26060 - Bouvières

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Bouvières
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 26 - Blason - Drôme.png    Drôme
Métropole
Canton Blason Dieulefit-26114.png   26-03   Dieulefit

Blason en attente.png   26-01   Bourdeaux (Ancien canton)

Code INSEE 26060
Code postal 26460
Population 145 habitants (2015)
Nom des habitants Bouvièrois, Bouvièroises
Superficie 2505 hectares
Densité 5.79 hab./km²
Altitude Mini: 540 m
Point culminant 1577 m
Coordonnées
géographiques
44.516944° / 5.216389° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
26adm-Commune-26060.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

Extrait du 'Dictionnaire topographique de la Drôme'

Bouvières

BOUVIÈRES , Commune du Canton de Bourdeaux
— Boveria, 1511 (Archives de la Drôme, E 2141)
— Bouvières ou Grand Guisans, 1644 (Visites épiscopales)
— Locus de Bauveriis, 1631 (Registre de la paroisse de Saoû)
— Bouvières et Guisans, 1705 (Dénombrement du roy.).

Avant 1790, Bouvières était une paroisse du diocèse de Die, dont l'église, dédiée à saint Antoine
— La cure de Saint-Antoine de Bouvières, 1657 (Archives de la Drôme, E 2420)
et les dîmes appartenaient au prieur de Guisans. La paroisse de Bouvières formait, avec celle de Guisans, une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.

Au point de vue féodal, Bouvières était un fief des évêques de Die, qui, possédé en 1540 par les Lhére de Glandage, passa peu de temps après aux Du Pilhon; ceux-ci le portèrent en 1700, par alliance, aux Morges-Ventavon, qui eurent pour héritiers les Emé de Marcieu. Acquis en 1772 par les D'Ailbaud, il fut revendu par eux aux Fourville, derniers seigneurs de Bouvières.

En 1790, Bouvières et Guisans devinrent une municipalité du canton de Saint-Nazaire-le-Désert, qui en VIII, fut convertie en une commune du canton de Bourdeaux, sous le seul nom de Bouvières.

Guisans

GUISANS , hameau Commune de Bouvières.

—-Guzantium, 1100 (Cartulaire de Savigny, 870)
— Guzanz, 1168 (Cartulaire de Die, 29)
— Guzans, 1183 (ibid., 37)
— Guzantz, 1245 (ibid.)
— Guisandz, 1415 (Rôle de décimes)
— Guysandus, 1511 (Archives de la Drôme, E 2141)
— Guysands, 1576 (Rôle de décimes)
— La Petit Guysans, XVIIe siècle (visites épiscopales)
— Le Petit Guisans, 1620 (Archives de la Drôme, E 2406).

Antérieurement au XVIe siècle, Guisans était le chef-lieu de la paroisse actuelle de Bouvières
— Ecclesia de Guzancio, 1107 (Gartulaire de Savigny, 808)
— Cappella de Guisandis, XIVe siècle (Pouillé de Die)
— Cura de Guysandis et de Boveria, 1511 (Archives de la Drôme, E 2141)
et son église, dédiée à saint Martin,
— Ecclesia parrochialis Sancti Martini de Guysandis, 1509 (visites épicospales)
était celle d'un prieuré de l’ordre de Saint-Benoît
— Prioratus de Guisanis, 1516 (Rôle de décimes)
filiation de Savigny, connu dès le XIIe siècle et dont le titulaire était décimateur dans tout le territoire de Bouvières; l'évêque de Die ayant la collation de la cure.

Au point de vue féodal, Guisans était une terre du patrimoine des anciens comtes de Diois, relevant du fief des évéques de Die, et qui, passée par alliance, dès 1314, des Isoard d'Aix aux princes d'Orange, de la maison de Baux, leur appartenait encore en 1373. Vers le commencement du XVIe siècle, cette terre fut acquise par les Brotin, qui s'éteignirent en 1558 chez les D'Eurre, lesquels firent entrer Guisans dans leur marquisat de Montanègue, que les Verdeilhan des Fourniels, ses derniers seigneurs, acquirent en 1760.

Source : Bibliothèque_nationale_de_France

Quant aux droits féodaux [1]

Quant aux droits féodaux, insensiblement modifiés depuis le lide, le colon et le serf du IX e siècle, ils ne nous sont connus que pour le XVIIIe.

Le 25 août 1743, Pierre Emé de Guiffrey de Monteynard, comte de Marcieu, représenté par Brotin, notaire à Dieulefit, réunissait devant Favier, capitaine-châtelain, à Bouvières ou Grand-Guisans, dans la maison Monier, les consuls Piollet et Eyrnieu, les conseillers et habitants Sambuc, Sauzet, Réaille, Monier, Blanc, Chalon, Gras, Combe, Baron, Roustan, Sabon, Plèche, Miellé, Maubon, Latard, Etier, Chauvin, Benoît, Barnavon, Béranger, Brochenin , Chambon, Mor, Clément, Farnier, Derment, Lambert, Bonet, Marcel, Bonsang, Arvet, Borel-Delor, Marre, A.ttenot, Gourrin, Bonhomme, etc.

Tous déclarèrent, selon la reconnaissance passée en 1645 à Françoise Plat, veuve de noble Henri du Pilhon et mère de Laurent, que:

1° - le comte de Marcieu était seul seigneur direct, universel et foncier des « terroir, district et mandement de Bouvières », entre les terres de Paris et Gumiane au levant, de Vesc au couchant, de Petit-Guisans et Crupies au nord et de Chaudebonne et L'Estelon au midi, avec juridiction haute, moyenne et basse et droit de lods, à 1 sols par florin, en cas de mutation de propriétés ;
2° - que nul ne pouvait y posséder des fonds sans les avoir pris. bail emptrytéotique du seigneur « n'ayant rien d'allodial » ; que cependant il était permis par l'usage de faire paître le bétail gros et menu dans les terres albergées, dans les terres vacantes ou les bois du seigneur, le bétail étranger étant e°xclu de la permission ;
3° - que le seigneur pouvait affermer les herbages du territoire, les bois vacants et les glandages, sans dommage pour les prés, glandages et terres des particuliers ;
4° - qu'il avait droit à la 20e partie de tous les grains à Taire, les autres restant au propriétaire ;
5° - que chaque chef de famille lui devait, à réquisition, deux journées ou corvées avec ses bœufs ou bêtes de labour, Tune au temps « de la mouvande » et l'autre au temps « de la couverte », et deux journées personnelles, en nourrissant convenablement les corvéables et leur bétail'; qu'un acte du 6 avril 1600 autorisait le rachat de ces corvées en payant q sols pour celles du bétail et 4 sols pour les personnelles ;
6° - que tous les habitants étaient obligés de moudre à son moulin banal, à la cote 24e, à moins de nécessité ;
7° - que la même banalité grevait les noix à la cote 16e et les gruaux à la cote 24e, à condition que les pressoir et gruaire seraient tenus en bon état et qu'il y aurait deux barils pour le transport de l'huile ;
8° - que le droit de fournage lui était dû, bien qu'il n'y eût pas de four banal, et qu'avant d'être reçu habitant, il fallait obtenir la permission du seigneur;
9° - qu'il n'entendait déroger en rien à ses droits de pacage, abreuvage, passages, drayes et chemins publics, tels qu'ils avaient été constatés par experts en i6o3;
10° - enfin que les habitants pouvaient prendre du bois dans les hermes et bois vacants pour leur usage et pour leurs outils, en bons pères de famille, à l'exception du bois de sapin noir exclusivement réservé, et qu'ils avaient un pacage sur les territoires de Chaudebonne et L'Estelon, et aux montagnes de Mialandre et d'Angèle.

Huit ans auparavant, les consuls et officiers avaient déclaré que M. de Marcieu possédait à Bouvières un droit de vingtain, des censés personnelles et foncières et un moulin banal évalués ensemble 23o livres de revenu, sans pacage, péage ni four banal et que la commune ne jouissait d'aucuns biens ni revenus communaux.

Des réponses faites en 1789 au questionnaire de la Commission intermédiaire, ressort un tableau assez lamentable de la situation : le territoire est froid, à cause des montagnes de Vesc, de Mialandre et d'Angèle qui l'entourent ; le sol de la pente des collines est pierreux, sec, peu fertile et exposé aux ravages des eaux pluviales ; ni la Gumiane qui sort au pied du mont Angèle, ni le Roubion dont la source est au pied de Mialandre ne servent à l'arrosage, à cause du moulin seigneurial ; les gelées d'avril détruisent les fruits et il n'y a pas de production surabondante ni de chemins pour le transport des laines ouvrées ; la cherté du sel nuit à l'accroissement des troupeaux, et les tributs roi aux et seigneuriaux absorbent le revenu de la récolte des céréales. Ainsi, sur 2,000 sétiers de blé, les semences en lèvent 5oo ; la dîme à la cote 21% 71; le vingtain du seigneur, 71 ; la censé personnelle à raison d'une quarte, 62 ; les censés foncières, 80 ; total : 784 ; il en reste donc 1,216 pour l'alimentation et le paiement des charges. Rien d'étonnant dès lors que les habitants se nourrissent de pain de seigle ou d'épeautre mêlé avec des glands et de pommes de terre.

Il n'y a pas de biens communaux, mais un droit de bûcherage à Angèle et Mialandre et un droit de pacage à Angèle, amoindris et annihilés par les défrichements que le seigneur autorise.

De Bouvières est sortie la famille Plèche, anoblie en 1659 en la personne de David, officier au régiment de la Baume, en considération de ses services au siège du Pousin et en qualité de commissaire du roi aux assemblées de Dieulefit, Nyons, etc., et de ceux de Jean Plèche l'aîné et Jean Plèche, « le puisné », ses oncles, tués en Savoie, où ils servaient dans la compagnie des chevau-légers d'Henri IV, et de Cathelin, son frère, mort aussi sur le champ de bataille. Cette famille posséda la seigneurie de alettes, de 1650 à 1689.

Telle est, en résumé, l'histoire de la commune, une des premières où l'instituteur ait compris qu'il fallait commencer par là renseignement du passé.

Héraldique

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Drôme
  • Arrondissement - 1801-2024 : Die
  • Canton - 1801-.2015 : Bourdeaux --> 2015-2024 : Dieulefit
  • Commune - 1801-2024 : Bouvières

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Esglise parochiale [2]

Église paroissiale SAINT-MARTIN Du PETIT-GUYSANS et de SAINT-ANTOINE & SAINTE-MAGHELEINE DE BOUVIÈRES OU GRAND-GUYSANS.

Du 16 mai 1644. Guysans et Bouvières.

La cure de Saint-Martin Vacque, et Mr. Jean Chalus, cordelier, sert de secondaire à Bouvières. Mgr l'Evêque prend la moitié des dimes à la cote 24e à Bouvières ou Grand-Guysans, et à la cote 20e au Petit-Guysans. L'autre moitié des dimes appartient au prieur et curé dudit Guysans.

Par sentence de l'official de Valence du 23 juin 1540, est permise l'érection d'une église parochiale ou perpétuelle vicairie audit Bouvières, comme annexe de l'église principale Saint-Martin du Petit-Guysans. Lesdits habitants de Bouvières sont tenus de construire ladite église, avec son cimetière et fonts baptismaux, et autres choses requises, et le curé de Saint-Martin est tenu d'entretenir un secondaire qui doit résider audit Bouvières, sans préjudice du droit du seigneur évêque. Ladite création a été permise, à cause qu'en temps d'hiver les habitants dudit Bouvières ne pouvaient aller audit Saint-Martin, empêchés par un torrent entre eux, et que d'ailleurs les revenus dudit Saint-Martin étaient suffisants pour l'entretien dudit secondaire. Ladite sentence a été cassée par le métropolitain de Vienne, et du depuis confirmée par le juge de la primace dudit Vienne le 21 juin 1543. Ladite sentence porte quand Bouvières était encore une vieille masure d'une église parochiale.

De la sentence du juge de la primace, il y a eu appel par devant le saint siège, et après, transaction le 19 août 1553, dans la narrative de laquelle les habitants dudit Bouvières confessent que les premiers ils ont déclaré être tenus de payer la dime a la cote 1G et promettre d'entretenir ladite église et cimetière. et de construire une maison pour le curé Feu Mgr l'évêque Pierre-André de Leberon a transigé avec les habitants de Bouvières et convenu que les dimes seraient payées à la cote 20°.
Le chœur de l'église de Bouvières est en état, ni pavée, ni blanchie; les fenestres non barrées. ni chaire, ni confessionnal. Le cimetière autour de l'église n'est pas encore bénit. Le chœur et la nef ont été bâtis au dépens des habitants. Ladite église doit être fermée de portes. Tableau ou retable. Calice et patène d'estain. Le susdit secondaire se sert du chœur, qui appartient aux hoirs' de feu M. de Bouvières.

Les dimes de Guysans et Bouvières valent 400 livres. Ceux de Bouvières valent un peu plus que ceux de Guysans. Cent maisons audit Bouvières, dont 28 catholiques, qui font 120 communiants. Certain de la R. P. enseigne les petits enfants. La maison presbytérale n'est pas encore bâtié. La communauté en loue une et paye en plus 6 liv. La cure dudit Saint-Martin de Guysans est vacante. Messire Guilhe fait les fonctions curiales. Mgr l'Evêque prend la moitié des dimes l'autre moitié au curé à la cote 20% valant 200 livres.

Les ornements ont été transportés dans une chapelle du château.

Les murailles de ladite église Saint-Martin subsistent le chœur, non voûté, ni couvert. Une muraille du chœur menace ruine. Fonts baptismaux non couverts. Il reste quelques bouts de vieilles images, qu'il faut consumer.

Il n'y a que quatre granges du seigneur de Guysans, avec la famille d'iceluy Tout catholique, dans ledit lieu de Guysans et ses dépendances. Le cimetière est devant la porte de l'église. Deux coins de terre sont au curé. La maison curiale, ruinée.

Dans le détroit de la paroisse dudit lieu est l'autel de la chapelle sous le vocable de Saint-Secret, qui est encore en état, réédifiée aux dépens du seigneur du lieu. Tableau de saint Secret; nappe et devant d'autel.. La porte de l'église ferme à clef. II y a dévotion.

Il y a eu procès entre le feu s. évêque Jacques de Tournon, qui prétendait les dimes. a la cote 12' et les habitants de Guysans et Bouvières qui disaient n'être tenus qu'à la cote 26'. Il y eut arrêt provisionnel, le 25 mai 1553, pour le payement desdites dimes à la cote 26e. Le procès ayant été interrompu et repris par le feu évêque Pierre-André de Leberon, il y eut transaction, le 8 juillet 1602, entre le seigneur évêque, le sus prieur et curé de Saint-Martin, et les susdits habitants des lieux de Guysans et Bouvières, portant que les habitants payeraient les dimes à la cote 20% en gerbes ou grains, au choix du seigneur évêque.

Église de la Vierge Marie Immaculée et Saint Antoine

L'église paroissiale
Vue d'ensemble



Chapelle saint Joseph

Chapelle saint Secret

Temple

Repère géographique.png Repères géographiques

Pays très montagneux, le bourg (610 m) est entouré de majestueuses montagnes dont la principale et la plus haute est le Mont Angèle (1606 m).

Carte sur ViaMichelin de : Bouvières


Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 755 603 787 837 789 767 741 762 720 694
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 664 664 608 627 556 575 577 534 506 453
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 451 401 374 348 319 272 241 209 196 194
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 181 184 160 154 147 147 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2015 & 2016.


Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Jean Louis BLANC 1793 Officier public  
Jean MONIER an III - an IV Officier public, membre du Conseil Général de la commune de Bouvières  
Jean Claude DEBEAUX an V - an VI Adjoint municipal  
Etienne BARNAVON an VII - an IX Agent municipal  
Jean Louis EYMARD an X - an XI Adjoint municipal  
Henry FAURE An XI - 1807  
"Jean" Antoine BROCHENIN 1808 - 1809 Né le 17 janvier 1760 et décédé le 10 mai 1821 à Bouvières, à l’âge de 61 ans
Cultivateur, Maire de Bouvières [3]  
Jean Claude DEBEAUX 1809 - 1812  
René MÈGE 1813 - 1822  
Henry RIALHE 1822 - 1823 Né le 15 janvier 1787 et décédé le 20 mars 1823 à Bouvières, à l’âge de 36 ans
Maire de Bouvières [4]  
Jean-Pierre EYMIEUX 1823 - 1828 Décédé le 6 juin 1828, à l'âge de 58 ans  
Joseph LIOTAUD 1828 - 1831  
René MÈGE 1832 - 1835  
Daniel MONNIER 1836 - 1837  
Joseph ROBIN 1837 - 1845 Joseph Robin, ancien maire de Bouvières, [5]  
Joseph LIOTAUD 1846 - 1848  
Joseph ROBIN 1849 - 1865  
François "Isidore" RIALHE 1866 - 1870 Né le 20 avril 1817 et décédé le 17 avril 1883 à Bouvières, à l’âge de 65 ans
Propriétaire cultivateur, meunier, maire [6]  
Pierre MONIER 1870 - 1873  
Jean-Pierre EYNARD 1874 - 1877  
Jean NONIER 1878 - 1900  
Alcide BUIS 1900 - 1904 en 1901, le baptême de la cloche, dont le parrain est M. Alcide Buis, maire de Bouvières, et la marraine, Mme Buis. [7]  
Aimé MONIER 1904 - 1912  
Joseph BLANC 1913 - 1917 >  
- -  
- -  
Sylviane RASPAIL 2001 - 2014  
Philippe REYNAUD 2014 - (2020) né le 15 septembre 1967.  
- -  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
Étienne CHALON - 1676 Notaire actif jusque 1676  
René CHALON 1676 - 1716 Notaire actif entre 1676 et 1716 - Successeur de : CHALON Étienne  
Jean Louis CHALON 1716 - 1744 Baptisé le 26 octobre 1684 - Notaire actif entre 1716 et 1744 - Successeur de : CHALON René  
Jean Pierre REYNAUD 1744 - Baptisé le 19 juin 1717 - Décédé le 23 juillet 1786 - Notaire actif à partir de 1744 - Successeur de : CHALON Jean Louis  
- -  
Pierre Charles CLER 1806 - 1809 Baptisé le 28 mars 1777 à Pierrelatte - Notaire actif entre 1806 et 1809.
Étude transférée à Valaurie en 1809  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
ROMIEU 1728 En 1728, Romieu, curé de Bouvières, avait 849 livres de revenu, et Jean de Brotin, prieur-curé de Guisans, 628 contre 392 de charges. [8]  
- -  
- -  

Les titulaires de la Légion d'honneur

Médaille - Légion d'honneur.png
Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Frédéric Elie BERNARD 31 mai 1854 8 mars 1925
Vincennes
Lieutenant-colonel Commandant l'Artillerie du Secteur Est du Camp retranché de Paris
Chevalier le 21 mars 1896
Officier le 10 juillet 1917
Cote; LH/195/44  
Ernest Aimé CHAUVIN août 1892 -
Cote; 19800035/1397/61486  
Jean Honoré LATTARD 23 juin 1890 -
Cote; 19800035/892/4454  
Pierre Justin MONIER 4 février 1876 -
Cote; 19800035/653/75258  
Toussaint Marie Victor Léonce VOLLAIRE 1 novembre 1877 -
Cote; LH/2737/76  

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945

Monument aux morts



Pictos recherche.png Article détaillé : Bouvières - Morts aux guerres


Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés


Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin - - - - - - -
Après-midi - - 14h00 - 17h00 - - - -
26060 - Bouvières - mairie.JPG

Mairie
Adresse : - 26460 BOUVIÈRES

Tél : 04 75 53 30 04 - Fax :

Courriel :

Site internet :

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : http://www.annuaire-mairie.fr ()

Dépouillements des registres paroissiaux

Sur les relevés du CGDP de la paroisse Saint-Antoine de Bouvières, pour la période 1693-1792, les années suivantes sont manquantes:

  • 1694 à 1696 ~ 1698 ~ 1714 ~ 1716 à 1718 ~ 1720 à 1721 ~ 1728 ~ 1730 à 1732 ~ 1735 ~ 1764 à 1769

Associations d'histoire locale

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

Voir aussi.png Voir aussi (sur Geneawiki)

Logo internet.png Liens utiles (externes)

Bouvières sur le CGDP

Référence.png Notes et références

  1. Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme - 1896 (T30), Edité en 1896
  2. Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme - 1912 (T46), Edité en 1912
  3. Geneanet: arbre de Laurence NAJIA-MARTEL
  4. Geneanet: arbre de Janine CORDEIL JURADO
  5. Gazette des tribunaux : journal de jurisprudence et des débats judiciaires - 1847-05-13,Edité en 1847
  6. Geneanet: arbre de Janine CORDEIL JURADO
  7. La Croix de la Drôme 1901/12/22, Edité en 1901
  8. Bulletin d'archéologie et de statistique de la Drôme v.30 1896, Edité en 1896