69290 - Saint-Priest

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Saint-Priest
Blason de Saint-Priest
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 69 - Blason - Rhône.png    Rhône
Métropole Blason Lyon-69123.png   69 M   Métropole de Lyon
Canton Blason Saint-Priest-69290.png   69-45   Saint-Priest (Ancien canton)
Code INSEE 69290
Code postal 69800
Population 46 510 habitants (2018)
Nom des habitants San-Priods, San-Priodes

(San-Priots, San-Priotes)

Superficie 2 971 hectares
Densité 1565.47 hab./km²
Altitude Mini : 189 m
Point culminant 263 m
Coordonnées
géographiques
45.697222° / 4.944722° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
69290 - Saint-Priest carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

Bref historique

La découverte de fragments de vase, lors de fouilles, atteste d'une occupation ancienne (environ 4 700 à 5 000 av. J.-C.).
La découverte de foyers domestiques, de céramique et d'outil en silex laisse penser à une occupation de la ville pendant la période Néolithique et jusqu'au début de l'âge de bronze (environ 2 000 av. J.-C.). Des vestiges laissent supposer que la ville a été habitée vers le XIe et Xe siècle avant J.-C. et que cette occupation s'est poursuivie. Quelques traces de l'époque gallo-romaine sont encore visibles.

Au Moyen Âge, Saint Priest est une possession savoyarde et son territoire est partagé entre quelques gentilshommes et des églises de Lyon. En 1027, le Dauphiné est la propriété de Humbert, comte de Savoie. En 1032, Saint Priest appartient au Saint-Empire romain germanique jusqu'au XIVe siècle. En 1251, Humbert de Bocsozel, seigneur de Maubec cède à l'abbaye d'Ainay ses terres situées à Saint-Priest et Manissieux.

En 1349, Philippe VI achète le Dauphiné lors du traité de Roman, son fils, Charles prend le titre de dauphin. Le comte Amédée VI de Savoie, qui avait lui aussi des prétentions sur ces terres voisines, à l'origine de nombreux conflits entre les maisons de Savoie et celle du Dauphiné, attaque en 1353 en Bugey en pays de Gex, et vainc les Dauphinois aux Abrets en 1354. Le traité de Paris du 5 janvier 1355 met fin au conflit entre le comte de Savoie, Amédée VI, le roi de France, Jean II (Jean le Bon) et son fils Charles, Dauphin de France. Le Guiers et le Rhône séparent (comme aujourd'hui) les territoires de Savoie et du Dauphiné. Saint Priest passe donc sous le Dauphin.

Le premier seigneur de Saint Priest serait le chevalier Humbert RICHARD (seigneur de Saint-Symphorien d'Ozon) qui reçoit le château en 1336 par un don de l'abbaye d'Ainay pour service rendu. Après lui six RICHARD se succéderont jusqu'à la vente le 28 février 1645 par Henry de BUDOZ de RICHARD, comte de Saint-Priest à Jacques GUIGNARD seigneur de Bellevue qui sera élu prévôts des marchands de Lyon en 1655. Après la mort en 1821 de François Emmanuel GUIGNARD (ancien ministre de l'intérieur de Louis XVI en 1790), le château sera vendu par sa famille en 1838 à M. BONNARDET, lequel le revendra en 1903 à M. PLANQUE.

Le château fut occupé par les missions africaines jusqu'en 1938 date à laquelle il devint propriété municipale pour 380 000 francs (conseil du 6 septembre). Le bâtiment sera occupé successivement par les troupes pendant la guerre, un centre de formation pour adulte, puis des services municipaux. Le 28 décembre 1984, le château est inscrit à l'inventaire des monuments historiques.

Nom révolutionnaire : Zélé-Patriote, Beau-Priest.

En 1855, une gare de chemin de fer du Paris-Lyon-Méditerranée (PLM) est implantée à Saint-Priest. La ligne Lyon-Grenoble est mise en service en 1858.

Le 11 novembre 1942, les forces allemandes envahissent la zone non occupée pour organiser la surveillance et le contrôle des personnes. Le château, après la réquisition de juin 1940, est de nouveau réquisitionné. Des baraquements en béton sont construits dans le parc, dont un destiné à accueillir un radar. Il deviendra le Centre Gustave Coste.

Dans la nuit du 2 mai 1944, les alliés cherchant à affaiblir les troupes allemandes, lâchent quatre-vingts bombes sur la cité Berliet. Le 14 août, la base aérienne de Bron est détruite. Après les débarquements du 6 juin et du 15 août 1944, les troupes américaines et les résistants des Forces françaises de l'intérieur libèrent Saint-Priest, en même temps que Lyon, le 3 septembre.

Commune récemment détachée du département de l'Isère en 1967 et rattachée au département du Rhône (Loi 29/12/1967, JO 30/12/1967, effet 31/12/1967). Fait partie de l'agglomération lyonnaise.

L'association Histoire et Archéologie de Saint-Priest effectue un important travail de recherche sur l'histoire de Saint-Priest.

Historique des mairies

Mairie
Photo J-P GALICHON
Mairie vers 1905

C'est le 31 janvier 1790 que l'assemblée des citoyens actifs se réunit dans l'église paroissiale pour élire le premier conseil général de la commune, lequel élira Étienne CHALMAS, notaire royal et lieutenant de châtellenie comme premier maire de Saint-Priest.
À partir de 1790, le conseil se réunit dans l'église paroissiale et ceci jusqu'en 1792 ou celui ci élira son siège au presbytère pour y tenir ses séances ordinaires. Pour les assemblées générales l'église continuera a être utilisée.
Un premier projet de construction d'une « maison commune » est annoncé par le maire le 10 janvier 1819, le budget de la commune permet cette opération avec l'aide d'emprunts, mais on ne sait pas si ce projet a vu le jour.
En 1840, le projet de construction d'une mairie-école refait jour. Les débats durent jusqu'en 1842 ou une décision est prise sur le choix de l'emplacement, ce sera sur ce qui allait devenir la place de l'ancienne mairie sur un terrain appartenant à Mme CHALMAS. Le bâtiment fut terminé en 1851. En 1905, lors de la construction du groupe scolaire, les locaux occupés par l'école furent libérés et mis à la disposition de la municipalité. L'inauguration de la mairie rénovée eu lieu le 10 décembre 1909 [1].

Cette mairie fut utilisée jusqu'à la mis en service de « l'hôtel de ville » actuelle c'est à dire jusqu'en 1975.

Héraldique

D'azur aux trois quintefeuilles d'argent[2].

Histoire administrative

  • Département - 1801-1967 : Isère --> 1967-2024 : Rhône
  • Arrondissement - 1801-1967 : Vienne --> 1967-2024 : Lyon
  • Canton - 1801-1982 : Saint-Symphorien-d'Ozon --> 1982-2015 : Saint-Priest --> 2015-2024 : Métropole de Lyon
  • Commune - 1801-2024 : Saint Priest

Résumé chronologique :

  • 1801-1967 : Saint-Priest (Canton de Saint-Symphorien-d'Ozon, Arrondissement de Vienne, Département de l'Isère)
  • 1967-1982 : Saint-Priest (Canton de Saint-Symphorien-d'Ozon, Arrondissement de Lyon, Département du Rhône)
  • 1982-2015 : Saint-Priest (Canton de Saint-Priest, Arrondissement de Lyon, Département du Rhône)
  • 2015-2024 : Saint-Priest (Métropole de Lyon, Arrondissement de Lyon, Département du Rhône)

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Château de Saint-Priest

Château de Saint-Priest
Photo J-P GALICHON


Le fief est à l'origine une possession de l'abbaye d'Ainay. En 1336, il sera acquis par le chevalier Humbert RICHARD, seigneur de Saint-Symphorien-d'Ozon. Il restera dans la famille RICHARD jusqu'en 1643[3]. En 1643 il deviendra propriété de la famille GUIGNARD.
En 1830, Armand GUIGNARD de Saint Priest et son fils Alexis entreprennent des travaux pour créer un jardin à l'anglaise dans le parc.
En 1868, le domaine est vendu par la famille GUIGNARD à Louis BONNARDET, maire de Saint-Priest.
En 1903, il est acquis par le père Augustin PLANQUE au profit de la société des missions africaines.
Enfin, le sera château acquis par la municipalité de Théophile ARGENCE le 11 juin 1938.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le site fut réquisitionné par les autorités militaires et abrita des soldats français après la défaite de juin 1940. Puis en 1942, ce fut l'occupation des Allemands qui construisirent un radar dans le parc et détruisirent la plaque décorative ornant la façade ouest du château. À la Libération en 1944, il fut occupé par les armées alliées et hébergea des prisonniers de guerre.

Le château est inscrit partiellement aux M.H depuis 1984[4].


Église Saint-Priest

Église Saint-Priest
Photo J-P GALICHON

La première pierre de l'église actuelle du « village » fut posée en 1833. L'église fut bénite par l'abbé Revol, curé de la paroisse, le jour de Noël 1838. Pour certains historiens, le chœur de l'église actuelle est l'ancienne chapelle privée des Comtes de Saint-Priest. Depuis sa mise en service, le bâtiment a subi diverses rénovations et aménagements : la façade en 1853 et le clocher en 1867. Le clocher reçoit trois cloches, une cloche (Fondeur CHEVALIER à Lyon) de l'ancienne église offerte par le comte de Saint-Priest François Emmanuel GUIGNARD en 1815 et deux cloches bénites le 8 septembre 1888 (Fondeur PACCARD à Annecy).

L'ancien édifice était orienté du sud-est au nord-ouest, face à la place. Le nouveau, construit sur le même emplacement, est orienté du levant au couchant.
Église située dans le vieux Saint-Priest.

Les vitraux ont été restaurés en 1985 par la société des Vitraux Gormand-Duval[5].

Église Sainte-Marguerite

Église Sainte-Marguerite
Photo J-P GALICHON
Clocher
Photo J-P GALICHON


Au début du XIXe siècle, les habitants des hameaux de Manissieux, Mi-Plaine et la Fouillouse veulent doter leur hameau d'une place publique et d'une chapelle.
Ils lancent une souscription qui rapporte la somme de 4 690 F. qui servira en autres à l'acquisition d'un terrain auprès des héritiers de Jean Pierre CUZIN pour un montant de 1 400 francs (acte notarié du 26 mars 1843 de maître FAVARD).
La chapelle sans clocher est inaugurée le 26 mai 1843. Elle mesure 23 m de longueur par 8 m de large.
La sacristie ne peut accueillir de cloche, un projet de renforcement et de rehaussement sera établi par un architecte lyonnais (plan du 28 avril 1886). La préfecture de Grenoble donnera son accord le 28 octobre 1886. C'est la commune qui financera les travaux. Le clocher est accessible par la sacristie. Le clocher héberge une cloche moulée par le fondeur Lyonnais BURDIN Ainé en 1844.

1926 – Installation d'une horloge à quatre cadrans.
1936 – Restauration du bâtiment par la commune et embellissement intérieur par les paroissiens.
2013 – Peinture de l'intérieur de l'église.


Église Notre-Dame-de-la-Paix

Église Notre-Dame-de-la-Paix
Photo J-P GALICHON


L'église Notre-Dame-de-la-Paix est située 29, boulevard Édouard Herriot.

L'édifice est réalisée entre 1966 et 1967 par le cabinet Grimal-Mermet-Sabattier-Genevoiset livrée au culte au printemps 1967. Elle accompagne la réalisation du nouveau centre-ville [6].
L'église de Saint-Priest a été édifiées sur le même modèle que l'église de Bron-Terraillon par les mêmes.
Les vitraux sont sur le thème du Magnificat et ont été inaugurés le 14 avril 2007 pour les 40 ans de la paroisse. Ils ont été réalisés par Henri GUÉRIN, peintre verrier (30 juillet 1929 - 24 octobre 2009)[7].

Lieux de cultes disparus

Ancienne chapelle saint-Vincent-de-Paul
Photo J-P GALICHON



  • Chapelle de la cité Berliet construite en 1930, démolie vers 1954.
  • Chapelle saint-Vincent-de-Paul dans le quartier de la gare. Première pierre posée en novembre 1962. Elle servit de lieu de culte jusqu'en 1976. Acquise par la municipalité en 1978 pour devenir le salle Chrysostome.


Fort de Saint-Priest

Fort de Saint-Priest de la fin du XIXe siècle.

Croix

  • Croix-Rousse située à l'angle de la rue de la Croix-Rousse et du chemin des Marandiers.
  • Croix rue du Payet
  • Croix place Louis FAVARD
  • Croix du cimetière rue de l'égalité
  • Croix de la poste aux chevaux au carrefour de Bron RN6.
  • Croix du jubilé de Manissieux situe allée des Cervettes et de la route de Toussieu
  • Croix de la cité Berliet situé en bordure de la voie ferrée

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Cartes postales

Photos

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 1 100 1 210 1 253 1 489 1 718 1 854 1 981 2 152 2 209 2 312
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 2 428 2 518 2 475 2 506 2 410 2 724 2 387 2 584 2 577 2 608
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 2 543 2 704 4 268 5 957 5 336 5 673 7 115 10 681 20 419 36 734
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 42 677 41 876 40 974 40 746 42 535 45 844 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Étienne CHALMAS 01/1790 - 03/1790  
Horace DUC 03/1790 - 01/1794  
Joseph GINOT 09/1794 - 05/1795  
Jean PAGNOUD CHENAVAS 05/1795 - 06/1795  
Pierre REYMOND 11/1795 - 03/1799  
Pierre EDOUARD 03/1799 - 04/1800  
GIVORD 05/1800 - 08/1800  
Étienne CHALMAS 1800 - 1815  
Pierre REYMOND 1815 - 1816  
Jean Jacques CHALMAS 1816 - 1821  
Pierre REYMOND 1821 - 1830  
Pierre CUSIN 1830 - 1834  
Pierre REYMOND 1834 - 1840  
Jean Baptiste BAVARD 1840 - 1846  
Pierre REYMOND 1846 - 1848  
Jean Baptiste BAVARD 02/1848 - 08/1848  
Jean PAYET CHAVRET 1848 - 1854  
Pierre CUSIN 1854 - 1862  
Louis BONNARDET 1862 - 1870  
François REYMOND 1870 - 1874  
François GERMANET 1874 - 1876  
François REYMOND 1876 - 1888 Médecin - Conseiller général  
Jean François FOUGERES 1888 - 1892  
François REYMOND 1892 - 1896  
Jean Baptiste PAYET MAUGERON 1896 - 1900  
Jean Antoine BARGES 1900 - 1904  
Claude François BUISSON 1904 - 1908  
Louis FAVARD 1908 - 1919  
Gabriel PAYET 1919 - 1925  
Pierre BERLIOZ BENIER 1925 - 1929  
Théophile ARGENCE 1929 - 1940 Né le 07/06/1892 à Saint-Rambert-d'Albon (Drôme), décédé le 07/08/1975 à Lyon (Rhône). Le 21 juillet, l'administration de l'État français démet de ses fonctions le maire. Il est remplacé par une délégation spéciale.  
Clément PAYET BURIN 1941 - 1945 (1874-1957) - Cultivateur - Conseiller général.  
Ulysse CŒUR 1945 - 1946  
Étienne VOURLAT 1946 - 1949  
Charles OTTINA 1949 - 1972 Né le 04/04/1902 à Lyon (Rhône), décédé le 16/06/1974 à Saint-Priest.  
Marius JOLY 1972 - 1977  
Louis GIREAU 1977 - 1983 Né le 03/09/1942 à Bourg-En-Bresse (Ain), décédé le 26/01/2023 à Vénérieu (Isère).  
Bruno POLGA 1983 - 11/2003 Né le 07/04/1935 à Vénissieux (Rhône), décédé le 01/09/2016 à Lyon (Rhône). Conseiller général du canton de Saint-Priest (1985-2011).  
Martine DAVID 2003 - 2014 Née le 19/12/1952 à Loches (Indre-et-Loire). Députée (1988-2007)[8].  
Gilles GASCON 04/2014 - (2026) Né le 21/01/1967. Chef d'entreprise.  

Cf. : MairesGenWeb, Liste des maires sur le site de la mairie & tableau du hall de la mairie de Saint-Priest

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés de l'église Saint-Priest

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Jean de VILGAT - Curé en 1318  
- -  
Jean COGNET - Curé en 1389  
Vital de BORELLY - Curé en 1440  
Claude GERARD - Curé en 1551  
Claude de MENTHON - Curé en 1613  
- -  
Charles COTAREL 1661-1684  
François BOLLIOUD 1684-1729 Inhumé dans le chœur de l'église où se trouve sa pierre tombale.  
Hyacinthe ANTHENAND 1729-1757 Inhumé au pied de la croix du cimetière ancien.  
Jean Dominique ANTHENAND 1757- Neveu du précédent.  
- -  
Pierre JOLY 1816-1838  
Joseph REVOL 1838-1858 Inhumé à Saint-Priest.  
Jean Baptiste BILLON 1858-1892  
Jean Pierre COUTURIER 1883-1892  
Alexandre VILLON 1892-1910  
Joseph BIGILLON 1910-1928 Ex curé de Pusignan[9] - inhumé au cimetière communal (nouveau).  
Marius PARIS 1928-1932  
Antoine BARLAND 1932-1957 (1882-1961) - Né à Communay – Inhumé à Saint-Priest – Prêtre des Missions étrangères[10].  
André KLEIN 1957-1963  
Marcel CLAIR 1963-1969  
Jean VALOIS 1969-1973  
Jean VANEL 1973-1982  
- -  
Jean Marie JOUHAM 1993-2003 Nommé en 2003 recteur à la basilique de Fourvière – En 2011 devient curé de la paroisse de Val d'Ozon – En 2014 curé d'Oullins et Pierre Bénite.  
- -  

Les curés de l'église Sainte-Marguerite

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
Jean François COLLIARD 1963-1969 Dernier curé de Manissieux.  

Autres personnalités

  • François Emmanuel GUIGNARD, comte de Saint-Priest, né en 1735, décédé en 1821.
  • La famille GUIGNARD
  • Joseph BERLIOZ, né en 1846, décédé en 1921, descendant de Claude BERLIOZ (1605-02/12/1690), expert Géomètre qui participa au relevé du nouveau département de la Savoie rattachée à la France, et celui de la gare de St-Priest pour le PLM. Un des fondateurs en 1884 du Secours de Saint-Priest. Son petit fils Claudius BERLIOZ fut 1er adjoint du maire Charles OTTINA.
  • Laurent PERICHON, né à Cessieu en 1819, décédé à Saint-Priest en 1886. Il fonda au lieu dit la Déserte, la ferme de "Grange-Blanche" la plus importante de la fin du XIXe à Saint-Priest.
  • Charles OTTINA, ingénieur de métier qui travaillait dans le civil pour l'armée, a été maire de Saint-Priest de 1949 à 1972. Pendant les 23 années de son mandat, la ville a connu une croissance démographique considérable. Il est né en 1902, décédé en 1974.

Ville de naissance de.jpg Ville de naissance ou de décès de

Naissances :

  • Christophe RIPPERT, comédien et chanteur né le 3 mai 1969.

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Monument aux morts
du château
Monument aux morts
du cimetière communal
Monument aux morts
du cimetière communal de Manissieux
Plaque commémorative
de l'église Saint-Priest


Pictos recherche.png Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur les monuments aux morts ...
Pictos recherche.png Article détaillé : Consulter le commémoratif du 28 août 1944 ...


Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8 h 30 - 12 h 15 8 h 30 - 12 h 15 8 h 30 - 12 h 15 8 h 30 - 12 h 15 8 h 30 - 12 h 15 - -
Après-midi 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 - -
69290 - Saint-Priest-Mairie.jpg

Mairie
Adresse : 14, place Charles Ottina - 69800 SAINT-PRIEST

Tél : 04 72 23 48 48 - Fax : 04 72 23 48 00

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : 45.694407° / 4.935523° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Juin 2023)

Associations d'histoires locales

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie


  • Charles TALON, Petite histoire de Saint-Priest, 1974
  • La San-Priode, Saint-Priest et ses trois églises, groupe d'histoire locale, 2015

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