87061 - Droux

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Droux
Blason Droux-87061.png
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 87 - Blason - Haute-Vienne.png    Haute-Vienne
Métropole -
Canton Blason Châteauponsac-87041.png   87-04   Châteauponsac

87089 - Blason - Magnac-Laval.png   87-15   Magnac-Laval (Ancien canton)

Code INSEE 87061
Code postal 87190
Population 346 habitants (2018)
Nom des habitants Drouniers, Drounières
Superficie 2 398 hectares
Densité 14.43 hab./km²
Altitude Mini : 181 m
Point culminant 316 m
Coordonnées
géographiques
46.16° / 1.1533° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
Fichier:87061 - Droux carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

D'après la plus ancienne carte de notre région (La Marche) dressée vers le XVe siècle, on trouve à la place de Droux un lieu appelé DRHUS (situé au-delà de la rive gauche de la rivière, la Sème, appelée à l'époque "sève-fluvius"), c'est-à-dire les trois villages qui s'y trouvent actuellement : Le moulin-du-pont, les Varcilles, Le Bouchaud. Bien que ce dernier village était à l'époque rattaché à Bellac (Bêlât). Et sur la rive droite de cette même rivière on trouve un autre lieu appelé le Bas-Dreus. Vers 1594 ces deux lieux : DRHUS et le BAS-DREUS furent réunis en un seul. L'orthographe et la prononciation de ce nom ont beaucoup variés. Dans les titres originaux ce lieu fut d'abord appelé DROULT, puis un peu plus tard DROUX, et cette dernière prononciation l'a enfin emporté et on s'y est conformé.

Droux fut réunie à la Couronne et sous la domination de Philippe-le-Bel roi de France par donation de Gui de Lusignan, comte d'Angoulême et de la Marche en 1307, aussitôt après elle fut assignée en apanage à Charles III, qui parvenu au trône, la donna en 1327 à Louis Ier duc de Bourbon, Jacques Ier, 3e fils de ce prince, eut en partage le Comté de la Marche. Il fut tué par les Jacques de Brignais en 1361. Son fils, Jean, comte de la Marche épousa l'héritière de Vendôme.
Son fils aîné Jean II, eut pour fille Eléonore, qui porta le Comté de la Marche à Bernard d'Armagnac, comte de Padirac, et devint mère de Jacques d'Armagnac duc de Nemours, comte de la Marche.
Le duc de Nemours fut exécuté en 1477. Louis XI confisqua ses biens. Il donna la Marche à son gendre Pierre de Beaujeu, dont la fille Suzanne, épousa le Connétable de Bourbon.
La duchesse d'Angoulême, après la trahison de ce prince réclama la Marche comme faisant partie de la succession des Bourbon et se la fit adjuger.
Cette province fut enfin réunie à la Couronne en 1531, Droux a vécu toute cette histoire, toutes ces péripéties.

Source : d'après Henri MATHIEU

Souvenirs

« Je me souviens de mon adolescence et même de mon enfance »

Droux était une grande et belle commune où ma famille était heureuse, tout en n'étant pas riche. J'étais heureux et pourtant on manquait de beaucoup de choses, j'étais heureux parce que depuis que j'étais petit on m'avait dit que je ne pouvais pas faire autre chose et que ça ne servirait à rien. On travaillait très jeunes, en sortant de l'école à 12 ou 13 ans. Ceux qui pouvaient passaient quand même le certificat d'étude à 13-14 ans. Certains préparaient un CAP. Je crois qu' on était heureux parce qu'on avait moins d'instruction, et on réfléchissait moins. Alors moins d'ambition ! Je pense que le chômage qui arrive aujourd'hui vient tout du progrès industriel. Ce progrès je l'avais banni depuis déjà bien longtemps. Pas grand monde voulaient me croire, surtout les gens très instruits, bien sûr ceux-là étaient tous pour le progrès. Je leur disais que le progrès mal appliqué serait la misère. Eh bien ! nous y voilà. Le progrès est là. Les machines modernes sont là, dans les usines et dans les fermes, dont une seule fait le travail de plusieurs ouvriers. À l'heure actuelle il faut encore une personne pour mettre une machine en marche et la surveiller, mais bientôt ces machines se mettront en marche toutes seules. Alors que feront les jeunes ouvriers avec leur instruction et leurs diplômes ? ils regarderont tourner les machines en attendant qu'elles tombent en panne pour les réparer ? -Oui, quand je reviens loin en arrière je regrette pour ces jeunes qui cherchent et ne trouvent aucun emploi à cause des machines !

Je me souviens de ces vieux forgerons qui frappaient sur l'enclume du matin au soir, et qui gagnaient difficilement leur vie; de ces charrons qui rabotaient les planches; de ces maçons qui montaient le mortier à l'épaule et crépissaient les murs à la truelle. Ils étaient voûtés, et avaient les mains desséchées par le ciment et beaucoup de douleurs d'arthrose. Ils faisaient les fondations à la pioche et à la pelle, montaient les pierres à la chaîne sur leur échelle, travaillaient comme des bêtes de somme, sans sécurité. C'était très pénible pour eux, et souvent ils mouraient encore jeunes ! Ils n'avaient pas de bétonneuse pour faire le ciment, et pourtant ce qu'ils faisaient était solide et bien fait, on peut remarquer encore leur ouvrage ce n'est pas prêt de s'écrouler. Malheureusement ils avaient très mal au dos et auraient bien aimé l'avoir la bétonneuse et la grue s'ils avaient eu le choix ! Mais que c'était beau et intéressant de les regarder ! On n'avait pas d'autres distractions que celles-ci, il nous en fallait peu...
À Droux nous avions tout ça ! Des commerçants : je me souviens des épiciers qui faisaient des petites tournées car ils ne pouvaient pas aller très loin avec un âne ou un cheval et leur petite voiture, en 1920. C'étaient les Kaïfa. Nous avions des sabotiers au moins 4 ou 5 dans la commune. Tout cela a disparu, personne ne portent plus de sabots de bois. Il faut dire qu'il y a mieux, il fallait être habitué. Ce n'était pas toujours agréable !
À Droux nous avions 3 scieurs de long. J'aimais beaucoup les voir travailler. Ils s'entouraient les reins d'une ceinture de flanelle, car c'était un travail très pénible.
Nous avions aussi une foire tous les sept de chaque mois, c'est fini depuis longtemps ! C'était vivant...
Sur le bord de notre belle rivière, la Semme, 3 moulins tournaient tous les jours; un tournait même jour et nuit. Cela aussi a disparu et c'est sans retour !
Nous avions 4 forgerons dans la commune, il en reste un qui marche au ralenti, 4 charrons, il n'en reste plus. Par contre un jeune mécanicien s'est risqué à s'installer et ça marche, souhaitons-lui bonne chance ! Un jeune entrepreneur maçon s'est lancé lui aussi et ça à l'air de marcher très bien, tant mieux ! Quant aux cultivateurs, c'est plutôt triste, un seul a conservé la tradition, son affaire marche aussi, quant aux autres ils investissent trop et veulent avoir toujours plus de d'animaux, mais après il faut trouver à les vendre ! Dans la commune de Droux il y avait de grandes fermes, On trouvait beau de voir ces jolis bœufs qui tiraient la charrue du matin au soir, pauvres bêtes ! Et ces troupeaux de vaches que l'on amenaient au champ !

Rien que dans le petit bourg de Droux, il y avait 3 fermes dont l'une où je me suis élevé et où j'ai travaillé très dur à la sortie de l'école. Mais c'était joyeux ! On travaillait beaucoup, on ne gagnait pas gros. Notre plus grande richesse était la santé. Beaucoup mouraient vers 60 ans, ou avant, car il n'y avait pas grand-chose pour se soigner, mais moi j'étais robuste et je suis toujours vivant.

Rien que dans ces 3 fermes la batteuse y restait parfois, cela dépendait des années, 4 jours et même plus. D'ailleurs avec les quelques petits propriétaires, car tous avaient son petit coin de terre et il était cultivé, chacun récoltait son blé pour l'année. La batteuse y restait une semaine.
-Que c'est loin tout ça ! C'était bien et beau parce que j'étais jeune ! Les enfants succédaient à leurs parents, quand la ferme leur appartenait, qu'ils n'étaient pas métayers. (Sinon les métayers pouvaient être renvoyés pour un oui ou un non.)
Cette coutume est passée loin, les jeunes s'en vont avec leurs diplômes pour essayer de gagner plus d'argent et avoir une vie meilleure que celle de leur parents, et en espérant aussi une meilleure retraite que les agriculteurs, hélas ! Car aujourd'hui ils sont sur le pavé, un agriculteur se suicide tous les jours ! Le progrès les attire. Ils s'endettent pour acheter des angins, des bâtiments. Ils veulent avoir un SMIC à la fin du mois. Ils veulent avoir le confort comme des villageois : le chauffage, une salle de bain, une salle à manger, la télé... Il faut bien vivre avec son temps... Qu'ils vivent avec le progrès !
Dans toutes ces fermes, les moutons ont envahies. Il faut croire qu'il y a trop de lait et trop de porcs. On ne sème plus de blé c'était trop beau ! Les fermes, elles sont en ruine et les brebis sont dans les prés. C'est peut être plus joli qu'un champ de légumes, à chacun ses goûts ! Oui, Droux était une grande et belle commune, vers 1925-1930, elle comptait près de 1 400 habitants, on en compte aujourd'hui environ 600 et encore heureusement quelques nouveaux habitants sont venus prendre la relève !
Nous avions en 1923, 4 classes, 2 de filles et 2 de garçons. Trente élève par classe. Les écoliers de la commune qui n'étaient pas du bourg, y venaient à pleines routes et chemins, souvent plusieurs kilomètres, à pieds bien sûr, car il n'y avait pas de car de ramassage. Il se levaient tôt ! Souvent ils s'endormaient de fatigue sur leur table pendant la classe. Le soir ils repartaient chez eux et en arrivant ils n'avaient guère envie de faire les devoirs, car ils étaient fourbus. Ils mangeaient un peu et allaient se coucher. L'hiver ils restaient chez eux lorsqu'il faisait trop mauvais temps. Les parents les gardaient aussi lorsqu'il fallait aider aux travaux des champs. Il n'y a aujourd'hui plus que 2 classes et avec une trentaine d'élèves en tout.

De mon temps, nous, les écoliers, on disait bonjour. (On avait une leçon de "morale" tous les matins à l'école.) Aujourd'hui les enfants le disent beaucoup moins. Cela n'a pas disparu partout, heureusement ! Mais ça fait partie du progrès !

Histoire religieuse

Nous avions à Droux une grande et jolie fête tous les ans le 1er dimanche de mai (mois de Marie). Ce jour-là une grande et belle procession avec la Sainte-Vierge. Cette procession a disparue elle aussi pendant une dizaine ou une quinzaine d'années, mais voilà deux ans on a eu l'idée de la relancer cette procession qui avait due être fondée en 1586 à Bellac. Cela aussi est très beau et c'est bien dommage si ça disparaît à nouveau ! Je me souviens des années 1925-1930 de notre bon curé Paul Théréjol, qui, tous les dimanches matin partait de bonne heure de Droux pour aller dire la messe à Villefavard, accompagné de son fidèle serviteur Urbain Lavoux et était de retour pour dire sa messe à Droux à 11 heures. Et il ne roulait pas en voiture, sa voiture était ses pieds. Quand on se souvient de tout cela ça fait de la peine. Oui, ça fait de la peine qu'il n'ait pas pu profiter d'une voiture au moins d'une voiture à âne !
Et ça prouve aussi qu'on n'est plus tout jeune, lorsqu'on regrette tellement le passé !
Mais je termine en disant encore une fois : vive le progrès ! Fin 1978 et début 1979, d'importants travaux ont été effectués, aussi bien à l'église qu'au presbytère et le clocher a été refait à neuf ainsi que la toiture de l'église, la voûte a été refaite à neuf.
Le coq a été descendu du sommet du clocher le 11 octobre 1978 (abîmé par des coups de chevrotines), pays de sauvages ! On a dû le remplacer. Il était pourtant très beau, perché là-haut depuis plusieurs siècles. S'il avait pu nous parler : que de choses nous aurait-il appris. Le nouveau a été monté là-haut le 6 décembre 1978 à 9 heures du matin au son des cloches, par 2 employés de l'entreprise S.T.M. de Saint-Guéry-Tarn. Ces 2 employés se nomment : Millet et Durand.
Ce coq pèse 2,190 kg, sa crête mesure 13 cm de longueur, son œil mesure 1,5 cm de diamètre, il mesure en tout 50 centimètres. Ce travail de pesage et mensurations a été effectué ce jour-même du 6 décembre 1978 dans une salle du presbytère par notre sympathique Georges Borianne du village de Charzat commune de DROUX employé de la commune. Ce travail a été fait en présence des ouvriers cités plus haut et la mienne H. Mathieu de DROUX.

Il a été aménagé une très belle sacristie dans la grande salle du presbytère qui n'est autre qu'une aile du château de Droux ayant échappée à la démolition, lors de la Révolution de 1789, et ce, en 1794. C'était la demeure de Charles de Chamborand et d'Adélaïde de Segondeix sa femme.
La plus grande partie des travaux restant à faire a été effectuée par le même employé, George Borianne. En même temps la partie nord de ce bâtiment a été rehaussée au même niveau. Là la dernière cheminée remontée est de 2,60 m avec 220 briques. Cette cheminée a 2 conduits.
Le samedi 13 janvier 1979 au matin, ce même employé était en haut de ce chantier avec la volonté d'en finir par un froid très piquant pendant que son compère dont je tairai le nom était en bas en train de se chauffer, un litre de rouge sur la table. Histoire vraie vue de mes propres yeux.


Héraldique

  • Parti : au premier d'or au lion de sable, au deuxième de sable à deux barres d'argent.

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Haute-Vienne
  • Arrondissement - 1801-2024 : Bellac
  • Canton - 1801-2015 : Magnac-Laval --> 2015-2024 : Châteauponsac
  • Commune - 1801-2024 : Droux

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Toponymie

Hameaux et lieux-dits

Armantioux
Ce doit être le lieu de l'Argentière situé dans la paroisse de Droux que Millesende de Montierneuf donna en 1119 au Bienheureux Robert d'Arbrissel, pour y fonder un monastère de l'ordre de Fontevrault. Ce fut le « monastère de la Dame de DROUX », situé sur le rivage d'un ruisseau nommé la Seurre. Le pape Calixte II, en fait mention dans sa bulle du 17 des Calendes d'octobre 1119. Les religieuses demeurèrent longtemps en ce monastère, mais on ne sait quand il fut ruiné.

La Commanderie ou "Vieux-Bois-de-DROUX"
C'était un Prieuré ou Commanderie, sous le patronage de Saint-Jean-l'évangéliste. Il appartenait aux Augustins de Montmorillon.

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Église Saint-Martial

L’église romane jouxtait le château de Droux et le tout était entouré de murailles et fossés aujourd'hui disparus. L'église possède un ciboire du XVIIe siècle ainsi qu'un calice du XIXe siècle et une statue de Saint Martial (classés aux monuments historiques). [1]-

  • II y a sous la place de Droux, place de l'Église, qui était aussi place du Château, un très beau souterrain-refuge, très ancien.

Château de Droux

Les souterrains

II y a sous la place de Droux, place de l'Église, qui était aussi place du Château, un très beau souterrain-refuge, très ancien. Quelle est son origine, et de quelle époque date-t-il ? (mystère). Beaucoup de gens pensent que ce sont les seigneurs qui ont fait creuser ces souterrains. Les seigneurs du Moyen Âge s'en sont-ils même servis ? rien n'est probable, car ces souterrains sont très anciens, certains datent sas doute de l'époque gauloise, mais plus probablement des grandes invasions aux VIIIe et IXe siècles. N'oublions pas aussi que pendant la guerre de 100 ans les armées anglaises sont passées par ici, et qu'elles brûlaient tout, détruisaient tout sur leur passage. Les gens avaient une telle frayeur qu'ils se terraient et vivaient sous terre, pour se mettre en sécurité... sans doute l'étaient-ils un peu plus ! Les caves des habitations communiquaient entre-elles. Elles étaient souvent creusées en partie dans le roc.
Il faut tenir compte également de la période de grands-froids au Moyen Âge, que l'on appelle une mini glaciation. Les gens de cette époque qui n'avaient pas les moyens de faire construire une maison avec des murs très épais, avaient moins froid sous terre. En effet dans les caves voûtées ou les grottes que l'on trouve fraîches aujourd'hui, la température est constante : 13/14°C. Aussi trouve-t-on partout, ici, des souterrains ? Notre sous-sol en est criblé.
Il y a six ou sept siècles, il y avait autant de souterrains que de hameaux ou d'exploitations rurales, et dans certaines agglomérations chaque feu (foyer) comptait le sien.
Tout ceci porte à croire que l'homme avait l'espoir chevillé au corps.
L'habitation humaine est représentée par toutes sortes de systèmes souterrains, authentiques refuges, demeures troglodytiques, hypogées funéraires, ermitages rupestres, etc.
À l'entrée de celui de Droux, on voit encore très bien qu'il y avait des départs dans toutes les directions, (Sud), (Est), obstruées maintenant. Il n'existe plus que la direction nord, qui est très bien conservée et que l'on peut suivre sur un trajet de 37 mètres, partie creusée dans le tuf avec un outil dont tous les coups marquent encore très bien la paroi.
Il ne s'agissait pas seulement de creuser un souterrain ! Comment sortaient-ils là terre quand elle les gênait trop ? Certainement en se passant des récipients et en faisant la chaîne comme ceux qui se passent des seaux pour éteindre un feu... (car ils n'étaient pas sots !) Un travail de taupe !! Observez par exemple un champ plat sur toute sa surface, puis tout-à-coup à un certain endroit on trouve une butte, d'où vient cette butte ? Alors que le champ est très plat (bizarre) eh bien, elle vient ni plus ni moins que du souterrain qui passe dessous, mais à quelle profondeur ? La terre qui gênait on l'a sortie ici, et on a continué plus loin, et ainsi de suite. On peut penser que les hommes commençaient à creuser à différents endroits vers un point convergeant et se retrouvaient à ce point. Ils devaient de toute façon faire des bouches d'aération pour respirer s'ils voulaient y vivre. Le métier de mineur existe depuis très longtemps. Les celtes faisaient des bijoux en or par exemple. Les égyptiens aussi avaient des mines d'or et de cuivre... Ce temps n'est pas si éloigné, c'étaient des hommes comme nous. Il est absolument impossible d'imaginer le nombre de kilomètres de souterrains qui existent sous le sol de notre région. Qu'en est-il pour les autres ?
Ces souterrains ont été creusés par de pauvres gens, pour abriter des pauvres gens.

Repère géographique.png Repères géographiques

  • Situé en Haute-Vienne au nord du Haut-Limousin.
  • Le territoire communal est arrosé par les rivières Gartempe et Semme.
  • Superficie de la commune est de 24 km².
  • situé à 37 km au nord-ouest de Limoges.
  • 4 km au nord-ouest de Rancon
  • Région de la Grande-Aquitaine : Aquitaine-Limousin-Poitou-Charente

Avant que la Marche soit rattachée au Limousin, Droux se trouvait dans la province de la Basse-Marche qui était bornée à l'Est par la Haute-Marche (la Creuse), à l'Ouest par l'Angoumois (Charente limousine) et une partie du Poitou, au Nord par le Berry et une autre partie du Poitou, et enfin au Sud par le Limousin qui a finalement englobé La Marche.

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 1 317 1 343 1 191 1 326 1 244 1 335 1 476 1 459 1 418 1 423
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 1 435 1 401 1 352 1 358 1 364 1 395 1 376 1 334 1 323 1 282
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 1 199 1 060 1 034 949 927 872 814 728 684 577
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 512 493 425 418 420 355 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
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- -  
- -  
- -  
Georges LAMOUSSE 1965 - 1989 Conseiller général du Canton de Magnac-Laval (1945-1979) - Sénateur 1959-1977  
Jean-Claude FAUVET 1989 - 2008 Conseiller général du Canton de Magnac-Laval (1979-2011)  
Francis BOTTEMER 2008 - 2014  
Madeleine SAILLARD 2014 - (2026) née le 21/07/1953  
- -  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Paul THÉRÉJOL 1925 - 1930  
- -  


Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin - - - - - - -
Après-midi - - - - - - -
Commune.png

Mairie
Adresse : Le Bourg - 87190 DROUX

Tél : 05 55 68 51 81 - Fax : 05 55 60 18 17

Courriel :

Site internet :

GPS : 46.1591666° / 1.1527777° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : http://www.annuaire-mairie.fr ()

Associations d'histoire locale

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