié en 1986 par les Archives de la ville de Gand : "Bourgeois et bourgeois forains de Gand, 1477-1492 et 1542-1796" ("Poorters en buitenpoorters van Gent"). Cet ouvrage mentionne les habitants de Gand ayant acquis la bourgeoisie (la "civilité") de la ville (il est à noter que l'on pouvait parfaitement être habitant de la ville sans en avoir demandé la bourgeoisie, ou que l'on possédait déjà cette bourgeoisie, par héritage, par exemple). L'ouvrage mentionne souvent le lieu d'origine, la date de naissance ou l'âge, la profession, et le prénom du père.

Les états de biens

À l'appui et en complément des registres paroissiaux, le généalogiste utilisera prioritairement les « états de biens » (staten van goed, en néerlandais). Ce sont des actes de dévolution successorale passés pardevant les échevins des Parchons de Gand (Schepen van Gedeele). Ces actes sont à consulter aux archives communales de Gand. Ces actes donnent non seulement les biens et les dettes du défunt, mais généralement sa filiation, et parfois celle du conjoint, les héritiers (enfants, petits-enfants,... voire parfois, si le défunt n'avait pas d'enfants, les frères, les sœurs, les neveux, les nièces, etc., souvent sur plusieurs générations). Ces actes sont rédigés en flamand (donc bien avant la normalisation du néerlandais aujourd'hui usité en Flandres). Les registres de plusieurs années ont déjà fait l'objet d'un dépouillement : on les trouvera sous le lien suivant, du site Geneaknonhow : http://geneaknowhow.net/digi/ovlaan-ni.html (voyez sous le verbo "Gent", "Boedelbeschrijvingen")

On notera aussi que quelques états de biens concernant des Gantois ont été passés à Audenarde. Le volumineux ouvrage de Carlos Aelvoet et d’André Lafort sur les états de biens de la ville et de la châtellenie d’Audenarde de 1595 à 1796 indexe plusieurs milliers d’actes passés pardevant les échevins d’Audenarde : pas moins de 300 actes concernent des habitants de Gand. Cet ouvrage « Stad en Kasselrij Oudenaarde, staten van goed (1595-1796), indices », a été publié en 2008 par les archives communales d’Audenarde (où il peut être acquis, voyez la page consacrée à Oudenaarde).

Pour les états de biens, l'on verra aussi les dépouillement effectués par A. De Baets concernant les états de biens des seigneuries dépendant de l'abbaye de Saint-Pierre de Gand :

  • "De staten van goed van de heerlijkheden afhangende van Sint-Pieters Abdij Gent (St.-Pieters Dorp, Baarle, Berchem, Overmeersch en Saffelaere (1625-1706)". Deel I. VVF-Oost-Vlaanderen, publié en 1970,
  • "De staten van goed van de heerlijkheden afhangende van Sint-Pieters Abdij Gent (Saffelaere (1706-1794), Overmeersch (1491- 1510), Ledeberg (eerste deel). Deel II. VVF-Oost-Vlaanderen, publié en 1972,
  • "De staten van goed van de heerlijkheden afhangende van Sint-Pieters Abdij Gent (einde Ledeberg - begin Destelbergen). Deel III. VVF-Oost-Vlaanderen, publié en 1972,
  • "De staten van goed van de heerlijkheden afhangende van Sint-Pieters Abdij Gent (Einde Destelbergen-begin Zwijnaarde ). Deel IV. VVF-Oost-Vlaanderen, publié en 1974,
  • "De staten van goed van de heerlijkheden afhangende van Sint-Pieters Abdij Gent (Einde Zwijnaarde- vervolg supplement Overmeersch 1600-1780 ). Deel V-VI. VVF-Oost-Vlaanderen, publié en 1976, avec l'index de V. Himschoot et A. De Baets "Index van de familienamen op De staten van goed van de heerlijkheden afhangende van Sint-Pieters Abdij Gent". Deel VII. VVF-Oost-Vlaanderen, publié en 1976,

ainsi que les ouvrages de W. Steeghers sur les états de biens de la seigneurie de Saint-Bavon près de Gand :

  • "Staten van goed van Heerlijkheid Sint Baafs bij Gent". Deel I. Gent, 1977. [1641-1679].
  • "Staten van goed van Heerlijkheid Sint Baafs bij Gent". Deel II. Gent, 1977. [1683-1729].
  • "Staten van goed van Heerlijkheid Sint Baafs bij Gent. Deel III. Gent, 1977. [1584-1654/1730-1756] (en collaboration avec J. De Vriendt).
  • "Staten van goed van Heerlijkheid Sint Baafs bij Gent. Deel IV. Gent, 1977. [1756-1790].

Le fonds des "papiers de famille"

Un fonds d'archives dans lequel d'intéressantes recherches sont à effectuer est le fonds "Verzameling familiepapieren" ("Collection des papiers de famille"). Une indexation a été effectuée par les archives de la ville de Gand. Ce fonds comporte des documents très divers, en français, en néerlandais, en latin ..., et il permettra au généalogiste de compléter et d'étoffer la généalogie de ses ancêtres gantois.

Informations pratiques

Horaires d'ouverture de l'administration communale

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin - 9 h - 12 h 30 9 h - 12 h 30 9 h - 12 h 30 9 h - 12 h 30 9 h - 12 h 30 -
Après-midi - 16 h 30 - 19 h 13 h 30 - 16 h - 13 h 30 - 16 h - -
Commune.png

Administration communale
Adresse : Botermarkt, 1 - 9000 GENT

Tél : 09 210 10 10 - Fax :

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : Administration communale (Avril 2023)

Associations d'histoire locale

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  • Gand. Apologie d'une ville rebelle, paru en 1989 par l'éditeur Fonds Mercator (Anvers), 446 p. ISBN 9061532027

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